Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : charte.de.fontevrault.over-blog.com
  • : Le royalisme providentialisme a beau tenir une place importante dans ma vie, il ne m'empêche pas de m'interesser à l'histoire connue - et celle plus cachée- de mon pays. L'humour a aussi sa place dans les pages mise en ligne.
  • Contact

Recherche

Pages

Liens

18 janvier 2011 2 18 /01 /janvier /2011 22:44

    Vous avez pu lire dans la presse l'opposition de certains parents d'éléves aux évaluations qui permettraient  de savoir  ce  que leurs enfants  apprenent réelement à l'école.

http://www.lavoixdesallobroges.org/societe/325-des-parents-deleves-appellent-au-boycott-des-evaluations-de-cm2

 

    Un ami de la Charte de Fontevrault  lui a fait passer le résultat d'évaluations anciennes  qui permettent  de mieux comprendre pourquoi les parents d'éléves aimeraient mieux  que l'expérience ne  soit pas réitérée.

 

    Réponses véridiques  à une interrogation portant sur le  français d'élève de primaire

1. Dans la phrase ''Le voleur a volé les pommes'', où est le sujet ?

- En prison.


2. Le futur du verbe ''je baille'' est... ? 

- je dors.


3. Que veut dire l'eau ''potable'' ?

- C'est celle que l'on peut mettre dans un pot.


4. Qu'est-ce qu'un oiseau migrateur ?

- C'est celui qui ne peut se gratter que la moitié du dos.



5. Que faire la nuit pour éviter les moustiques ?
 - Il faut dormir avec un mousquetaire.


6. À quoi sert la peau de la vache ?
- Elle sert à garder la vache ensemble.


7. Pourquoi le chat a-t-il quatre pattes ?
 - Les deux devant servent à courir, les deux derrière à freiner.


8. Quand dit-on ''chevaux'' ?

- Quand il y a plusieurs chevals


9. Qui a été le premier colon en Amérique ?

- Christophe.


10. Complétez les phrases suivantes :
- À la fin les soldats en ont assez...
   - ...d'être tués. 

- La nuit tombée...
   - ....le renard s'approcha à pas de loup.


11. Pourquoi les requins vivent-ils dans l'eau salée ?
 - Parce que dans l'eau poivrée, ils tousseraient tout le temps.


 12. L'institutrice demande : Quand je dis «je suis belle», quel temps est-ce ?
 - Le passé, madame.

 

  De leur côté, les étudiants niveau bac +3 n'amèliorent pas  le niveau ainsi qu'en témoignent  ces  quelques impropriétés  grammaticales (litotes) relevées dans une  copie qui est, hélas,  loin d'être unique .

Les sommes  perçu par l'Etat

-  L'impôt  direct est donc soumise à ces règles de bases  précitées.

- L'impôt synthétique porte sur un ensemble de bien.

- L'existance de fraude

- C'est l'individu qui calcul le montant

-  C'est rare, ou une évaluation  indicière.

Partager cet article
Repost0
17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 09:10

  Afghanistan : un "padre" catholique dénonce la "déférence" envers l'Islam au sein de l'armée française

   Dans un document de plusieurs pages (qui n'est pas un compte-rendu officiel), dont nous avons eu connaissance, un aumonier catholique dénonce la "déférence" et de "bienveillance" envers l'Islam qui est exigée des militaires français servant en Afghanistan. Ce "padre", l'abbé Benoit Julien de Pommerol, a séjourné en Afghanistan (Surobi) au premier semestre 2010 avec le 2ème Regiment étranger de parachutistes.

 

  "Il y a en Afghanistan une volonté de l'armée française de créer un état d'esprit tout à fait déférent et bienveillant face à l'islam, écrit-il dans son rapport de fin de mission. Une crainte presque servile de déplaire à l'islam.

...

 

Plusieurs affaires pénibles ont provoquées de vrais conflits. Notamment, celle du "voile". En mars 2010, un sergent-chef féminin, A.R., a reçu l'ordre du lieutenant colonel M. de se voiler alors qu'elle se promenait nue tête...


...


  "Lors de l’enterrement du caporal H..., de nombreux maleks et autres dignitaires locaux étaient présents à la prise d’armes. Tous sont restés assis, discutant et plaisantant durant la cérémonie. A la fin de la prise d’armes, plusieurs personnes, légionnaire et sous officiers sont venu me voir pour « me confier une mission », me disaient-ils. « Padre, si on meurt ici, on ne veut pas de ces gens à notre enterrement".


