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  • : Le royalisme providentialisme a beau tenir une place importante dans ma vie, il ne m'empêche pas de m'interesser à l'histoire connue - et celle plus cachée- de mon pays. L'humour a aussi sa place dans les pages mise en ligne.
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27 mai 2009 3 27 /05 /mai /2009 10:24

    D'un  côté,  il est certain que dans un monde fini, la population ne peut augmenter indéfiniment ; Puisque le régulateur naturel qui fut largement présent, je veux parler de la mortalité infantile, est de moins en moins observé, il faut bien le remplacer par autre chose. Mais quoi ?

    Cet autre chose ne peut pas être un infanticide prénatal, car l'avortement  constitue, suivant la formule bien connue, une mauvaise solution  à un vrai problème. En effet  de quelque côté qu'on y regarde il est, et restera, un crime au sens propre du mot.  Or il y a toujours, toutes considérations morales mises provisoirement à part danger à promouvoir le crime. On commence à six semaines, on passe à douze, dans certains pays ( les USA par exemple) c'est juste avant le premier cri. pourquoi pas après trois mois de vie au grand jour si le modèle livré ne répond pas aux espérances de ceux qui avaient passé la commande (retour en garantie) . 

   J'observe pour ma part, que les motifs invoqués pour justifier un avortement sont variés  Ils sont d'ordre  médical (moins qu'on croit),  économique ( à ce qu'on dit) ou social (  assez souvent). La convenance personnelle est en fait la vraie motivation et je n'ai jamais entendu dire qu'une femme voulait avorter pour préserver la planète et assurer la subsistance des générations futures. 

    Mais pourtant, puisque la contraception (vieille comme le monde au demeurant avec des techniques différentes suivant les époques) a fait des progrès, qu'elle est "performante, sûre" et remboursée, distribuée dans les écoles dès la sixième, que les techniques en usage sont susceptibles de progrès, on pourrait s'attendre à ce que l'avortement ne soit plus nécessaire, ou au moins  rendu rare, très rare. Or, il n'en est rien, bien au contraire. Le nombre des avortements tardifs ne cesse d'augmenter ce qui dénote des comportements irresponsables.

    Pour ma part, je militerais volontiers pour des mesures en amont. Du côté d'une contraception intelligente (que réclamait soeur Thérésa), ou encore de la stérilisation(volontaire ou psychiatrique) et surtout d'une éducation des comportements.

    Mais pas du côté du meurtre.

Paul T.

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23 mai 2009 6 23 /05 /mai /2009 09:45
     A lire les deux  biographies qui suivent , on se rendra  compte  que la première occulte  complètement les problèmes de santé (mentale) du président de la république  et que la  seconde n’en parle qu’à peine. Charles VI, le  «  roi fou » est traité avec moins de délicatesse par les historiens.

SITE DE L'ACADEMIE FRANCAISE
Élu en 1899 au fauteuil 19

Grand-croix de la Légion d'honneur
Biographie
    Né à Schaerbeck-lès-Bruxelles (Belgique), le 13 février 1856, pendant l'exil de son père.
     Il débuta dans la politique par la carrière du fonctionnarisme administratif ; député en 1885, il fut président de la Chambre à plusieurs reprises (NDLRB. et aussi Président de la république, non ???).    
     Orateur parlementaire et littérateur, il a publié divers ouvrages, dont deux furent couronnés par l'Académie, et collaboré à divers journaux.
      Élu à l'Académie le 18 mai 1899, en remplacement d’Édouard Hervé, et reçu le 1er février 1900 par Sully-Prudhomme.
    Mort le 28 avril 1922

Source.
http://www.academie-francaise.fr/Immortels/base/academiciens/fiche.asp?param=491

SITE WIKIPEDIA

    Paul Deschanel, né le 13 février 1855 à Schaerbeek (Bruxelles)Belgique  et mort le 28 avril 1922 à Paris, est un homme d'État français, dont la carrière culmine avec son mandat de président de la République du 18 février au 21 septembre 1920, sous la IIIe République.

