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  • : Le royalisme providentialisme a beau tenir une place importante dans ma vie, il ne m'empêche pas de m'interesser à l'histoire connue - et celle plus cachée- de mon pays. L'humour a aussi sa place dans les pages mise en ligne.
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29 mars 2010 1 29 /03 /mars /2010 08:53
Revue d'histoire du XIX e siècle
Société d'histoire de la révolution de 1848 et des révolutions du XIX e siècle.

Résumés

    Durant une grande moitié du XIXe siècle, la coutume de chômer le lundi, appelée la Saint Lundi, prend une nouvelle extension en France dans le cadre de la première industrialisation. Cette coutume qui existe surtout dans l’industrie à caractère artisanal, change alors de caractère : suite au développement du travail du dimanche, le lundi chômé devient un temps autonome qui sert aussi progressivement aux activités politiques et syndicales.
      C’est cette dernière circonstance qui vaut à cette coutume, désapprouvée depuis des siècles, les foudres des élites religieuses, économiques, moralistes et philanthropes. En lui opposant les vertus du travail, de la famille, de la sobriété et de l’épargne, celles-ci vont la combattre énergiquement, surtout après la Commune. Mais la quasi-disparition de la Saint Lundi vers la fin du XIXe siècle s’explique aussi par la désaffection d’une grande partie de la classe ouvrière pour cette coutume dorénavant mal famée. Elle lui préfère le repos du dimanche, jour de famille, de loisirs et, désormais, d’activités politiques et syndicales.

Plan

L’évolution de la Saint Lundi
Les acteurs de la Saint Lundi
Les usages de la Saint Lundi
Le discours contre la Saint Lundi
La politisation de la Saint Lundi
La lutte contre la Saint Lundi
Le déclin de la Saint Lundi


       ---------Lire l'article  complet  grâce au lien ci-dessous----------

http://rh19.revues.org/index704.html
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27 mars 2010 6 27 /03 /mars /2010 15:15
    Sylvain Gouguenheim a osé s’en prendre à l’histoire telle qu’on la raconte aujourd’hui, au nom de la réalité historique, correctement observée. Résultat : un best-seller, Aristote au Mont Saint-Michel, et la rancune tenace des caciques de l’université, qui ne décolèrent pas contre ce jeune professeur à l’Ecole normale supérieure…

    Islamophobie savante, c’est le diagnostic que porte le philosophe Alain De Libera sur l’historien Sylvain Gouguenheim. La raison de cette sévérité ? En 2008, Gouguenheim a publié, aux éditions du Seuil, Aristote au Mont Saint-Michel. Dans ce livre, il démontrait, avec des arguments nouveaux, que l’Occident n’avait pas eu besoin de la médiation de l’islam pour recevoir les trésors intellectuels de la civilisation grecque. Le public a plébiscité ce livre. La communauté savante, peu habituée à connaître de pareils tirages pour ses productions trop souvent enfermées dans un ésotérisme corporatif, fit la fine bouche devant le succès. Les colloques se multiplièrent, animés par les caciques du genre, pour démontrer que l’islam était bien à l’origine de la culture occidentale.

      Peine perdue ! La banderille de Sylvain Gouguenheim est devenue une référence pour tous ceux qui évoquent le sujet. On peut dire aujourd’hui tranquillement que l’islam n’a qu’une influence purement anecdotique sur le développement de la culture occidentale. Il ne s’agit pas d’islamophobie. Il s’agit d’avoir le courage de mettre en valeur une réalité historique, même lorsqu’elle ne correspond pas aux besoins de la culture actuellement dominante.
          ---------Lire l'article  complet  grâce au lien ci-dessous----------
Origine.
Metablog . 26 mars 2010
http://ab2t.blogspot.com/2010/03/joel-prieur-gouguenheim-le-moyen-age.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+blogspot%2FIfvW+%28MetaBlog%29


     Vous pouvez lire aussi sur ce même blog :
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22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 09:16
  "La  version imposée  aux masses scolaires  et au grand public  est aujourd'hui celle d'un islam vivier de toutes les sagesses antiques  qu'il aurait transmise par ses traductions à l'Occident  chrétien médiéval ".
   La réalité telle qu'elle ressort des travaux-démonstration  du professeur d'histoire médiévale à l'Ecole  Normale Supérieure  de Lyon Sylvain Gugenheim: "Aristote au Mont-Saint-Michel, les racines  grecques de l'Europe chrétienne" est sensiblement différente:
   "A  l'Islam en tant  que religion,  la civilisation européénne  n'a rien emprunté, ni référence textuelle, ni argument théologique. Il en est de même dans le domaine politique ou juridique"..." L'helllénisation de l'Europe médiévale  fut le fruit des Européens".