-- Pour prendre connaissance  en entier de l'article dont nous ne donnons ici que des extraits , merci d'activer le lien ci-dessous ou de le  coller , si besoin est, dans la fenêtre de  votre navigateur.

http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Afghanistan-un-padre-catholique-denonce-la-deference-envers-l-Islam-au-sein-de-l-armee-francaise_a104.html

Partager cet article
Repost0
17 janvier 2011 1 17 /01 /janvier /2011 08:22

  NDLRB. Depuis deux ans maintenant, sont organisées à Limoges, dans le cadre étonnant  d'un ancien four à porcelaine,   à l'occasion de  la Saint -Martial- des -Ardents... dont les origines remontent à 994 (!) , un salon littéraire d'automne .

    Laurence en est une des déjà fidèles. Raison de plus donc  pour  je relaye ci-dessous son invitation.


                                                                                                   Alain TEXIER

 

INVITATION
 
   Vous êtes cordialement invité à la soirée lectures publiques faites par les participants de l’atelier d’écriture du mardi soir, animé par Claire Sénamaud.
 
  Cette soirée aura lieu MARDI 18 JANVIER A PARTIR DE 18H30
 à l’auditorium de Jean Gagnant à Limoges
Lectures suivies d’un apéritif.
 
Nous vous attendons nombreux.
 
                                            Laurence POURIEUX
                                            Auteure auto-éditée
                                            LIMOGES


Laurence Haute-vienne
BLOG : http://www.l-ecriture-de-laurence.fr

SITE AUTEUR : http://www.libertybook.fr/laurencepourieux/htm

Partager cet article
Repost0
3 janvier 2011 1 03 /01 /janvier /2011 15:49

DÉCLARATION ROSICRUCIENNE DES DEVOIRS DE L’HOMME
PROLOGUE
     Dès lors que les hommes ont pris conscience de la nécessité de vivre en sociétés organisées,  ils ont généré diverses formes de gouvernement pour en assurer le fonctionnement. Àce jour, il apparaît  que c’est à travers la démocratie que s’expriment le mieux les intérêts et les aspirations des individus  en particulier, et des peuples en général. En effet, bien que ce système soit imparfait et comporte nombre  de faiblesses, ce sont actuellement les sociétés démocratiques qui garantissent le mieux les droits de  l’homme, tels qu’ils ont été définis dans la Déclaration universelle.
      Mais si le respect des droits de chacun est le fondement de toute démocratie, toute démocratie qui n’encourage pas le respect des devoirs correspondants porte en elle les germes de la décadence et  favorise l’émergence d’une dictature. Ainsi que l’histoire l’a montré, le bon fonctionnement d’une société  dépend d’un juste équilibre entre les droits et les devoirs de tout individu. Lorsque cet équilibre en vient à  être rompu, que ce soit d’ailleurs au niveau des gouvernants ou des gouvernés, les totalitarismes les plus extrêmes s’emparent de la situation et plongent les nations concernées dans le chaos et la barbarie.
   À  l’aube du XXIe siècle, nous constatons que dans nombre de pays où la démocratie est devenue  un acquis de longue date, les droits des citoyens priment sur les devoirs qui leur incombent en tant qu’hommes, de sorte que l’équilibre est, sinon rompu entre les uns et les autres, du moins très menacé.
Craignant que ce déséquilibre ne s’amplifie et n’aboutisse dans ces mêmes pays à une régression de la condition humaine, nous soumettons cette Déclaration des devoirs de l’homme à tous ceux et à toutes celles qui partagent notre inquiétude :

 

Article 1 :

   Tout individu a le devoir de respecter sans prévention les droits de l’homme, tels qu’ils sont définis dans la Déclaration universelle.
Article 2 :

    Tout individu a le devoir de se respecter lui-même et de ne pas avilir son corps ou sa conscience par des comportements ou des pratiques mettant en cause sa dignité ou son intégrité

....

   Lire la suite  grâce au lien suivant :

  http://www.rose-croix.org/Documents/Declaration.pdf

 

Et si cela vous interésse, vous pouvez voir aussi:

  http://www.rose-croix.org/

Partager cet article
Repost0
2 janvier 2011 7 02 /01 /janvier /2011 20:40

   " La nature d'une civilisation, c'est ce qui s'agrège autour d'une religion. Notre civilisation est incapable de construire un temple ou un tombeau. Elle sera contrainte de trouver sa valeur fondamentale, ou elle se décomposera. C'est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l'islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine. Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles. A l'origine de la révolution marxiste, on croyait pouvoir endiguer le courant par des solutions partielles. Ni le christianisme, ni les organisations patronales ou ouvrières n'ont trouvé la réponse. De même aujourd'hui, le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l'islam. En théorie, la solution paraît d'ailleurs extrêmement difficile... Peut-être serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à l'aspect français de la question, celle-ci était pensée et appliquée par un véritable homme d'Etat. Les données actuelles du problème portent à croire que des formes variées de dictature musulmane vont s'établir successivement à travers le monde arabe. Quand je dis " musulmane ", je pense moins aux structures religieuses qu'aux structures temporelles découlant de la doctrine de Mahomet.        

