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  • : Le royalisme providentialisme a beau tenir une place importante dans ma vie, il ne m'empêche pas de m'interesser à l'histoire connue - et celle plus cachée- de mon pays. L'humour a aussi sa place dans les pages mise en ligne.
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15 août 2009 6 15 /08 /août /2009 21:14
Pie XI, pape, pour perpétuelle mémoire

Les Pontifes romains Nos prédécesseurs ont toujours, au cours des siècles, comblé des marques particulières de leur paternelle affection la France, justement appelée Fille aînée de l'Eglise. Notre prédécesseur de sainte mémoire, le pape Benoît XV, qui eut profondément à coeur le bien spirituel de la France, a pensé à donner à cette nation, noble entre toutes, un gage spécial de sa bienveillance.
   En effet, lorsque, récemment, Nos Vénérables Frères les cardinaux, archevêques et évêques de France, d'un consentement unanime, lui eurent transmis par Notre Vénérable Frère Stanislas Touchet, évêque d'Orléans, des supplications ardentes et ferventes pour qu'il daignât proclamer patronne principale de la nation française la bienheureuse Vierge Marie reçue au ciel, et seconde patronne céleste sainte Jeanne, pucelle d'Orléans, Notre prédécesseur fut d'avis de répondre avec bienveillance à ces pieuses requêtes. Empêché par la mort, il ne put réaliser le dessein qu'il avait conçu. Mais à Nous, qui venons d'être élevé par la grâce divine sur la Chaire sublime du Prince des apôtres, il Nous est doux et agréable de remplir le voeu de notre très regretté prédécesseur et, par Notre autorité suprême, de décréter ce qui pourra devenir pour la France une cause de bien, de prospérité et de bonheur.
      Il est certain, selon un ancien adage, que le royaume de France a été appelé le royaume de Marie,(NDLRB. Regnum Galliae, Regnum Mariae )
et cela à juste titre. Car, depuis les premiers siècles de l'Eglise jusqu'à notre temps, Irénée et Eucher de Lyon, Hilaire de Poitiers, Anselme, qui, de France, passa en Angleterre comme archevêque, Bernard de Clairvaux, François de Sales, et nombre d'autres saints docteurs, ont célébré Marie et contribué à promouvoir et amplifier à travers la France le culte de la Vierge Mère de Dieu. A Paris, dans la très célèbre Université de Sorbonne, il est historiquement prouvé que dès le XIII° siècle la Vierge a été proclamée conçue sans péché.
Même les monuments sacrés attestent d'éclatante manière l'antique dévotion du peuple à l'égard de la Vierge : trente-quatre églises cathédrales jouissent du titre de la Vierge Mère de Dieu, parmi lesquelles on aime à rappeler comme les plus célèbres, celles qui s'élèvent à Reims, à Paris, à Amiens, à Chartres, à Coutances et à Rouen. L'immense affluence des fidèles accourant de loin chaque année, même de notre temps, aux sanctuaires de Marie, montre clairement ce que peut dans le peuple la piété envers la Mère de Dieu et plusieurs fois par an la basilique de Lourdes, si vaste qu'elle soit, paraît incapable de contenir les foules innombrables des pèlerins.
    La Vierge en personne, trésorière de Dieu de toutes les grâces, a semblé, par des apparitions répétées, approuver et confirmer la dévotion du peuple français.
    Bien plus, les principaux et les chefs de la nation se sont fait gloire longtemps d'affirmer et de défendre cette dévotion envers la Vierge.
   Converti à la vraie foi du Christ, Clovis s'empresse, sur les ruines d'un temple druidique, de poser les fondements de l'Eglise Notre-Dame, qu'acheva son fils Childebert.
    Plusieurs temples sont dédiés à Marie par Charlemagne. Les ducs de Normandie proclament Marie Reine de la nation. Le roi saint Louis récite dévotement chaque jour l'office de la Vierge. Louis XI, pour l'accomplissement d'un voeu, édifie à Cléry un temple à Notre-Dame.  
   Enfin, Louis XIII consacre le royaume de France à Marie et ordonne que chaque année, en la fête de l'Assomption de la Vierge, on célèbre dans toutes les diocèses de France de solennelles fonctions : et ces pompes solennelles, Nous n'ignorons pas qu'elles continuent de se dérouler chaque année.