                                                                                                                 Henri Servien

Origine.
Lecture et tradition.
N° 371-372. Janvier -Fevrier 2008 p. 16 ss.
BP 1
86190- Chiré-en-Montreuil
Tél. 05-49-51-83-04
Fax. 05-49-51-63-50
CCP. SA. DPF 2920-71 M Bordeaux.

  Les  conclusions  rappelées ci-dessus ont paru  nouvelles à un tel point que même le journal "le Monde" * ... c'est dire! posé la question :  "Et si l'Europe  ne devait pas ses savoirs à l'Islam "?

*Article publié le 04 Avril 2008
Par Roger-Pol Droit
Source : LE MONDE DES LIVRES
Taille de l'article : 876 mots


Lire également 
Pierre Romain. "L'affaire Gougenheim"
Lecture et tradition.
N° 371-372. Janvier -Fevrier 2008 p. 21 ss.



Voir aussi  :
La fable de la transmission arabe du savoir antique
Extraits d’un article de Jacques Heers, NRH n°1 :
     « A en croire nos manuels, ceux d’hier et plus encore ceux d’aujourd’hui, l’héritage de la Grèce et de Rome fut complètement ignoré de notre monde occidental, de la chute de l’empire romain jusqu’à la Renaissance : 1.000 ans d’obscurantisme !
    Et d’affirmer, du même coup, que les auteurs de l’Antiquité ne furent connus que par l’intermédiaire des Arabes, seuls capables d’exploiter et de transmettre cette culture que nos clercs méprisaient.
     Nos livres parlent volontiers des savants et traducteurs de Tolède qui, au temps des califes de Cordoue, auraient étudié et fait connaitre les auteurs anciens. Ils oublient de rappeler que cette ville épiscopale, comme plusieurs autres et nombre de monastères, était déjà, bien avant l’occupation musulmane, un grand foyer de vie intellectuelle pénétrée de culture antique.
      On veut nous faire croire aux pires sottises et l’on nous montre des moines, copistes ignares, occupés à ne retranscrire que des textes sacrés. Pourtant, aucun témoin, aux temps obscurs du Moyen Age, n’a jamais vu une bibliothèque livrée aux flammes et nombreux sont ceux qui, au contraire, parlent de monastères rassemblant d’importants fonds de textes ancien
                ------------Lire l'article  complet  grâce au lien ci-desous-------------------

http://www.fdesouche.com/articles/2111
      Rendre les Occidentaux tributaires des leçons servies par les Arabes n’est rien d’autre qu’une fable".

    Agrégé d’histoire, Jacques Heers a été professeur aux facultés des lettres et aux universités d’Aix-en-Provence, d’Alger, de Caen, de Rouen, de Paris X-Nanterre et de la Sorbonne (Paris IV), directeur du Département d’études médiévales de Paris-Sorbonne.
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17 mars 2010 3 17 /03 /mars /2010 10:05

   "Le renouvellement  sénatorial  de 2011 s'annonce  comme celui de tous les périls  pour la droite  qui pourait perdre sa majorité relative  et , avec elle, la présidence  de la Haute Assemblée. Soucieux de  consolider ses réseaux, son président Gérard Larcher  a préféré une nomination qui lui assurerait  au moins la loyauté  du groupe UMP.
   Le choix d'Hubert Haenel, sénateur UMP du Haut-Rhin  depuis 1986 , offre l'avantage  de libérer sept postes  prestigieux,  donc de faire  autant  d'heureux .
  Parmi les multiples casquettes d'Haenel, la présidence de la  commission des affaires européennes  et celle du groupe  d'amitié France-Saint Siège sont les plus  convoitées".
-------
   Honnêtement , à ce petit jeu- si républicain- auquel s'adonnent avec passion tant la gauche  que la droite , et depuis si longtemps, comment , lorsqu'on est de  bonne  foi, ne pas se  demander :

° s'il était nécesaire de tuer  autant  de monde pendant la révolution dite française  pour en arriver là ?  
° ce qu'il reste de la  devise- présentée   comme républicaine à savoir "Liberté, Egalité, Fraternite" -que l'on  voit parfois gravé aux  frontons de nos  édifices scolaires républicains . C'est probablement pour être  bien sur qu'elle y restera  bien tranquille et  que   cela ne  viendra  jamais à l'idée de personne  de tenter de mettre en application ces "idées folles "

Origine.
Le Figaro . 23 fevrier 2010 p. 3
.