      Dès maintenant, le sultan du Maroc est dépassé et Bourguiba ne conservera le pouvoir qu'en devenant une sorte de dictateur. Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l'islam, si elles avaient été appliquées à temps. Actuellement, il est trop tard! Les "misérables" ont d'ailleurs peu à perdre. Ils préféreront conserver leur misère à l'intérieur d'une communauté musulmane. Leur sort sans doute restera inchangé. Nous avons d'eux une conception trop occidentale. Aux bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils préféreront l'avenir de leur race. L'Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce processus. Tout ce que nous pouvons faire, c'est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d'en retarder l'évolution. "

                                                                                    André Malraux, 3 juin 1956

 

Origine

http://www.affection.org/forum-derniere-page_71161.htm


 

Voir aussi sur le même thême.:

Charles de Foucauld et l'Islam

http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-pere-charles-de-foucauld-faites-des-musulmans-des-francais-donc-des-chretiens-sinon-ils-nous-chasseront--40374264.html

de Gaulle et l'Islam.

http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/article-31723750.html



Partager cet article
Repost0
25 décembre 2010 6 25 /12 /décembre /2010 22:15

La Croix du Prêtre

 

                                                                       I

     Cet hiver de 1828 avait été terrible  dans la montagne limousine, longtemps  la neige était  restée.

 Au pied  de la grande  croix qui se dressait alors  tout en en haut de la lande  qui domine le village d’Augerolles, on  avait  fait  au dégel une  bien macabre découverte.

   Qui aurait pu reconnaître  ce cadavre, atrocement mutilé, à demi dévoré par les loups ? Seul signe, à la vérité  bien étrange, un précieux  chapelet  aux grains de nacre  et à la croix d’or enserrait encore ce  qui avait été un poignet.  Cela avait pourtant suffit  au vieux curé de Saint-Pardoux  pour reconnaître  l’Abbé X…, l’ancien desservant de la chapelle du Breuil. Il avait été, tout le monde s’en souvenait, objet de scandales, mais plus de trente ans étaient passés et le vieux prêtre, qui en avait tant  vu, ne crut pas devoir refuser  des obsèques religieuses  ni la terre  consacrée du cimetière paroissial.

 

II

  Aujourd’hui, au Breuil, ne subsiste  que l ‘ancien  presbytère, élégant  petit bâtiment  du XVI e siècle. On croit deviner  encore ce qui avait été le  cimetière, modeste enclos où règnent désormais ronces et  broussailles. Pour ce qui est  de l’église  ou plutôt de la chapelle  du très ancien prieuré, il n’en reste plus  trace  et nul ne pourra  même  vous en désigner l’emplacement.

  Dans l’avant-dernière  décennie du XVIIIe, l’Abbé X. avait été nommé ici. Ce jeune prêtre, mince et presque élégant, malgré la modestie de sa mise, avait d’abord surpris, mais paradoxalement, sa douceur et sa candeur  même avaient  conquis  des villageois auxquels il ne fallait pourtant pas en compter.

  A moins d’une lieue du Breuil  était alors Alesmes. Il y a quelques années  subsistaient encore  sous les couverts des ruines informes. Mais depuis les pierres sont parties pour construire ailleurs.

  Dès lors il est difficile d’imaginer  que ce tout petit village, comme on dit chez nous  où le terme de « hameau »  est ignoré, avait   compté  jusqu’à trois métairies. Une assez belle bâtisse  abritait le maître des lieux. Maison à tour escalière, plus vaste que bien entretenue, et, qu’avec bonne volonté, on baptisait  du nom de château.

 

III

  La  vivaient  à l’époque dont nous parlons, Madame de …, jeune veuve  contrainte de demeurer, faute de moyens, au fond de la province  Marchoise, avec sa fille, Marie-Celeste, encore enfant. On disait   que le défunt mari, joueur impénitent, avait  dilapidé  toute sa fortune, jusques  et y compris la dot de son épouse, dont ne subsistait plus  que le domaine d’Alesme.

  Les deux femmes  étaient assidues  aux offices du breuil  dont le desservant  devint leur invité  chaque dimanche après la grand’ messe.

  Peu à peu, l’abbé X.  avait pris, à vrai dire fort discrètement, ses habitudes au château  et  on avait été  bien aise  de pouvoir  compter sur lui  pour  donner à Marie-Céleste  quelque  instruction.

   L’abbé avait aussi veillé particulièrement à ce qu’elle prépare sérieusement sa première  communion qu’elle devait  faire au printemps, en compagnie  des autres enfants de la paroisse.

    Une grande et belle amitié devait naître entre cette petite fille et le jeune prêtre. Féru d’idées nouvelles, il était surtout un grand admirateur de Jean-Jacques Rousseau. Il se  plaisait  à lire   à son attentive élève, ou à lui faire lire, les passages les plus lyriques   des « Rêveries d’un promeneur solitaire »ou dans l’« Emile » « la profession de foi du vicaire savoyard ». L’Abbé X.. recevait aussi de Paris  de nombreuses  petites feuilles, plus ou moins clandestines qui le renforçaient  dans son adhésion partisane.