    En ce qui concerne la Pucelle d'Orléans que Notre prédécesseur a élevée aux suprêmes honneurs des saints, personne ne peut mettre en doute que ce soit sous les auspices de la Vierge qu'elle ait reçu et rempli la mission de sauver la France ; car d'abord, c'est sous le patronage de Notre-Dame de Bermont, puis sous celui de la Vierge d'Orléans, enfin de la Vierge de Reims, qu'elle entreprit d'un coeur viril une si grande oeuvre, qu'elle demeura sans peur en face des épées dégainées et sans tache au milieu de la licence des camps, qu'elle délivra sa patrie du suprême péril et rétablit le sort de la France. C'est après avoir reçu le conseil de ses voix célestes qu'elle ajouta sur son glorieux étendard le nom de Marie à celui de Jésus, vrai Roi de France. Montée sur le bûcher, c'est en murmurant au milieu des flammes en un cri suprême, les noms de Jésus et de Marie, qu'elle s'envola au ciel. Ayant donc éprouvé le secours évident de la Pucelle d'Orléans, que la France reçoive la faveur de cette seconde patronne céleste : c'est ce que réclament le clergé et le peuple, ce qui fut déjà agréable à Notre prédécesseur et qui Nous plaît à Nous-mêmes.
   C'est pourquoi, après avoir pris les conseils de nos Vénérables Frères les cardinaux de la Sainte Eglise Romaine préposés aux Rites, motu proprio, de science certaine et après mûre délibération, dans la plénitude de Notre pouvoir apostolique, par la force des présentes et à perpétuité, Nous déclarons et confirmons que la Vierge Marie Mère de Dieu, sous le titre de son Assomption dans le ciel, a été régulièrement choisie comme principale patronne de toute la France auprès de Dieu, avec tous les privilèges et les honneurs que comportent ce noble titre et cette dignité.
   De plus, écoutant les voeux pressants des évêques, du clergé et des fidèles des diocèses et des missions de la France, Nous déclarons avec la plus grande joie et établissons l'illustre Pucelle d'Orléans, admirée et vénérée spécialement par tous les catholiques de la France comme l'héroïne de la religion et de la patrie, sainte Jeanne d'Arc, vierge, patronne secondaire de la France, choisie par le plein suffrage du peuple, et cela encore d'après Notre suprême autorité apostolique, concédant également tous les honneurs et privilèges que comporte selon le droit ce titre de seconde patronne.
   En conséquence, nous prions Dieu, auteur de tous biens, que, par l'intercession de ces deux célestes patronnes, la Mère de Dieu élevée au ciel et sainte Jeanne d'Arc, vierge, ainsi que des autres saints patrons des lieux et titulaires des églises, tant des diocèses que des missions, la France catholique, ses espérances tendues vers la vraie liberté et son antique dignité, soit vraiment la fille première-née de l'Eglise Romaine ; qu'elle échauffe, garde, développe par la pensée, l'action, l'amour, ses antiques et glorieuses traditions pour le bien de la religion et de la patrie.

    Nous concédons ces privilèges, décidant que les présentes Lettres soient et demeurent toujours fermes, valides et efficaces, qu'elles obtiennent et gardent leurs effets pleins et entiers, qu'elles soient, maintenant et dans l'avenir, pour toute la nation française, le gage le plus large des secours célestes ; qu'ainsi il en faut juger définitivement, et que soit tenu pour vain dès maintenant et de nul effet pour l'avenir tout ce qui porterait atteinte à ces décisions, du fait de quelque autorité que ce soit, sciemment ou inconsciemment. Nonobstant toutes choses contraires.

    Donné à Rome, près Saint-Pierre, sous l'anneau du Pécheur,
le 2 du mois de mars de l'année 1922,
de Notre Pontificat la première année.