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16 mars 2010 2 16 /03 /mars /2010 08:26

   70 % des femmes  étudiées   ont  vu leur Ange gardien ou des anges  en général pendant leur extase…Pourquoi les Anges apparaissent-ils  si peu aux hommes  et si souvent aux femmes ? Seraient-elles  plus  contemplatives , plus ouvertes, plus sensibles  au caractère  spirituel  et immatériel d’un Ange ?

   On savait  les femmes plus   intuitives, plus réceptives, bref plus sensibles  que les  hommes, mais  les mystiques  nous en donnent  une preuve supplémentaire  écrasante  et indiscutable. Est-ce aussi  parce que  les hommes  sont moins à l’aise dans leur relation avec Dieu ? ( les religieuses  ne se  considèrent-elles pas  comme épouses du Christ, une  chose naturellement  impensable pour les  hommes. Alors décidemment  oui, comme  le  dit la phrase attribuée à Françoise Giroud : « une femme  qui veut  être  comme un homme manque d’ambition »).

 

                                                                                 A.T

                                                                             

Origine.

Pierre Jovanovic

Enquête sur l’existence  des anges gardiens.
Filipacchi. 1993.

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27 février 2010 6 27 /02 /février /2010 14:24

Prophétie mise en ligne  sur le Forum  L'ARCHE DE MARIE

 

   Ce forum est consacré a l’eschatologie et au discernement des prophéties du point de vue de l’église catholique.Nous regardons les prophéties des saints(es), des pères de l'Eglise. Nous abordons aussi la question de la fin des temps et du monde, le grand monarque, l'antéchrist, le retour du christ et les apparitions de la Vierge Marie reconnues par l 'église. Ainsi, l’apparition récente de la Vierge en Argentine ( NDLRB. Probablement de 1983 à 1990) annonce ce qui est écrit dans l’apocalypse et que la Vierge Marie est la nouvelle arche où nous pouvons nous réfugier dans ces temps difficiles qui approchent.

   Ce forum est catholique, mais accepte toute personne sachant se comporter avec respect. Vous découvrirez des choses étonnantes.

 

        Bienvenue.

 

                                                                     Francesco et Abel.


Le Père Constant Louis Marie PEL (1878†1966)


1/ biographie

    Naquit en 1878 à Lantenay, petit village de l’Ain. Il entra à l’âge requis au petit séminaire où il fit de grands progrès dans la vie spirituelle sous la direction du père Crozier, le « saint de Lyon », prêtre mystique et stigmatisé invisiblement (le père Pel héritera, entre autre, du calice ce de grand saint, avec lequel il célébra toute sa vie la sainte messe).


   Ordonné prêtre en 1901, possesseur de deux doctorats, dont celui de théologie, il devint professeur de séminaire. Il fonda deux œuvres : le couvent des religieuses moniales des camaldules à la Seyne-sur-Mer (Var) ainsi que le séminaire du Christ-Roi en Corse à Corte. Ami personnel de Padre Pio, de Charles de Foucault, directeur spirituel de Marthe Robin, avant le chanoine Quinet, il était avant tout un ardent apôtre du Sacré-Cœur de Jésus, un grand dévot au Cœur douloureux et immaculé de Marie et avait un amour brûlant de Jésus-hostie (il fut gratifié de près de 3500 miracles eucharistiques et passait ses nuits debout, le front contre la porte du tabernacle, dans une extase permanente, s’entretenant avec Dieu qu’il voyait face à face).


     Le Père Pel mettait environ deux heures pour célébrer sa messe,à la manière de Padre Pio et passait des journées écrasantes au confessionnal, en plus de son apostolat et des missions qu’il prêchait dans toute la France. Doté d’une santé de fer, il fallut un accident de voiture pour lui ôter la vie : il avait 86 ans.


   « Pourquoi venez-vous me voir puisque vous avez en France un si grand saint ! » Padre Pio à des pélerins de San Giovanni Rotondo.
  