 

IV

     Par permission spéciale de l’Evêque de Limoges, Madame  de … avait obtenu  que pour cette année, la communion des  enfants  de la paroisse de  Saint-Pardoux  eût lieu au Breuil  et  non comme habituellement  en l’église du bourg. Ceci pour honorer  l’Abbé X. et  pour le plus grand  bonheur  de Marie-Celeste.

    Pour marquer l’événement, sa mère avait  fait réaliser  spécialement par un joaillier  d’Aubusson le très  beau chapelet à la croix d’or  et aux grains de nacre  qui serait offert à l’enfant  pour ce grand jour. En attendant, on lui en faisait  secret.

     Las, moins d’une  quinzaine avant cette cérémonie, dont on se faisait à l’avance  grande joie, Marie-Celeste  contactait la diphtérie, on disait à l’époque le croup. Et devant  cette terrible maladie, la médecine d’alors  s’avérait d’une impuissance notoire.

   Trois jours durant, sans dormir ni même se nourrir, l’Abbé X. devait   rester en prière dans sa petite église du Breuilh. On avait en vain essayé de le raisonner, il demeurait  en prostration, offrant  sa prière et, au-delà, sa  vie même pour la guérison de Marie-Celeste.

    Au petit matin du  quatrième jour, elle n’était plus de ce monde.

    Dans un élan spontané, lors de la veillée  funèbre où le pauvre prêtre, tenant à peine debout, avait  voulu  être une dernière  fois, près de celle  qu’il avait  tant  voulu sauver, Madame de …  lui demandait d’accepter  le chapelet d’or et de nacre.

    Après cette ultime  visite à Alesmes, l’abbé  devait d’enfermer  au presbytère. Pas une fois, il n’en sortit  jusqu’au jour des obsèques, allant même  jusqu’à ne plus célébrer  sa messe quotidienne. Cet  enterrement  devait se dérouler  de bien étrange façon. Les  assistants furent  frappés  par le caractère   hagard  de l’officiant  et  le décousu de son prône  , centré sur l’éternel scandale   qu’est la souffrance des enfants.

 

V

 

   C’est  durant la  nuit suivante qu’un brusque incendie   devait se déclarer, apparemment  sans raison, dans la chapelle du Breuilh. On lutta en vain, avec de dérisoires moyens. Au matin tout n’était que cendres  et pierres noircies. L’Abbé X. avait  disparu  et  nul  ne l’avait vu  autour du brasier. Il devait demeurer introuvable.

    On sut   bien plus tard  qu’il avait gagné  Paris à pied. A cette époque  troublée de prêtres  jureurs, il tombait dans l’apostasie . lui si doux devint  un des « enragés »  d’Hébert, écrivant  dans son « Père Duchesne », cette feuille extrémiste  et ordurière  qui accusa Robespierre  de modération.

   Certains  ont pensé  que le ci-devant  abbé et l’ex-châtelaine  d’Alesmes  avaient  alors pu se revoir. Cette dernière, fort imprudemment, avait  elle aussi rejoint  la capitale, à cause d’un procès  ayant trait à la succession de  sin défunt mari. Elle espérait  encore  quelques  bribes  d’une fortune engloutie.

   Toujours  est-il  qu’en application de la  sinistre « loi des suspects », Madame de … soupçonnée de tiédeur révolutionnaire  fut déférée   devant le tribunal  de la terreur, condamnée  à mort et exécutée  séance tenante   place de la Concorde.

   On est allé  jusqu’à insinuer  que ce fut  sur dénonciation de  l’ancien desservant  du Breuil, mais  peut –on croire à tant de haîne ?

  A son tour,  il devait , après Thermidor, passer en jugement  et être déporté aux îles  où l’on aurait perdu  sa trace.

 

  Pas pour toujours,  puisque  peut –être le remords devait  le ramener  dans notre montagne où l’attendait une fin horrible  dans le froid et la neige , au pied de cette croix connue depuis  sous le nom de croix du prêtre .

 

                                                                                 R.V.

                                                                              Saint Martin

                                                                           Décembre  2007

Partager cet article
Repost0
21 décembre 2010 2 21 /12 /décembre /2010 09:41

    Le blog de la Charte de Fontevrault  se veut à mi chemin entre la réécriture de l'histoire  de l'ancienne France et la  présentation des limites de la France et  du monde  tels  qu'ils sont  nés et ont grandi des années révolutionnaires.