Origine
http://missel.free.fr/Sanctoral/08/15.php#pie11
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15 août 2009 6 15 /08 /août /2009 20:51
   La France était alors en guerre avec l'Espagne (guerre dite de  trente ans) et le couple royal (Louis XIII et Anne d’Autriche, mariés depuis 22 ans)  n’avaient pas encore d’enfant.  Voilà deux  excellentes raisons  pour  que le roi se tourne vers la Vierge Marie

  C'est  dans ces circonstances qu’ à Abbeville que Louis XIII dit le Juste consacra le 15 Août 1637 le Royaume de France à la Vierge après  avoir entendu la messe et  communié  en l’églises des minimes . L’après-midi il assista aux vêpres puis participa  à une magnifique procession à laquelle le monarque et toute sa  cour , le cardinal de Richelieu et plusieurs autres  prélats suivirent  l’image de la Vierge Marie, accompagné par une  grand concours de peuple et de  soldats

     A l’issue de la procession et de retour en l’église des minimes après avoir été  béni à genoux  par  son ministre-cardinal la main gauche sur le coeur, la main droite élevée à la hauteur du saint sacrement, le roi prononça devant le maître-autel la phrase vouant "la fille aînée de l'église" à Marie, lui demandant par sa prière de prendre son royaume et lui-même sous sa protection. 

   L’acte de Louis XIII consacrant la France à Notre Dame suivra  le 16 février 1638. La reine Anne d’Autriche est alors enceinte de  deux mois , Louis-Dieudonné , le futur louis XIV, naîtra le 5 septembre  1638.

 

  Le Vœu de Louis XIII fut confirmé par  son fils, Louis XIV,  le 25 Mars 1650 puis par ses successeurs jusqu’à la Révolution dite française.

   C’est ainsi qu’en 1738, à l’occasion du premier centenaire du Vœu, Louis XV  rappela par un Édit à tous les Évêques et Corps de villes que la procession du 15 août était obligatoire. En 1801, le Consul Bonaparte inscrivit dans le Concordat la Fête de l’Assomption comme l’un des quatre jours fériés de l’année. Louis-philippe  dégagera certes  le pouvoir civil de ce voeur , laissantl a seule église de France le commémorer mais le 15 août  reste  férié aujourd’hui ce qui peut  qu’ entraîner notre reconnaissance et notre admiration à l’égard de la vierge Marie  si l’on veut  bien se souvenir  que dans notre pays, les églises sont séparées de l’Etat depuis la loi du 9 décembre 1905.

 ------

   "Au seuil de la cinquantaine, une passion profonde avait émergée dans la vie de Maître Edmond Fricoteaux : servir la Mère du Seigneur ; notre Mère qu’il avait découverte, retrouvant l’expérience de saint Louis Marie Grignon de Montfort, auteur du « secret de Marie ». Au contact des textes,il savait enseigner avec un enthousiasme soutenu, faire vivre et comprendre dans ses pèlerinages, y compris à Medjugorje : son lieu d’élection et il avait mis cette allégeance amoureuse (il osait employer ce vocable) au service de vastes projets : Notre Dame de France avait rassemblé un large comité, puis des foules pour acheter un vaste domaine de cinquante hectares pour réveiller le vœu de Louis XIII qui par une loi constitutionnelle avait remis spirituellement son pouvoir de Roi de France à la Vierge Marie".

 

Origine .

http://notre-dame-de-france.com/fr/abbe-rene-laurentin-pour-edmond-fricoteaux

 

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15 août 2009 6 15 /08 /août /2009 09:44
  Déclaration du Roi par laquelle Sa Majesté déclare
qu’elle a pris la Très Sainte et Glorieuse Vierge
pour  protectrice spéciale de son royaume

" Portant  qu'il sera fait  une procession tous les ans  le jour del'Assomption  , laquelle assisteront  toutes les Compagnies souveraines  et le Corps de Ville.
          
  Louis, par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre, à tous ceux  qui ces  présentes lettres verront, Salut. Dieu qui élève les rois au trône de leur grandeur, non content de nous avoir donné l'esprit qu'Il départ à tous les princes de la terre pour la conduite de leurs peuples, a voulu prendre un soin si spécial et de notre personne et de notre état, que nous ne pouvons considérer le bonheur du cours de notre règne, sans y voir autant d'effets merveilleux de sa bonté que d'accidents qui nous pouvaient perdre.
 