« C’est un curé d’Ars avec la science en plus
» : le Cardinal Maurin de Lyon

   « Il a un beau visage d’ascète qui fascine sur son passage, il suscite l’admiration. Des persones s’agenouillent même devant lui tant sa personne rayonne la présence de Dieu et son amour pour jésus et Marie. Il ne vit que pour eux, oubliant le boire et la manger et même le lsommeil pour être disponible aux âmes. En vérité un autre curé d’Ars. » Extrait des notes de Monsieur l’Abbé Salou, un de ses fils spirituels.

     Un religieux : séminariste, confident et fils spirituel du Père Pel écrivit un livre dans les années 1983-1984 sur son « cher et vénéré Père Pel ». Il y rapporte notamment cette prophétie faite par le saint prêtre, concernant les châtiments qui doivent frapper la France.


2/ Prophétie

 PREMIER AVIS IMPORTANT:
    "Information importante: Les faits, annonces ou textes relatés qui suivent, n'engagent que leur(s) auteur(s) et ne sont en aucun cas reconnus officiellement par L'Eglise Catholique Romaine".

 

DEUXIEME AVIS IMPORTANT:

    Puisque ces faits, annonces ou textes n’ engagent pas l’Eglise Catholique romaine  et d’ailleurs pas d’avantage la charte de Fontevrault, pourquoi le  blog de la charte s’en fait –il l’écho ?

 

    Nous y voyons plusieurs raisons


a) La  prudence nécessaire  de l’église  ( Nous ne donnerons  que l’exemple de Jeanne d’Arc : condamnée au bûcher en 1431 après un procès en hérésie,  béatifiée en  1909 et  canonisée  en 1920. Elle est l'une des trois saintes patrones  de la France).

b) Le fait que  nos lecteurs  manifestent un  intérêt certain pour les textes  prophétiques –apocalyptiques.  Dés  lors , autant  que ce  soit nous  qui les mettions à leur  disposition dès lors  que nous rappelons régulièrement  qu’il ne faut pas les prendre  pour parole d’évangile.

c)Enfin, et cette raison n’est pas la moindre, ce  courant   prophéto-apocalyptique insiste  régulièrement  sur  le retour  du roi…  Si le  blog royaliste providentialiste qu'anime la charte de Fontevrault n’en parlait pas, nous aurions le sentiment de manquer à notre mission

 

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24 février 2010 3 24 /02 /février /2010 18:03
Sujet : La République française coûte bien plus cher que la monarchie

Message n° 1
Fitremann a écrit le 1 avril 2009 à 06:18
Vous avez écrit le 29 décembre 2008 à 16:10
  Voici, chiffres à l'appui, la preuve que la République française coûte beaucoup plus cher que la royauté, sans en avoir les avantages de continuité, de stabilité, de prestige aux immenses retombées économiques.

"Les dépenses de la royauté

  Je suppose que c’est ici que je dois placer un petit couplet sur le coût d’une monarchie, avec son apparat nécessaire, symbole du prestige de la nation et de son autorité dans le monde. La notion de l’apparat politique est d’ailleurs comprise par tous les régimes, et la République française a une garde républicaine, à cheval, rutilante, pour escorter son chef d’Etat. La garde élyséenne a des plumes sur ses shakos, et des présidents ont même jugé important de prendre des décisions à cet égard : Giscard d’Estaing (de droite) les fit retirer, et Mitterrand (de gauche) les fit remettre. Cela dit, il faut bien reconnaître que l’apparat républicain n’a pas l’allure de l’apparat royal.

    Quant à la liste civile du roi, nos compatriotes ignorent généralement que le président a lui aussi une liste civile pour assumer les dépenses de prestige liées à sa fonction. Mais on veut nous faire croire que la république coûte moins cher au citoyen, sous prétexte que les images du prestige sont assurément plus impressionnantes sous une monarchie. C’est l’imagination qui est donc ici une nouvelle fois sollicitée par la propagande républicaine. Nous verrons ce qu’il en est de la réalité.

   L’Éducation nationale de la République prend plaisir à stigmatiser les dépenses de la cour de Louis XVI. Mais ne dit rien sur Napoléon, qui a suivi, et dont les dépenses personnelles étaient nettement plus élevées. C’est un peu comme lorsqu’on reproche à Louis XV ses aventures galantes (mais on ignore que sa femme lui fermait sa chambre) alors qu’on ne trouve rien à redire sur les paillardises d’Henri IV ; les aventures de Napoléon Ier ; la quasi-érotomanie de Napoléon III ; sans parler de l’étranger (le président Kennedy, par exemple).