  Nous ne saurions naturellement  suffire à la tâche; les collaborations  à ce  blog  sont  donc les  bienvenues .
    Si certaines d'entre elles, pourtant, ne rencontrent pas notre complet agrément  en telle ou telle partie de leurs  composantes, nous les publions  avec la  mention "Tribune libre"- Subdivision de notre rubrique :" vous  avez écrit à la Charte"  au début  de leur intitulé.


     Tel  est le  cas  ce  celui dont  vous trouverez  ci-aprés les cordonnées  mis en ligne sur le site élégamment nommé  Ripoublik

  Ripoublik.com est la nouvelle version du blog ripoublik.wordpress.com, démarré fin Novembre 2009.
  Il s’agit d’un journal quotidien en ligne, proposant des articles de type revue de presse (locale, nationale et internationale) ainsi que quelques articles d’opinion. La ligne éditoriale choisie a pour objectif d’observer et d’expliquer la situation actuelle de décadence de la France et de comprendre le contexte géopolitique international à travers un regard français et catholique.
   A ce titre, le fait religieux est thème important, notamment sur la place du Catholicisme, de l’Islam et du Judaïsme en France actuellement.

    L’originalité de notre ligne réside dans notre choix de positionnement: situé entre un Fdesouche, parfois jugé trop païen voir philosémite, et Les Intransigeants, parfois jugé trop complaisant envers l’Islam.

                                                                                                                    Franck ABED

Origine.

  http://ripoublik.com/a-propos/


 

    BHL prend les Chrétiens en otage, par Claude Timmerman

  http://ripoublik.com/2010/12/bhl-prend-les-chretiens-en-otage-par-claude-timmerman/

Partager cet article
Repost0
19 décembre 2010 7 19 /12 /décembre /2010 09:42

La Lettre des Amis du Christ Roi de France
appel urgent et capital

Réjouissez-vous avec  ceux qui sont dans la joie ;
Pleurez avec ceux qui pleurent
Rom. xii, 15

Bien chers amis,

   Pour la plupart Noël sera une occasion de débauche. Comme le dit saint Paul, n’ayez aucune part avec eux (Eph. V, 3).
    Pour nous un jour de grande joie surnaturelle, d’adoration et d’amour.
Malheureusement, pour une famille amie une semaine de deuil !

    Mon ami Rémi Demolins, surmené de travail, est mort vendredi à 17h. Revenant d’Italie, pour raison professionnelle, sa voiture s’est encastrée sous un camion, alors qu’il n’était plus qu’à une heure de chez lui. Père de huit enfants, il laisse une veuve avec quatre enfants encore à charge.
    J’aimais beaucoup Rémi, homme courageux, attachant, lucide, juste et droit. C’était un homme de Foi et de cœur. Tous ceux qui le connaissaient lui étaient très attaché.

    Ayant eu des problèmes professionnels ces dernières années, sa famille se trouve dans le plus grand besoin.
   Son épouse réagit très chrétiennement. Elle me disait ce matin que Rémi est parti le jour où dans les Antiennes du 17 on chante :
     Ô Sagesse, sortie de la bouche du Très-Haut, vous dont l’action s’étend de l’origine des êtres à leur dernière fin, et qui disposez tout avec force et douceur : venez nous enseigner la voie de la prudence.

     Priez pour lui, priez pour eux et pensez à partager sur vos dépenses de Noël.
Soyez généreux et envoyez directement vos dons à :
Madame Sophie Demolins

Le Fief Saint-Joseph,

La Roussière,

85280 La Ferrière.


Louis-Hubert Remy, le 18 décembre 2010
Bien amicalement,

Les Amis du Christ Roi de France

Partager cet article
Repost0
3 décembre 2010 5 03 /12 /décembre /2010 11:22

    Il est des moments où le fait que l'Homme  a été crée à l'image de Dieu  est une  évidence ... C'est  que j'ai ressenti à savourer ce pur moment de  bonheur et à contempler   ces  visages ou rayonnait l'amour de Dieu et des hommes.

 

http://actualitechretienne.wordpress.com/2010/11/24/video-insolite-un-flashmob-chretien-dans-une-gallerie-marchande/

Partager cet article
Repost0
20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 10:45

  La révolution actuelle, qui détruit tout sous nos yeux, la révolution nihiliste n’est pas primordialement une révolution politique, contrairement aux révolutions française ou bolchevique.

      Elle ne vise pas à culbuter une hiérarchie (monarques, aristocrates, officiers ou d’entreprises, etc.), ni à éradiquer une classe sociale. Allant même au-delà de la révolution culturelle lancée par l’Ecole de Francfort dans les années 1920, elle ne se contente pas de s’attaquer insidieusement aux fondements moraux de la société dite «capitaliste». La révolution actuelle s’attaque à tous les fondements de notre identité, visant à une indifférenciation complète, spirituelle, morale et sociale de la société. C’est pour cela qu’elle mérite d’être appelée révolution nihiliste.   Un environnement  technique propice à ces menées  révolutionnaires  Elle est favorisée par des facteurs environnementaux d’ordre technique d’importance primordiale et concourant grandement à caractériser la modernité. Il en est ainsi de ce phénomène capital qu’est le décloisonnement du monde, jouant à la fois sur les déplacements de population rendus très fluides par le développement explosif des moyens de communication. Et en même temps, joue la révolution informatique, dont les conséquences profondes ont été encore à peine envisagées.