    Lorsque nous sommes entrés au gouvernement de cette couronne, la faiblesse de notre âge donna sujet à quelques mauvais esprits d'en troubler la tranquillité ; mais cette main divine soutint avec tant de force la justice de notre cause, que l'on vit en même temps la naissance et la fin de ces pernicieux desseins. En divers autres temps, l'artifice des hommes et la malice du diable ayant suscité et fomenté des division non moins dangereuses pour notre couronne que préjudiciables au repos de notre maison, il lui a plu en détourner le mal avec autant de douceur que de justice.
 
   La rébellion de l'hérésie ayant formé un parti dans l'Etat, qui n'avait d'autre but que de partager notre autorité, il s'est servi de nous pour en abattre l'orgueil, et a permis que nous ayons relevé des saints autels en tous les lieux où la violence de cette injustice parti en avait ôté les marques.
 
   Si nous avons entrepris la protection de nos alliés, il a donné des succès si heureux à nos armes, qu'à la vue de toute l'Europe, contre l'espérance de tout le monde, nous les avons rétablis en la possession de leur état dont ils avaient été dépouillés.
 
    Si les plus grandes forces des ennemis de cette couronne se sont ralliées pour conspirer sa ruine, il a confondu leurs ambitieux desseins pour faire voir à toutes les nations que, comme sa Providence a fondé cet Etat, sa bonté le conserve et sa puissance le défend.
 
    Tant de grâces si évidentes font que pour n'en différer pas la reconnaissance, sans attendre la paix - qui nous viendra de la même main dont nous les avons reçues et que nous désirons avec ardeur pour en faire sentir les fruits aux peuples qui nous sont commis - nous avons cru être obligés, en nous prosternant aux pieds de sa majesté divine que nous adorons en trois personnes, à ceux de la Sainte Vierge et de la sacrée Croix où nous vénérons l'accomplissement des mystères de notre Rédemption par la vie et la mort du Fils de Dieu en notre chair, de nous consacrer à la grandeur de Dieu par son Fils rabaissé jusqu'à nous et à ce Fils par sa Mère élevée jusqu'à lui, en la protection de laquelle nous mettons particulièrement notre personne, notre Etat, notre couronne et tous nos sujets pour obtenir par ce moyen celle de la Sainte Trinité, par son intercession et de toute la cour céleste, par son autorité et exemple, nos mains n'étant pas assez pures pour présenter nos offrandes à la pureté même, nous croyons que celles qui ont été dignes de le porter, les rendront hosties agréables et c'est chose bien raisonnable qu'ayant été médiatrice de ces bienfaits, elle le soit de nos actions de grâces.
 
   A ces causes, nous avons déclaré et déclarons que, prenant la très sainte et très glorieuse Vierge pour protectrice spéciale de notre royaume, nous lui consacrons particulièrement notre personne notre Etat, notre couronne et nos sujets, la suppliant de nous vouloir inspirer une sainte conduite et défendre avec tant de soin ce royaume contre l'effort de tous ses ennemis, que - soit qu'il souffre le fléau de la guerre ou jouisse de la douceur de la paix que nous demandons à Dieu de tout notre coeur - il ne sorte point des voies de la grâce qui conduisent à celles de la gloire. Et afin que la postérité ne puisse manquer à suivre nos volontés en ce sujet, pour monument et marque immortelle de la consécration présente que nous faisons, nous ferons construire de nouveau le Grand Autel de l'Eglise Cathédrale de Paris avec une image de la Vierge qui tienne en ses bras celle de son précieux Fils descendu de la Croix et où nous serons représentés aux pieds du Fils et de la Mère comme leur offrant notre couronne et notre spectre.
 
  Nous admonestons le sieur Archevêque de Paris et néanmoins lui enjoignons que tous les ans le jour et la fête de l'Assomption, il fasse faire commémoration de notre présente déclaration à la Grand' Messe qui se dira en son Eglise Cathédrale et qu'après les Vêpres dudit jour, il soit fait une procession en ladite Eglise à laquelle assisteront toutes les compagnies souveraines et le corps de ville avec pareille cérémonie que celle qui s'observe aux processions générales les plus solennelles ; ce que nous voulons aussi être fait en toutes les églises tant paroissiales que celles des monastères de ladite ville et faubourgs et en toutes les villes, bourgs et villages dudit diocèse de Paris.
 