   Député d'Eure-et-Loir de 1885 à 1920, il est président de la Chambre des députés de 1898 à 1902 et de 1912 à 1920. L'année suivant sa démission de la présidence de la République pour raisons de santé, il est élu sénateur et le reste jusqu'à sa mort.

     Paul Deschanel est également un homme de lettres, auteur de plusieurs ouvrages sur les questions sociales et élu à l'Académie française le 18 mai 1899.

Source.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Deschanel
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22 mai 2009 5 22 /05 /mai /2009 08:17
NDLRB. A lire les citations qui suivent , citations confirmées par plusieurs sources, on ne perdra  pas de  vue l'époque à laquelle  elles ont été écrites même si il est possible de  considérer  que  la  pensée  " gaullienne" a pu confiner parfois  à l'universel.

De Gaulle et les musulmans

   C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne ... Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront peut-être vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l’intégration,(NDLRB. dans les départements français d'Algérie)  si tous les Arabes et les Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées ! ».
(Charles de Gaulle, rapporté par Alain Peyrefitte).

     « L’intégration, c’est une entourloupe pour permettre que les musulmans qui sont majoritaires en Algérie à dix contre un, se retrouvent minoritaires dans la République française à un contre cinq. C’est un tour de passe-passe puéril ! On s’imagine qu’on pourra prendre les Algériens avec cet attrape-couillons ? Avez-vous songé que les Arabes se multiplieront par cinq, puis par dix, pendant que la population française restera presque stationnaire ? Il Y aurait deux cents, puis quatre cents députés arabes à Paris ? Vous voyez un président arabe à l’Élysée ? »
(Charles de Gaulle, rapporté par Alain Peyrefitte).

    « Et puis, Delbecque, vous nous voyez mélangés avec des Musulmans ? Ce sont des gens différents de nous. Vous nous voyez mariant nos filles avec des Arabes ? »
(Cité par J.R. Tournoux, La tragédie du Général, Éditions Plon, 1967).

  « Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont les Arabes, les Français sont les Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? »
(Cité par A. Peyrefitte. C’était de Gaulle. Éditions Gallimard, 2000. Propos tenus le 5 mars 1959).

    « Qu’est-ce que les Arabes ? Les Arabes sont un peuple qui, depuis les jours de Mahomet, n’ont jamais réussi à constituer un État... Avez-vous vu une digue construite par les Arabes ? Nulle part. Cela n’existe pas. Les Arabes disent qu’ils ont inventé l’algèbre et construit d’énormes mosquées. Mais ce fut entièrement l’œuvre des esclaves chrétiens qu’ils avaient capturés... Ce ne furent pas les Arabes eux-mêmes... Ils ne peuvent rien faire seuls. »
(Cité par Cyrus Sulzberger, Les derniers des géants, Éditions Albin Michel, 1972)

Source.
http://www.bladi.net/forum/129894-degaules-musulmans/
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19 mai 2009 2 19 /05 /mai /2009 09:44
Un vieux chêne nommé Pétain
[jeudi 16 avril 2009]
Emmanuelle LOYER

Le paysage, objet d’histoire
       Guerre et nature sous Vichy : d’emblée, le sous-titre étonne. La longue durée du paysage et l’irruption de la violence et de la guerre semblent participer de tempos irréconciliables. Spontanément, nous pensons comme Elzéard Bouffer, ce personnage du conte de Giono, qui persiste à planter des arbres d’année en année, reboise les terres hautes et désertifiées, entre Durance et Drôme (L’homme qui plantait des arbres), indifférent au temps qui passe et aux deux guerres qui ont son à peine effleurées son existence d’homme : la nature et son rythme de transformation opéreraient à distance de l’Histoire, en deçà ou au delà.
       Chris Pearson nous montre le contraire, en s’appuyant sur quelques autorités historiographiques - Lucien Febvre, Fernand Braudel- : le paysage, et particulièrement celui façonné par l’homme, est un objet digne d’histoire. Il aurait pu également convier Michelet, Michelet herborisant avec sa femme dans les montagnes du Valais entre deux chapitres de son XVIème siècle, Michelet auteur à succès de L’oiseau et de L’insecte, rêvant de réconcilier histoire et histoire naturelle. Bref, le lecteur est très vite convaincu de la pertinence de cette histoire éco-géographique de la période de guerre qui renouvelle l’abondante historiographie sur Vichy.
 