      Les révolutionnaires ne sont pour rien dans ces progrès techniques, mais ils en tirent profit. Ce décloisonnement, cette mixité de fait sont facteurs de relativisme et la coexistence de tout avec tout contribue à annihiler les valeurs sacrées – et par conséquent jusqu’alors intangibles. Elle contribue à mettre à mal les principes et les paradigmes de toute société jusqu’alors bien enracinée. Un productivisme sans limite, également induit par les progrès de la technique, contribue pour beaucoup à l’extension d’un matérialisme également ravageur à l’égard de tout sacré, et, par conséquent, à l’égard de toute protection immunitaire de ces mêmes principes et paradigmes.

     La prégnance des médias sur les esprits et les mentalités est un autre trait du XXe siècle dont les artisans de la révolution ont tiré un immense parti.  

 

   Originale, la révolution nihiliste l’est  également dans ses mécanismes. J’en donne ci-dessous un schéma simplifié où quatre acteurs aux assauts enchaînés fonctionnent comme un moteur à quatre temps.  

 

 L’initiative:  les associations et  groupuscules activistes  L’allumage en quelque sorte du moteur, c’est-à-dire l’initiative de mettre à mal tel ou tel élément de notre identité, revient à des groupuscules, associations, partis gauchistes, lobbies, sociétés de pensée, plus ou moins focalisés sur tel ou tel secteur de notre personnalité sociale. Ils sont là, toujours vigilants, prêts à l’action comme des vibrions maléfiques. Ces groupes activistes qui sont légion, présentent une grande diversité de statut et d’organisation. Tout est représenté depuis de simples sociétés de pensée dont l’ancêtre est la franc-maçonnerie, jusqu’à des associations spécialisées dans la chasse à l’homme judiciaire, et, enfin, jusqu’à des groupuscules susceptibles de jeter des masses populaires  dans des manifestations violentes, voire sanguinaires, n’hésitant pas à s’en prendre aux forces de l’ordre, dans une guérilla typiquement révolutionnaire. Le recroquevillement individualiste étant le lot de la majorité des Français, ces actions auraient pu laisser de marbre tous ceux qui n’étaient pas directement concernés, affectés ou malmenés dans leur personne ou leurs biens. L’opération révolutionnaire aurait donc pu faire

long feu.

 

   Mais le relais était prêt, c’était le deuxième temps du moteur.

Les médias,  dont la télévision  Au fur et à mesure, en effet, les médias, eux-mêmes à peu près totalement acquis à l’idéologie des activistes, donnent à «l’événement » choisi comme étincelle une diffusion nationale  – sinon internationale.Ces médias qui entrent dans le jeu sont aussi bien classiques – journaux, périodiques – que nouveaux – Internet–, auxquels s’ajoutent les livres, le cinéma, l’enseignement.  Mais la reine est la télévision. Car l’image est toute-puissante. Par des scènes filmées pouvant être d’un réalisme poignant, la télévision ramasse un «problème» de société sur un cas individuel. Elle fausse littéralement ce «problème» par une scène saisie sur le vif, occultant les racines de la situation dénoncée, de sa complexité, les dangers des solutions déjà suggérées. Ces scènes suscitent l’émotion voire la compassion. Elles déclenchent le réflexe , ‘il faut faire quelque chose». Enfin, cet impact psychologique ne touche pas seulement quelques milliers de citoyens comme peut le faire un journal ; mais des millions de téléspectateurs passifs et perméables devant un tel message. C’est ainsi que l’objectif révolutionnaire de départ des lobbies, aussitôt adopté, instrumentalisé, amplifié, enflammé par les médias, conquiert une opinion infiniment malléable et sans résistance face à la culbute de tous les principes immémoriaux, culbute qu’on lui fait avaler sans broncher.

 

    Le troisième temps, celui de l’opinion, s’accomplit.   L’opinion puis  le

politique  Au sujet de la facilité avec laquelle les médias manipulent l’opinion, des auteurs – dont Vladimir Volkoff – ont déjà noté l’analogie entre les techniques médiatiques de la publicité commerciale et les campagnes de persuasion à finalité morale ou comportementale. Les secondes se sont contentées de reprendre les techniques et les moyens mis au point par les premières. Les campagnes d’affichage de la HALDE disputent à la publicité commerciale les panneaux les mieux situés.Et on se souvient de la photo monstrueuse de Beneton avec un étalon noir chevauchant une jument blanche et suggérant beaucoup plus qu’un simple acte de fécondation dans un haras ouvert à cet effet...La civilisation de l’image qui déferle sur nous a été capturée par le mal qui en fait l’un de ses principaux vecteurs.  