    Exhortons pareillement tous les Archevêques et Évêques de notre royaume et néanmoins leur enjoignons de faire célébrer la même solennité on leurs églises épiscopales et autres églises de leur diocèse entendant qu'à ladite cérémonie les cours de Parlement et autres compagnies souveraines et les principaux officiers de la ville y soient présents ; et d'autant qu'il y a plusieurs épiscopales qui ne sont pas dédiées à la Vierge, nous exhortons lesdits Archevêques et Évêques en ce cas de lui dédier la principale chapelle desdites églises pour y être faite ladite cérémonie et d'y élever un autel avec un ornement convenable à une action si célèbre et d'admonester tous nos peuples d'avoir une dévotion particulière à la Vierge, d'implorer en ce jour sa protection afin que sous une si puissante patronne notre royaume soit à couvert de toutes les entreprises de ses ennemis, qu'il jouisse largement d'une bonne paix, que Dieu y soit servi et révéré si saintement que nous et nos sujets puissions arriver heureusement à la dernière fin pour laquelle nous avons été créés , car tel est notre plaisir.

  Donné à saint -Germain-en -Laye, le 10 ème jour  de février,  l'an de grâce  mile-six-cent-trente-huit, de notre règne le vingt-hutième.

                                  Signé Louis.
Origine
Texte signalé et transmis par Mahoud (VR), début août 2001.
http://www.vexilla-regis.com/textevr/ActedeLouisXIII.htm
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15 août 2009 6 15 /08 /août /2009 09:30
VŒU DE LOUIS XIII
    Pour les royalistes, il résulte des lignes qui vont  suivre que la  fête nationale de la France  est  non pas le 14 juillet , jour  commémoratif d'un massacre, mais  pourrait  bien  être plutôt  le 15 août, jour où l'on honore la Vierge Marie, patronne nationale de la Frace  en son Assomption.

Origine.
http://charte.de.fontevrault-arom.over-blog.com/pages/8_AROM_Dictionnaire_du_mouvement_royaliste_Francais-1171483.html
  Voir au mot "Voeu"

    "On appelle vœu de Louis XIII la consécration de la France à la Vierge Marie par le roi Louis XIII le 10 février 1638, suite à la grossesse de son épouse Anne d’Autriche après vingt-trois ans de mariage. En 1637, Louis XIII avait formulé le vœu de consacrer son royaume à la Vierge et d'élever un nouveau maître-autel dans la cathédrale Notre-Dame de Paris, ainsi que d'offrir un nouveau groupe sculpté à la cathédrale, si un héritier naissait. Leur premier fils, Louis-Dieudonné, futur Louis XIV, naîtra le 5 septembre suivant. Louis XIII consacra donc la France à la Vierge".

Origine;
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vœu_de_Louis_XIII
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14 août 2009 5 14 /08 /août /2009 11:32
A partir du vendredi 14 août, le repos hebdomadaire en Algérie est respecté le vendredi et le samedi et non plus le jeudi et le vendredi.

 

© REUTERS

  L ’Algérie passe au repos semi-universel. Depuis 1976, les congés hebdomadaires étaient le jeudi et le vendredi comme dans d’autres pays musulmans à l’instar de la Lybie et l’Arabie saoudite. Le week-end "universel" (samedi-dimanche), hérité de la période coloniale, avait été abandonné par le colonel Boumediene.

   Seulement, le week-end algérien coûte cher. La Banque mondiale estime le manque à gagner à 1,2 point de PIB. La majorité des échanges commerciaux se faisant avec l’Europe, il n’y avait que trois jours ouvrés en commun. Certaines banques et des groupes privés ont déjà instauré le week-end le vendredi et le samedi. Tout le pays y passe vendredi.

  Ce changement n’est pas du tout du goût des conservateurs religieux. L’historien et politologue spécialiste du Maghreb, Benjamin Stora, fait part d’une "bataille très vive entre l’Etat et le courant conservateur" :

 

  Pas question, pour le moment, de toucher au caractère férié du vendredi, jour de la grande prière hebdomadaire même si les opérateurs privés et le principal syndicat (UGTA) réclament, eux, régulièrement un retour au week-end universel.