Cette terre qui « ne ment pas »

     Les recherches de Chris Pearson confirment le caractère souvent syncrétique et profondément contradictoire des politiques vichystes. Le slogan du « retour à la terre » relève certes d’une critique ruraliste et anti-moderne de l’entre-deux-guerres, mais s’inscrit aussi dans la promotion par le Front populaire de la jeunesse et du plein air. La « guerre à la friche », immédiatement déclenchée par les autorités, est évidemment une réponse de la France défaite face aux pénuries alimentaires mais aussi une politique symbolique visant à illustrer le régénération du pays après une Troisième République qui a laissé l’exode rural vider les belles campagnes de France.
        À la diversité des idéologies de ce ruralisme ronronnant répond une large palette de pratiques en temps de guerre, car on voit aussi bien les Chantiers de Jeunesse que les Éclaireurs israélites de France se lancer dans cette noble croisade ; à côté de certains citadins gagnés aux charmes de la vie rurale, nombreux sont les artistes, juifs, proscrits de tout bord qui profitent de cette opportunité pour chercher refuge dans des villages isolés. Cultiver toute la terre arable, convertir en potagers les jardins citadins, drainer les marais, dans la Limagne et en Saintonge notamment, telle est l’utopie vichyste d’une nature domestiquée et productive.      
        Face à cet idéal, les terres sauvages et stériles sont l’ennemi. La guerre menée contre le maquis,  l’image même d’une formation forestière dégradée selon les géographes, devient sémantique dès lors que les insurgés vont se concentrer dans ces espaces rebelles à la culture et imposer une signification politique précise à la « prise du maquis ».

Titre du livre : Scarred Landscapes : War and Nature in Vichy France
Auteur : Chris Pearson
Éditeur : Palgrave Macmillan
Date de publication : 31/10/08
280 pages /
50,10 €
N° ISBN : 0230220126

Source.
http://www.nonfiction.fr/article-2410-un_vieux_chene_nomme_petain.htm
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17 mai 2009 7 17 /05 /mai /2009 11:53
    Pendant qu'à Cluny se poursuit l'exposition présentant l'ensemble de la programmation événementielle 2009-2010, le site clunisien de Souvigny dans l'Allier - troisième  fille de Cluny et fortement impliquée dans les célébrations du 11e centenaire -va procéder ce dimanche 10 mai à l'inauguration officielle de la restitution des tombeaux de deux saints abbés de Cluny : Mayeul et Odilon.
      C'est en effet à Souvigny que sont décédés et ont été inhumés Mayeul (en 994) et son successeur Odilon (en 1049). Leur tombeau devint rapidement un lieu de pèlerinage, puis leurs reliques ont été transférées au Moyen-Âge. Au XIXe siècle, le curé a installé un petit musée dans l'église, Saint-PIerre-Saint-Paul avec parmi les éléments lapidaires rescapés des destructions révolutionnaires, un tiers de gisant décapité.
      Lors des fouilles entreprises en 2001, afin de localiser dans la nef la sépulture des abbés dont rien de visible ne subsistait, les archéologues ont retrouvé le caveau et, à l'intérieur, 2134 fragments et deux têtes, dont l'une s'ajustait sur la partie de gisant connu. Au cours de la longue et patiente restauration (financée par une fondation américaine : la french héritage society), il s'est avéré que les fragments retrouvés formaient un second gisant, auquel correspondait la seconde tête. Le premier gisant restauré a été présenté à Cluny, lors d'une exposition au musée d'art et d'archéologie début 2007.
      Ce dimanche, les cérémonies ont débuté autour du tombeau des saints abbés reconstitué à son emplacement d'origine par une visite de la délégation américaine, puis une grand-messe solennelle a été célébrée à 10 h 30 et l'inauguration officielle a eu lieu à 15 h 30, suivie d'un concert d'orgue et la présentation de « Cluny 2010 » par le président de la fédération des sites Clunisiens.
   J.- C. Vouillon