  En fait, tout repose sur l’imagination et les mythes. Il est tellement facile de frapper l’imagination des citoyens ! Mais s’agissant des dépenses somptuaires, nous allons voir à quel point la réalité contredit la fiction.

  On a du mal à déceler une grande différence d’apparat aujourd’hui entre la République française et la monarchie espagnole, pour prendre l’exemple d’un pays comparable sur lequel règnent d’ailleurs des Bourbons.

   L’exemple le plus haut qui nous soit donné aujourd’hui est celui de l’Angleterre. Certes, les fantasmes peuvent facilement naître au passage des carrosses dorés et des chevaux blancs qui sortent en piaffant de Buckingham. Et de toute évidence, la cour d’Angleterre est aujourd’hui la plus chargée d’apparat dans le monde.

   Mais les chiffres, eux, sont froids, et les voici : l’entretien de l’appareil monarchique en Angleterre coûte 35 centimes de franc par an à chaque sujet de Sa Gracieuse Majesté. Soit 5 centimes d’euro par personne et par an.
   Mais la véritable estimation des coûts n’est pas là.
 
  Reprenons la monarchie britannique, avec ses fastes grandioses. Tout d’abord ils ont une fonction politique et économique importante, car ils contribuent indéniablement à soutenir la place élevée que l’Angleterre tient encore dans le monde, dans la politique internationale, dans les échanges mondiaux, et dans l’imaginaire de l’étranger. Cette place est plus élevée en fait que ne le permettrait la véritable puissance du pays. On voit ici que le prestige a son importance : l’Allemagne, qui est une puissance supérieure, ne rencontre pas le même écho dans le monde.
   Or, imaginons que l’Angleterre devienne une république. On réalise alors que, dans l’idée que nous nous faisons de cette nation, idée qui influe sur notre comportement et nos dispositions à son égard, à sa civilisation propre, à ce qu’elle représente, à l’attirance qu’elle inspire, la disparition de son institution, qui fait aujourd’hui sa gloire, la viderait d’un seul coup d’une large part de son contenu. Et l’on voit ici le prix indirect, à vrai dire impossible à estimer précisément, que l’Angleterre paierait si elle devenait une république.

  Mais il y a des chiffres plus nets, et qui montrent qu’en réalité, la république coûte beaucoup plus cher que la monarchie.

   La liste civile du président de la République déclare environ 25 millions de francs annuels. C’est un chiffre hypocrite qui ne dit pas tout, comme on peut s’y attendre : entre autres exemples, quand un souverain se déplace en avion, le voyage est payé sur sa liste civile ; tandis que les frais de mission du président n’intègrent pas cette ligne budgétaire. Mais tant pis, admettons tout de même ce chiffre. Notre président a été réélu cette année 2002.

  La liste civile de la reine d’Angleterre est d’environ 80 millions de francs. Elle règne depuis 1952.

  La liste civile du roi d’Espagne avoisine les 40 millions. Il règne depuis 1975.

   Une élection présidentielle en France coûte 900 millions de francs. Une seule élection du chef de l’Etat républicain. (L’élection de Nicolas Sarkozy a coûté 300 millions d’euros)

  Ne parlons même pas de la reine d’Angleterre, dont il faut reconnaître que son règne (déjà cinquante années) est quand même au-dessus de la moyenne historique. Restons-en donc à Juan-Carlos, qui règne sur l’Espagne depuis vingt-sept ans, donc la moitié ; tandis que dans le même temps se sont succédé à la présidence de la République : Giscard d’Estaing, deux fois Mitterrand (deux campagnes) et deux fois Chirac (deux campagnes). Ces cinq campagnes de désignation du chef de l’Etat ont coûté quatre milliards et demi de francs.

  Avec l’adoption du quinquennat, cette dépense augmentera, fatalement, puisque les 900 millions devront être dépensés, non plus tous les sept ans, mais tous les cinq ans.

  Calculons donc le coût de nos présidents depuis 1974, élection de Giscard d’Estaing, suivie de près par la montée sur le trône de Juan-Carlos. Calculons selon les dépenses effectives d’aujourd’hui.

   Le roi d’Espagne. Liste civile de 40 millions multipliés par 28 ans égalent 1 milliard 120 millions.