 

NDLRB. Dois-je  conclure  qu’en Algérie,  les personnes ne travaillaient  que le lundi, le mardi et le mercredi ?

 

Origine.

http://www.europe1.fr/Info/Actualite-Internationale/Afrique/L-Algerie-decale-son-week-end/(gid)/236849

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14 août 2009 5 14 /08 /août /2009 09:21
   Nous  renvoyons nos liseurs à l’article fort  détaillé  publié par Wikipédia sur le concept  de "gentilshommes de Laveline"  dont Le Figaro du 13 août 2009 p. 15 a rappelé toute l’actualité  dans ses  avis d’obsèques.

 

    "Si, parmi la troupe de quatorze cents personnes qui a permis le retour à la Lorraine des villes de Bruyères, Saint-Dié, Arches et Remiremont, les habitants de Laveline, à peine une vingtaine, ne constituaient qu'une infime part, le duc  René II de Lorraine souhaita récompenser la fidélité de ces paysans qui avaient spontanément combattu pour lui. Aussi décida-t-il de leur conférer un titre de noblesse, incluant port de blason, et furent connus sous le nom de Gentilshommes de Laveline, titre héréditaire, pour eux et pour toute leur descendance, hommes et femmes.

 

Armoiries 

    De gueules à deux épées d'argent emmanchées d'or mises en sautoir, et un rateau la tête en bas mis en pal d'argent, liés par un cordon d'or ; au chef cousu d'azur, chargé d'une levrette d'argent colletée d'or.

 

   Ces armes  furent   donnée  par René II de Lorraine pour les services rendus par les habitants, agriculteurs ( rateau) qui surent prendre les armes  épées) en sa faveur. la levrette étant le symbole traditionnel de la fidélité".

 

Origine

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Laveline-devant-Bruyeres



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13 août 2009 4 13 /08 /août /2009 16:01
    Suite  à l’annonce  que  j’ai mise sur la toile  de la tenue à Paris  le samedi 19 septembre 2009 - toute la journée-  de la première  Biennale Blanche , un correspon- -dant, désolé, m’annonce  la  fâcheuse  coïncidence de cette date  avec les journées du Patrimoine.  

 

    Même  si je n’avais pas  vu, en effet, ce cumul de dates, j’y vois comme un signe providentiel.

 

Suivez-moi bien.


- Les  journées du patrimoine durent  deux  jours. Tous ceux  qui viendront à la « B & B » après la  visite, ou avant, à nos stands n’auront que l’embarras du choix pour leurs découvertes parisiennes.

    Si je prends l’exemple de la gare d’Austerlitz pour les royalistes  du centre de la France, il  y a la Salpêtrière (par ailleurs lieu d’un des massacres de septembre 1792) juste à côté. Le dimanche, ils seront sur leurs terres pour d’autres  visites.

 

- Le patrimoine le plus méconnu, le plus oublié, le plus décrié  en France  qui a  donc tout à gagner de cette journée découverte, c’est assurément le patrimoine royaliste français.   

      Pour  vous en convaincre, jetez un coup d’œil sur notre second blog  http://charte.de.fontevrault-arom.over-blog.com/ , blog dont l’objet est de  fournir un panorama le plus à jour possible de toutes les mouvances  composant  la planète royaliste  française.

 

   Vous y découvrirez un monde  divisé certes, souvent prompt à l’invective  envers qui ne  sert pas le même prince, bien sûr.    

     Mais  vous y découvrirez aussi un monde riche de  militants, de talents, de propositions, de  projets, de réaaisations  déjà!. C’est ce monde  que la Biennale Blanche en visage de  vous faire découvrir.

 

- Clin d’œil supplémentaire, le thème de ces journées européennes du patrimoine est « un patrimoine accessible à tous ». Ce thème, faisons le hardiment  nôtre, rendons accessible  à tous les royalistes français le patrimoine  des royalistes servant un autre prince ou principe que le nôtre.


- Certes  cela ne résoudra pas la question de savoir  qui doit être le roi en France, mais tel n’est pas l’objet de cette  journée.