Source.
http://www.lejsl.com/actu/macon/20090511.JSA7874.html
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16 mai 2009 6 16 /05 /mai /2009 14:50
      Les aléas du web reservent parfois de  bienheureuses surprises. Ainsi en est-il de cette  correspondance reçue d’Istambul suite à la publication que  le blog de la Charte de Fontevrault avait  fait d’un article consacré  au prince Zizim ( Djem) et  dont les références  sont rappelées  ci-dessous :

Dimanche 26 avril 2009
RENCONTRE GALANTE A AUBUSSON (CREUSE) ; Le prince Zizim et la douce Philippine
http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-30708754.html

   Cet article  a été  relayé par le blog  "Couleurs d'Istambul" à propos duquel  nous vous donnons  quelques détails ci-dessous.

Description : Un blog pour tous ceux qui veulent prendre le temps de voir les couleurs de la vie...à Istanbul où en Turquie et ailleurs. Promis je vous en ferai voir de toutes les couleurs

Vendredi 15 mai 2009
Un Prince Ottoman à Bourganeuf, couleurs de Creuse
Source.
 

    J'ai été ravie de découvrir un article sur Djem sur over-blog et je remercie son auteur de m'avoir autorisée à mettre son billet en lien ici, lien sur lequel vous pourrez en savoir bien plus et écouter l'histoire de ce beau Prince.

                                      Nina d’Istambul.
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16 mai 2009 6 16 /05 /mai /2009 11:36
Le nombre de la bête :(Apoc. 13,18)

13:11 Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, et qui parlait comme un dragon.
(...)
13:16 Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front,
13:17 et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom.

13:18 C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six.


    Le  copyright  ci-dessous nous  empêche  de  vous en dire plus, mais cela ne  vous empêche pas d’aller lire la savante  et  complexe analyse  à laquelle donne accès le lien ci-dessous.

"Reproduction interdite sans autorisation de l'auteur".

Source.
http://users.skynet.be/sky50779/beast.htm
Herman H. SOMERS
Laboratorium voor Psychologie
email adres : herman.somers@skynet.be
fax tel 32.16.225697
Tivolistr. 31
3001 Belgium

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16 mai 2009 6 16 /05 /mai /2009 09:40
Ruine-de-Rome - Cymbalaria muralis (ou cymbalaire des murs)

Spermaphytes >>Angiospermes >>Lignée IV >>Phylum 06 >>Tubiflorales >>Scrofulariacées
           
[Angiosperme]   [Dicotylédone] 

      Lieu de vie:      
      Murs et rochers      
             
      Date et Lieu de récolte:      
      Plante récoltée à Paimpont (Bretagne) en mai 2000.      
             
      Description et Caractéristiques :
     
      Vivace, glabre souvent violacée. Les feuilles sont palmées avec un long pétiole.Les fleurs mauves sont portées par un long pédoncule à l'aisselle des feuilles.

Source.
 
et si vous voulez la voir en photos.
Source.
http://floreve.over-blog.com/article-4308032.html

Pour une  vision un peu moins bucolique, enfin ;

Ruines-de-Rome, par Pierre Senges.
Verticales, 252 p., 15 euros.

Par Le Naire Olivier, publié le 31/01/2002
 
     Comment venir à bout de l'humanité? En transformant les villes en jungles amazoniennes. Pierre Senges a vraiment de drôles d'idées
(…)
     On l'aura compris, Pierre Senges est à ranger dans la catégorie dite «des esthètes turbulents», ce qu'il confirme avec Ruines-de-Rome, épatant petit précis de subversion botanique que l'on aurait bien pu intituler La Mauvaise Santé par les plantes ou encore Les Cent Fleurs de l'apocalypse.