 

  Le dernier temps consiste à mettre en l’action le pouvoir politique de l’Etat.

   Après l’asservissement de l’opinion, l’alignement du politique est automatique. Car le politicien est le domestique de l’opinion. On peut dire sans exagérer, que le soir de son élection, l’homme politique est dominé par une nouvelle obsession: être réélu au bout des années de mandat qui viennent de lui être assurées. Par le relais intercalé des médias, ces hommes

politiques sont piégés entre les mains des groupuscules anti-identaires. La loi qui formate  les esprits  Or, leur rôle dans la progression de la révolution est fondamental, malgré l’insignifiance apparente de leur action dans la société. Jusqu’à l’actuelle révolution nihiliste, la loi condamnait en général les violations des principes traditionnels, en particulier de la morale, et les attaques portées contre les institutions sacrées dont le mariage, la famille, la procréation, la patrie. Ce faisant, la loi contribuait à entretenir les tabous dans les consciences, indispensables  à la survie d’une communauté, et elle concourait donc à structurer une société.  Actuellement, l’inverse s’impose à l’évidence. C’est ainsi que la légalisation de l’avortement en a fait progresser la pratique non seulement par les conditions sanitaires rassurantes dont elle s’accompagnait désormais, mais par la banalisation «morale» qu’elle suscitait dans les esprits. Quand l’Etat crée le PACS, il est doublement coupable. Car il

n’instituait pas seulement une caricature ignoble du mariage à l’intention «de couples» (?) du même sexe. Il a fourni une porte de sortie à des jeunes désireux de stabiliser leur union, mais qui trouvaient dans cette combinaison un substitut commode au mariage, dans la mesure où elle est moins contraignante. Et cela aboutit à cette multitude de faux ménages sans consistance et, trop souvent, sans beaucoup de fécondité. La loi fait pénétrer les concepts révolutionnaires dans les mentalités. Elle les banalise. Elle élimine les rejets immunitaires dont ils étaient l’objet. Elle apporte un concours formidable au progrès de la révolution. Et forts du couronnement de cet acquis législatif, les activistes peuvent lancer de nouveaux chantiers.  Ajoutons pour finir et pour que la boucle soit bouclée, que la plupart des associations, correspondant à ces groupuscules, ne vivent que par les subventions de l’Etat et, à sa suite, des collectivités territoriales.   Les chantiers de la  révolution nihiliste  Les exemples de ces mécanismes de la révolution actuelle sont quasiment quotidiens.

 

    L’affaire des tentes du canal Saint-Martin représente un cas d’école :

    Les associations  « charitables » qui convoquent la masse nécessaire;

    Les  médias, trop contents d’illustrer tous les jours ce barnum circus d’un

nouveau genre ;

    L’opinion  émue parce que trop hébétée pour voir la grosse ficelle ;

    Le monde politique enfin, qui va remédier au problème.

    Et dans la foulée, c’est cette loi au «droit au logement opposable », votée sauf erreur à l’unanimité, qui est une des lois les plus invraisemblables et les plus pernicieuses de notre Histoire.

     Certaine fois, le point de départ est un fait purement mensonger : ainsi de cet homosexuel qui avait été malmené par un homophobe. Peu importe s’il n’en était rien: cela allait faciliter l’inscription de l’homophobie dans les cibles de la HALDE, conférant un statut pseudo-sacralisé à cette pratique contre-nature dont il est désormais  interdit de blasphémer.

   Il aura suffi de quelques centaines de musulmans, poussés par telle ou telle organisation islamiste en mal de nouveaux progrès de l’islam, dûment mise en tam-tam par la télévision, pour aboutir à ce que l’Etat et les collectivités territoriales aident cette sympathique religion à  ériger de tous côtés des minarets, dans notre pays où les églises et les séminaires ferment. 

     Il reste cependant quelques cas où l’initiative est laissée au président de la République sans recourir à notre moteur à quatre temps. Ainsi Chirac a fait inscrire l’abolition de la peine de mortdans la Constitution alors que cette mesure aussi criminelle que l’abolition elle-même il y a un quart de siècle, n’était destinée à faire face à aucune affaire médiatisée.

 

    Nous avons déjà dit que les destructions méthodiquement opérées par la révolution nihiliste portent sur les différents éléments de notre identité française. Leurs cibles sont faciles à énumérer: il suffit de reprendre la liste des différences érigées en discrimination et punies des rigueurs du Code pénal, par les vertueuses lois antidiscriminatoires. Cela prouve à soi tout seul que le moteur  à quatre temps, ci-dessus évoqué, a parfaitement fonctionné pour mettre à mal les fondements spirituels et matériels de la France et sans lesquels elle n’existe plus. C’est ainsi qu’il y a la nation, la religion, les mœurs, le sexe, etc.  En fait, souvent, les objectifs affichés ne sont là que pour en cacher d’autres.

