22 février 2009
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Les aventures que vit la France depuis plus de deux siècles vous paraissent relever d’un roman-feuilleton pas très bon, alors changez-vous la vie en suivant Charlotte pas à pas; jour après jour...
Retrouvez les épisodes précédents sur ce blog même : 20-http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-28016957.html
19-http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-27980981.html
18-http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-27907872.html
17-http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-27869880.html
16-http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-27826369.html
Liens permettant de lire.. et relire sur ce blog, les épisodes 1 à 15.
http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-27942688.html
Acte III. Que faire de sa mort ?
…
Le crime fait la honte et non pas l’échafaud.
Thomas Corneille (Thomas et non Pierre ….) « Le comte d’Essex ». Ce vers paraît directement issu de l’adage de Tertullien : « martyrem facit causa, non poena »
C’est demain à huit heures que l’on me juge ».
Le 16 juillet.
Corday
Le lendemain, mercredi 17 juillet 1793 donc, à 8 heures du matin, Charlotte fut conduite au tribunal. Elle y reconnut tout :
- et le meurtre : « oui, c’est moi qui l’ai tue »
- et le couteau, : « Je le reconnais, je le reconnais »
- et la préméditation :
- « Y avait-il longtemps que vous aviez formé ce projet ». « Depuis l’affaire du 31 mai (1793), jour de l’arrestation des députés » (girondins).
- « Comment saviez -vous que Marat était un anarchiste » ?
« Je savais qu’il pervertisait la France . J’ai tué un homme pour en sauver cent mille ».
Et Charlotte poussa même l’honnêteté jusqu’à reconnaître la relativité de son action.
« Croyez-vous avoir tué tous les Marat »
« Non, mais celui-là mort , les autres auront peur, peut-être. »
NDA. Alphonse Esquiros.Charlotte Corday.Paris. Legallois1841. I I éme partie p.140 ss.
( A suivre) A.T.
Retrouvez les épisodes précédents sur ce blog même : 20-http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-28016957.html
19-http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-27980981.html
18-http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-27907872.html
17-http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-27869880.html
16-http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-27826369.html
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http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-27942688.html
Acte III. Que faire de sa mort ?
…
Le crime fait la honte et non pas l’échafaud.
Thomas Corneille (Thomas et non Pierre ….) « Le comte d’Essex ». Ce vers paraît directement issu de l’adage de Tertullien : « martyrem facit causa, non poena »
C’est demain à huit heures que l’on me juge ».
Le 16 juillet.
Corday
Le lendemain, mercredi 17 juillet 1793 donc, à 8 heures du matin, Charlotte fut conduite au tribunal. Elle y reconnut tout :
- et le meurtre : « oui, c’est moi qui l’ai tue »
- et le couteau, : « Je le reconnais, je le reconnais »
- et la préméditation :
- « Y avait-il longtemps que vous aviez formé ce projet ». « Depuis l’affaire du 31 mai (1793), jour de l’arrestation des députés » (girondins).
- « Comment saviez -vous que Marat était un anarchiste » ?
« Je savais qu’il pervertisait la France . J’ai tué un homme pour en sauver cent mille ».
Et Charlotte poussa même l’honnêteté jusqu’à reconnaître la relativité de son action.
« Croyez-vous avoir tué tous les Marat »
« Non, mais celui-là mort , les autres auront peur, peut-être. »
NDA. Alphonse Esquiros.Charlotte Corday.Paris. Legallois1841. I I éme partie p.140 ss.
( A suivre) A.T.