     Cette fois, le narrateur est un modeste employé du cadastre qui, dans son bureau poussiéreux, a eu tout le temps de ruminer ses rancoeurs contre le monde et de rêver à la manière adéquate de l'exterminer
(…)
     Alors, au bord des autoroutes ou des grands boulevards, il s'est mis à semer la garance, la mauve et le mimosa. Devant les ministères, les commissariats, dans les squares, il a disséminé l'herbe à couper le fer, la renoncule scélérate, le crachat-de-lune, la trompette-du-Jugement-dernier, l'astragale hérissée de piquants, la ronce à deux faces et, bien sûr, la ruine-de-Rome.
(...)
    Le lierre est devenu sa patiente armée des ombres, la glycine, sa Mata Hari en robe mauve. Qui se méfierait des plantes? Qui aurait peur d'un jardinier?

Source.
http://www.lexpress.fr/informations/semeur-de-reves_647103
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15 mai 2009 5 15 /05 /mai /2009 14:25
                                  ARMOIRIES  DE JEANNE D'ARC .
    D’azur  a une couronne royale d’or soutenue d'une épée à la garde d’or en pal adextrée et  senestrée de deux fleurs de lys.
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15 mai 2009 5 15 /05 /mai /2009 08:37

   Pour Mgr de Germiny, évêque de Blois,"cela semblerait juste et bon".

Michel Janva
Posté le 12 mai 2009 par Michel Janva à 18h04 | Catégorie(s): L'Eglise : L'Eglise en France

Commentaires
  Normalement, le fait d'être docteur implique que l'on ait laissé un corpus d'enseignement (docere, doctus).
Un théologien peut être docteur de l'Eglise. Pas une jeune fille qui n'a pas enseigné théologiquement, même si les "enseignements" concrets de Jehanne sont sublimes.
Jehanne ne gagnerait rien à être haussée au rang de docteur de l'Eglise, bien au contraire. Il faut conserver à Jehanne sa proximité, son "accessibilité"...
    Rédigé par: Berg | 12 mai 2009 21:17:07
   Ce serait bien de valoriser à nouveau une grande Sainte. Après des Saintes comme Thérèse d'Avila ou Edith Stein, cela ferait peut-être enfin taire ceux qui prétendent à la misogynie de l'Eglise.
    Parce qu'on ne peut pas se plaindre d'une certaine forme de misogynie chez les clercs quand elle existe... ce serait plutôt salutaire pour des personnes censées être chastes et fidèles au célibat sacerdotal. _Mais s'il faut louer une certaine forme de misogynie positive il faut dans le même temps s'opposer aux propos sexistes du Cardinal Vingt-Trois (cf le Comité de la Jupe), parce que de tels propos déservent l'ensemble des catholiques.
Rédigé par: Amédée | 12 mai 2009 23:24:39
Il faudrait déjà en parler un peu plus dans nos églises lors des homélies!
    Rédigé par: jeffmoveone | 13 mai 2009 00:30:08
"Un théologien peut être docteur de l'Eglise. Pas une jeune fille qui n'a pas enseigné théologiquement, même si les "enseignements" concrets de Jehanne sont sublimes."_Vous oubliez Ste Thérèse de l'Enfant Jésus. Elle n'était pas théologienne et ses enseignements sont sublimes aussi.
   Rédigé par: lerda | 13 mai 2009 05:26:18
On connaît au moins de Jeanne, rétorquant à ses interrogateurs retors, deux réponses géniales : un aphorisme théologique ("Met avis que JC et l'Eglise, c'est tout un") et une prière invoquant Dieu et l'état de grâce ("Si je n'y suis, qu'Il m'y mette, si j'y suis, qu'Il m'y garde"). J'ai cité de mémoire.
   Rédigé par: L. Chéron | 13 mai 2009 19:36:22

Source.
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