    C’est ainsi que l’antiracisme et ses actions de toutes sortes ont un point commun qui est en fait un racisme anti-français brûlant de haine.

   La lutte en faveur des pauvres peut, dans bien des cas, être d’une hypocrisie consommée. Ainsi, bien des actions en faveur des SDF se mènent en fait au profit d’étrangers légaux ou plus souvent illégaux. Bien sûr, ce n’était pas un mensonge. Ces étrangers eux aussi, nous dit-on, sont pauvres! Le camouflage des étrangers en pauvres est attesté avec les mesures prises parle quatrième temps: le pouvoir politique – national ou territorial – en effet, quand celui-ci s’efforce de faire face aux obligations que l’activisme lui a imposées, que ce soit modestement par des centres

d’hébergement, que ce soit par les programmes immobiliers les plus délirants, les bénéficiaires n’en sont que bien rarement des Français

pauvres mais en quasi-totalité des étrangers.

    Mêmes mensonges, même hypocrisie avec la religion. Tous les niveaux de l’Etat ne se gênent pas pour se livrer à une différence ostentatoire dans le traitement réservé respectivement au catholicisme et à l’islam. Depuis un siècle, la loi de 1905 est appliquée sans mollesse et sans faille à la religion qui a forgé notre pays et son âme. Mais les mesures, parfois les entorses les plus manifestes à cette loi, pleuvent en faveur des musulmans. La construction et l’entretien de leurs mosquées et de leurs lieux de culte finissent par être pris en charge de façon au moins partielle à peu près partout.

NDLRB. Cette   analyse  fait néanmoins  bon marché de l’entretien la plupart  du temps fort  soigné par les pouvoirs publics de la  quasi-totalité des lieux de  culte  construits avant 1905)

     La création d’instituts musulmans, la formation des imams sont de plus en plus assurées par l’argent du contribuable français et, le plus souvent, chrétien, de tradition au moins.

    A ces différences d’ordre matériel s’ajoute une disparité béante de considération. La moindre dégradation à l’égard d’un témoignage de l’islam déclenche un torrent d’indignation et une enquête peut être diligentée par le ministre lui-même. Mais une église brûlée à l’aide de cocktails Molotov n’est qu’un acte banal du petit vandalisme et ne déplace aucune autorité. Il est vrai que si les associations musulmanes et pro musulmanes  – ou plus souvent simplement cathophobes – sont légions, les troupes sont bien peu nombreuses pour défendre la personnalité catholique de notre peuple. Et l’épiscopat moderniste actuel est souvent plus enclin à joindre ses jacasseries à celles des médias en faveur des musulmans qu’à défendre cette Eglise dont ils ont la charge.  

       Cela m’amène à évoquer les adjuvants qui viennent ajouter leurs lamentables cris aux quatre acteurs principaux. Un exemple récent nous en est fourni avec «l’affaire» des étrangers illégaux parents d’enfants scolarisés. Des clercs modernistes se sont mis au premier rang des bobos et des gogos et de leur mauvaise conscience. Ils ont expliqué le «problème» – selon eux: deux lois sont contradictoires, la première qui exige l’expulsion des étrangers illégaux et la seconde qui prévoit la scolarisation de tous les enfants présents sur le territoire. Car cette dernière aboutirait, disent-ils,  à séparer les enfants de leurs parents. Menteurs et tartuffes! Les deux lois ne sont pas contradictoires. Ce qui nous met dans cette situation impossible, c’est que la première – l’interdiction de pénétrer aux étrangers en situation illégale n’est pas respectée. C’est la forfaiture de l’Etat qui crée le prétendu problème.  

 

    Face à ces enchaînements redoutables, peut-on nourrir quelque espoir sur la capacité de la dictature mini-gaulliste de Sarkozy, pour opérer un redressement ou au moins un ralentissement de la subversion révolutionnaire? Les plus naïfs, déterminés à accorder foi et crédit aux déclarations identitaires de la fin de sa campagne électorale, s’efforceront d’y croire et attendent l’avenir avec confiance.

    Je crains au contraire, sur le témoignage irrécusable de la politique que cet homme a menée au cours de ces dernières décennies, que notre moteur à explosion soit transformé en un véritable turbo-réacteur. Les Français l’ont voulu.  

 

                                                                   G.D.


" De la démocratie au  nihilisme"

Présent du 19.11.2010. 

 http://www.present.fr/


Pour écrire au service d'abonnements :abonnements@present.fr

Pour écrire à la rédaction:  : redaction@present.fr

 

 

Partager cet article
Repost0