    Le président de la République française. Campagne de désignation(NDLRB. Comprendre les frais induits par l'élection présidentielle)  de 900 millions multipliés par 5 fois égalent 4 milliards 500 millions, plus liste civile de 25 millions, multipliés par 28 ans, soient 700 millions, égalent 5 milliards 200 millions.

   En arrondissant à l’avantage de nos présidents, les chefs d’Etat espagnol et français ont coûté respectivement 1 milliard et cinq milliards.
   Un président de la République française coûte cinq fois plus cher qu’un roi d’Espagne.

    Passons à la monarchie anglaise, fastueuse entre toutes, sur la même période. Nous avons vu que la liste civile de la reine Elisabeth II est à peu près le double de celle du roi d’Espagne. Sa liste civile de 80 millions multipliés par 28 années égale 2 milliards 240 millions.
    Un président de la République coûte deux fois et demi plus cher que la reine d’Angleterre. Et naturellement, je ne compte pas le salaire de conseiller d’Etat que coûte un président à la retraite.

   Et rappelons que la différence s’aggravera encore, puisque nous sommes passés du septennat au quinquennat.

   Autrement dit, sur à peu près la même durée, soit six mandats, soit trente ans, le président de la République coûtera 5 milliards 400 millions de campagnes plus 750 millions de liste civile, égalent 6 milliards 150 millions.
  La reine d’Angleterre coûtera 2 milliards 400 millions.
  Le roi d’Espagne coûtera un milliard 200 millions.

   Voilà l’avenir fiscal que nous prépare la différence entre le coût d’un roi et celui d’un président."

  "Le royalisme en questions" (Yves-Marie ADELINE)

Origine.
 
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21 février 2010 7 21 /02 /février /2010 17:29

   "Dans la théorie politique classique, on distingue trois formes de gouvernement : la monocratie, l'oligarchie, et la démocratie.

S'agissant, en premier lieu, de la monocratie (du grec « monos », un seul, et « kratos », gouvernement), elle renvoie à la forme de gouvernement où le pouvoir est entre les mains d'une seule personne.

     La monocratie connaît cependant deux variantes.

    Il y a d'abord la monarchie, qui s'entend d'une forme de gouvernement où le pouvoir est exercé par un individu désigné sur une base héréditaire. Lorsqu'il s'agit d'une monarchie absolue, le monarque exerce le pouvoir de façon exclusive et n'est limité que par des lois fondamentales et fixes, dites lois fondamentales du royaume (L.F.R.), lesquelles se ramènent - pour la Monarchie française- à un corps de règles constitutionnelles non écrites (principes de primogéniture, de masculinité, de légitimité, de catholicité, d'inaliénabilité du domaine royal, etc.) régissant aussi bien la transmission que l'exercice du pouvoir et destinées à en empêcher la dérive arbitraire. Lorsqu'il s'agit d'une monarchie limitée, ou monarchie constitutionnelle, le pouvoir est borné par une constitution (généralement écrite) et partagé par des organes émanant du peuple et qui en contrôlent l'exercice ; dans la majeure partie des monarchies contemporaines, les monarques, ainsi constitutionnellement dépouillés de la quasi-totalité de leurs prérogatives et dépourvus de tout pouvoir propre de décision, ne sont plus que le symbole de l'unité nationale et un recours possible en cas de crise grave.  

        Il y a ensuite, comme seconde variante de la monocratie, l'autocratie, laquelle réfère à une forme de gouvernement où le pouvoir n'est pas héréditaire mais sans limite et particulièrement autoritaire, arbitraire et brutal, et donc à la tyrannie et au despotisme".

      ------------ La  suite peut –être lue grâce au lien ci-dessous-------------

Origine
http://www.oboulo.com/democratie-18654.html
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20 février 2010 6 20 /02 /février /2010 16:04

   La Contre-Réforme catholique (ou CRC) est un mouvement  ultramontain  et nationaliste issu de la contestation du concile Vatican II, fondé par l'abbé Georges de Nantes en  1967  L'ancien abbé de Nantes était suspens a divinis   depuis le 25 août   1961 .

   La CRC dénonce le concile Vatican II , qu'il considère comme invalide, et l'accuse de contenir de nombreuses erreurs au motif qu'il n'a pas été soumis à l'infaillibilité du Pape. Par exemple, ce mouvement dénonce le dialogue œcuménique et le culte de l'homme, proclamés dans ce qu'il qualifie de "funeste concile'".