 

   Le 25 août 1988, lorsque la Charte de Fontevrault  a été  fondée en l'abbaye royale homonyme, l’ambition même d’organiser une  Biennale  Blanche ouverte à tous les mouvements royalistes  sans exclusive, ni exclusion  était hors d’atteinte. Ce n’est plus le cas maintenant. Durant  ces  vingt ans  et plus écoulés, nous  nous sommes apprivoisés  et préparés à cette rencontre.

 

   Il ne reste maintenant plus qu’à constater  combien certes encore divisés, nous n’en sommes pas  désormais beaucoup plus  forts parce  que dans le  royaliste servant un prince différent nous ne  voyons plus un adversaire mais un allié  dans le seul combat qui vaille d’être mené :

 

    Contre  les mensonges s’agissant :

-de ce  qu’a  vraiment  été la forme monarchique du Gouvernement  en France

- de ce  qu’ont été les ombres de la révolution, fondatrice  tant  de la première  république que  de  ce qui s'en est suivi.

- de ce  que la monarchie restaurée apportera de stabilité, de véritables libertés, et de reconnaissance des capacités  de personnes  qui cesseraient  d’être des électeurs - citoyens en trompe l'oeil  pour (re)devenir  des Sujets  au sens où l’on parle par exemple de sujet d’un roman, d’une conversation, d’un débat, d’une action.

 

    C’est dans cette espérance…

http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-33865305.html

 

Alain TEXIER.

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13 août 2009 4 13 /08 /août /2009 11:48
  Les cadets de la république sont des adjoints de sécurité qui bénéficient d'une formation renforcée pour préparer le concours de gardien de la paix. Leur statut est défini par le décret n° 2004-1415 du 23 décembre 2004. Ils ne sont pas fonctionnaires mais agents contractuels. Véritable dénomination, Adjoint de Sécurité - Cadet de la République, Option: Police Nationale.

Origine.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Cadet_de_la_République

Cadet-gentilhomme
    1682, des compagnies de cadets-gentilhommes voient le jour à l'initiative de Louvois. Créées à Besançon, Brisach, Cambrai, Givet, Longwy, Metz, Strasbourg, Tournai, Valenciennes. Les jeunes recrues devaient être âgées de 15 à 24 ans ils devaient être soit nobles, soit de la haute bourgeoisie si leur famille avait les moyens d'entretenir une charge d'officier.
   Quelques années plus tard ces compagnies furent supprimées, mais rétablies en 1726, cette fois à Bayonne, Caen, Cambrai, Metz, Perpignan et Strasbourg.

Origine

http://provinces.francaises.free.fr/lexique_C.htm


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13 août 2009 4 13 /08 /août /2009 10:49
    « Mes très chers frères, mes bons amis, il y a en France treize cent vingt mille maisons de paysans qui n'ont que trois ouvertures, dix-huit cent dix-sept mille qui ont deux ouvertures, la porte et une fenêtre, et enfin trois cent quarante-six mille cabanes qui n'ont qu'une ouverture, la porte. Et cela, à cause d'une chose qu'on appelle l'impôt des portes et fenêtres. Mettez-moi de pauvres familles, des vieilles femmes, des petits enfants, dans ces logis-là, et voyez les fièvres et les maladies. Hélas ! Dieu donne l'air aux hommes, la loi le leur vend. »
     L'impôt sur les portes et fenêtres fut institué par le Directoire, pendant la Révolution française, le 24 novembre 1798. sa suppression fut obtenue  (NDLRB. seulement ) en 1926.

Origine.
  Gérald

et

 http://www.espacebaie.com/actualites/autrefois-impot-touchait-aussi-portes-les-fenetres_article-10619.html

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12 août 2009 3 12 /08 /août /2009 12:06
Association : CERCLE ROYALISTE DES TROIS LYS.
No de parution : 20050025
Département (Région) : Aveyron (Midi Pyrénées)

Lieu parution : Déclaration à la préfecture de l'Aveyron.
Type d'annonce : ASSOCIATION/DISSOLUTION

Déclaration à la préfecture de l’Aveyron. CERCLE ROYALISTE DES TROIS LYS.

Siège social : le Bosc-Camjac, 12800 Naucelle. Date de la déclaration : 9 mai 2005.

L'adrese actuelle du Cercle est chez:

Monsieur de Saint Martin
31 rue Chanoine  Galabert
82300 CAUSSADE
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