A lire les notices consacrées à l'actuel (mais pour combien de temps encore?) Ministre de l'Education nationale , M. Peillon aurait obtenu en 1992 le doctorat en philosophie à l'université Paris-I Panthéon-Sorbonne Il faut croire que la philosophie n 'est plus ce qu'elle était lorsque l'on constate à quel point tant dans la forme que dans le fond l'intervention de M. Peillon a été maladroite :
a) Quant à la forme
Il était difficile d'intervenir plus à contre -temps qu'une semaine avant une manifestation qui pourrait bien faire date. Si le ministricule avait voulu agiter un chiffon rouge pour contribuer à dynamiser les participants à une réunion qui n'en avait peut -être pas besoin , il n'avait qu'à faire exactement comme il vient de le faire ... Ne dit-on pas que Jupiter rend fou ceux qu'il veut perdre ? Alors si Jupiter peut faire des coups pareils, le Dieu des Chrétiens, vous imaginez !
b) Quant au fond
Les propos du ministre de l’éducation Vincent Peillon à destination de l’enseignement encore dit « libre » feront sans doute date dans l’histoire de la séculaire constante de manipulation et de dictature du totalitarisme jacobin sur nos Républiques.
C’est en effet une absolue exigence liberticide de soumission, assortie d’une menace de nature tchékiste et gestapiste, qu’il a formulée afin que partout les écoles, y compris et surtout « confessionnelles», participent à la lutte contre « l’homophobie ».
Ce n’est d’ailleurs pas seulement à l’enseignement chrétien que cela peut s’adresser mais aussi à l’enseignement juif qui ne saurait être indifférent aux lumineux propos du grand rabbin Gilles Bernheim sur le pseudo-mariage « gay » et sur l’homosexualité.