   La CRC dénonce autant la liberté religieuse dans le monde que la liberté de  conscience  dans l'Eglise Catholique , tout en considérant que le principe d'égalité entre les religions  va à l'encontre de la notion de  vérité  enseignée par le Christ ("Je suis la Voie, la Vérité, la Vie" a dit ce dernier).

    La CRC est basée sur deux communautés religieuses, à St-Parres-lès-Vaudes, dans l'Aube et au Quebec.

     Le mouvement a été mis au ban de l'Eglise catholique par la hiérarchie ecclésiastique sans jamais pour autant en avoir été exclu ; celle-ci avait suspendu a divinis  l'ancien abbé Georges de Nantes avant la fondation de la CRC. Depuis 2001, Georges de Nantes est frappé par un interdit de célébrer, donner et recevoir les sacrements en tout lieu. C'est la plus forte sanction avant l'excommunication   La CRC n'est reconnue par aucun  évêque catholique.

Origine.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Commissions_d%27enquête_parlementaires_sur_les_sectes_en_France

   La CRC, notamment par la voix de Georges de Nantes et du diacre Bruno Bonnet-Eymard, défend la thèse de l'authenticité du Suaire de Turin  . Selon la CRC, la relique aurait été victime d'une « fraude » lors des analyses au carbone 14 en 1988  fraude « préméditée » par la « maffia » des francs-maçons ; de même, l'incendie de  1997 qui endommagea gravement la cathédrale de Turin, où est conservé le Suaire, serait une « solution finale » mise en œuvre par « ces forces occultes, cette franc-maçonnerie »

Origine.

  http://fr.wikipedia.org/wiki/Ligue_de_la_contre-réforme_catholique

150_points_de_la_Phalange.jpgSur le Site officiel de la CRC
  Le Jeudi 18 février 2010 , obsèques de l'Abbé de Nantes.
Homélie  du Père Raymond Zambelli

Allocution du frère  Bruno de Jésus au cimetière

http://www.crc-resurrection.org/


 

NDLRB. Décédé dimanche, l'abbé de Nantes a été  inhumé jeudi au cimetière de Saint-Parres-lès-Vaudes.

    L'évêché ayant refusé que les funérailles soient célébrées en l'église de cette commune, un office  a été célébré, à 14 h 30, en la chapelle de la Maison Saint-Joseph.


Precision.

À propos des obsèques de l’abbé de Nantes
 
    Suite à l’article paru dans les  colonnes de l'Est-Eclair  relatif au décès de l’abbé Georges de Nantes, le chanoine Joseph Zirnelt, chancelier de l’évêché, nous prie d’insérer:

    «Dans votre édition du 17 février 2010, vous mentionnez que l’évêché de Troyes a refusé que les obsèques de M. l’abbé de Nantes soient célébrées dans l’église paroissiale. C’est la nonciature apostolique, rappelant à l’évêché de Troyes la situation canonique de ce prêtre, qui a demandé que la messe des funérailles ne soit pas célébrée dans l’église de Saint-Parres-lès-Vaudes"
http://www.lest-eclair.fr/index.php/cms/13/article/426307/


 Et aussi un témoignage public de reconnaissance sur :

http://groups.google.fr/group/louisxviiinfo3-/web/actualits-religieuses

 

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15 février 2010 1 15 /02 /février /2010 14:58

   "Il y eut d'abord  dans les années 1930,  le roi Zog qui accuellit beaucoup de  juifs dans son entourage  et délivra nombre de visas  de touristes à tous ceux  qui souhaitaient  fuir un continent  en train de basculer dans l'horreur . Avec l'ambassadeur  américain, Zog Ier  a même projetè  deconstituer un foyer juif  en Albanie ouvert  à tous les persécutés du Reich. L'invasion italienne, en1939, tua ce rêve. L'occupant  commença  à recenser les juifs n à diriger  ceux qui étaient de nationalité étrangère  vers des centres , avant finalement d'admettre  "qu'en Albanie, il n'y a pas de  base légale pour la discrimination raciale".
   Entre la  capitualation italienne et l'arrivée  des Allemands,  le nouveau gouvernement Albanais constitué  " ne toléra pas plus  le port de l'étoile jaune  que la politique antisémite du Reich".


Origine.
Thierry Portes.
Ces JUifs  sauvés par  le code  d'honneur Albanais"
Le Figaro. 9 février 2010 p. 2.

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