Prix du jury oeucuménique & Grand  prix du Festival

Cannes 2010 : Des hommes et des dieux de Xavier Beauvois

 Les tradis  savent  encore, certes ...  mais les autres . Alors comme le  rite du Saint Sacrifice de la messe dit " extraordinaire " connait un fort développement en  ce moment, nous avons l'espérance que le site donné ci-dessous en source sera utile à beaucoup.

O

Office 

  Cérémonie d'église. Office divin : prière publique faite chaque jour par les prêtres, au nom de l'Église. L'Office divin comprend : les nocturnes, prières de la nuit ; les laudes, prières du matin ; prime, prière de la première heure, selon l'ancienne manière de compter (6 heures du matin) ; tierce, prière de la troisième heure (9 h. du matin) ; sexte, prière de la sixième heure (midi) ; none, prière de la neuvième heure, (3 h. du soir) ; vêpres et complies, prière du soir.

Purification 

 Action de purifier, de laver. Le prêtre ayant touché la sainte Hostie, lave légèrement ses doigts dans le calice ou dans un petit vase d'eau, pour en détacher les parcelles sacrées qui y adhéreraient.

Retable 

  (retro, en arrière). Ornement d'architecture en arrière et au-dessus de l'autel. Il consiste souvent dans un tableau, une statue, encadrés de colonnes.

Symbolisme 

   Sens symbolique. Symbolisme des vêtements liturgiques : L'amict, couvrant les épaules signifie la force contre le démon ; l'aube blanche, la pureté ; le cordon fixé à la ceinture rappelle les liens qui attachèrent N. S. et signifie la chasteté ; le manipule passé au bras signifie les travaux de l'apostolat ; l'étole et la chasuble passées autour du cou signifient le joug du Seigneur, la fidélité à l'Église.

Origine. 

  http://www.ceremoniaire.net/sainte_messe/enfants_1931/lexique_al.html#j

                                                                                      (A suivre.)

    Feu à Fontevraud : 15 hectares dévastés !
En 2 heures, ce sont 15 hectares qui sont partis en fumés sur les terrains militaires adjacants du camp de Fontevraud jeudi après-midi. Pas moins de 120 sapeurs-pompiers de tout le Maine et Loire et des départements limitrophes ont lutté pendant plus de 3h pour venir à bout des flammes.

   Attisées par des vents tourbillonnants, les flammes se sont propagées rapidement dans une végétation sèche du vaste terrain.
   L’incendie s’est déclaré sur le terrain militaire de Fontevraud-l’Abbaye vers 13h ravageant en 3 heures près de 15 hectares d’ajoncs, genêts et autres arbustes, sur les 3 000 que compte le camp. De la vingtaine de citernes de pompiers sur place dès le début, ils sont rapidement passés à près de 30 deux heures plus tard, le vent tourbillonant propageant les flammes. Au total, quelques 120 soldats du feu venus de toutes parts du Maine-et-Loire et des renforts d’Indre-et-Loire et de la Vienne pour intervenir sur ce terrain, situé en bordure du département. Vers 16h30, le feu était circonscrit, bien que des petits foyers perduraient de-ci de-là. Les pompiers sont donc restés sur les lieux encore plusieurs heures, afin de sécuriser le périmètre.
 
Exercices pratiques et origines controversées
 
   Ce même jour, le terrain militaire était le cadre d'exercices pratiques : d'une part, une vingtaine de sapeurs pompiers du département effectuait un stage de commendement pour la gestion des feux de forêt...et d'autre part, toute la matinée, l'armée s'adonnait à des exercices de tir à balles et obus réels...Du côté du cabinet du général de l'EAABC (Ecole de Cavalerie), la possibilité qu'une balle ayant ricoché sur une pierre, allumant une étincelle et embrasant les herbes sèches était évoquée. Une explication remise en cause par le chef des opérations sur site, le Lieutenant-Colonel Mazzia : de fait les opérations de tirs se seraient terminées avant midi. C'est vers 13h, alors qu'ils déjeunaient, qu'ils ont remarqué une fumée provenant du terrain et appelé les pompiers. A ce moment-là, seuls quelques dizaines de mêtres carrés avaient pris feu...Une enquête nous éclairera certainement sur les origines...Mais au moins, les stagiaires du feu auront pu profiter d'une mise en situation bien réelle pour mettre leurs acquis en pratique...!

Origine

Article du 20 mai 2010

http://www.saumur-kiosque.com/infos_article.php?id_actu=3639

  L’actualité  quotidienne et ses sanglants faits-divers  démontrent de plus en plus qu’il existe quelques  malfrats pour lesquels  la vie humaine n’a strictement aucune importance. Pour ces personnes  qui abattent  froidement, notamment,  les  jeunes mères de famille, une  seule  solution  la   planche à bascule  de l’échafaud. C’est en assassinant leur prochain qu’ils ont déréglé la  balance  dont le strict  équilibre permet  seul la  vie en société. Pour rétablir l’équilibre des plateaux  il faut alléger le poids que  ces  voyoux  font peser  sur la  société, un homme sans tête sera moins lourd…

   L’on m’objectera  bien sûr  que la France est emprisonnée  dans un réseau de traités et conventions qui lui interdit le minimum syndical, : permettre  à ses enfants de  vivre  sans courir le risque  de  dire au revoir à ses enfants en partant travailler le matin alors qu’il aurait été  bien plus préférable de leur dire « à Dieu ». Certes, mais parions qu’avec quelques  dizaines ou hélas, quelques centaines de morts de forces  de l ’ordre de plus, ce seront les Français qui iront  eux-mêmes chercher l’échafaud afin qu’il trône à nouveau sur nos places publiques.

     S’agissant maintenant de leurs innocentes  victimes, la république se fendra peut-être d’un ruban bleu ou rouge  selon l’émotion populaire qu’on épinglera  sur un coussin au grand vent de la Cour d’honneur des Invalides. Vous savez, ces décorations qui sont -parfois- mises en valeur par la  famille  du récipiendaire, mais  qui sont  - presque toujours-  exilées dans le  couloir  à la génération d’après avant, si on ne les a pas perdues d’ici là, d’échouer  dans le fatras des brocanteurs.

   Redonnons du prix à la vie  à la vie scandaleusement écourtée de  ces  braves et immortalisons  leur  destinée abominablement  tragique en décorant leur famille d’un titre de noblesse, c’est-à-dire d’une  qualité   - la qualité nobiliaire- qui ne  leur  donnera   comme droit supplémentaire  que le droit d’être d’avantage  considéré  par les gens qui parleront d’eux et de l’héroïsme  de  celui ou celle  qui leur aura  valu leur anoblissement. Cette «  noblesse » sera transmise de génération en génération comme un accessoire du nom de famille  qu’on porte, qu’on affiche, qu’on transmet et  qu’on ne met pas sous verre.

   Alors à ce prix, et à ce prix-là seulement, je le crains, je le  crois, je l’affirme, le  sang  qui coulait de la tête  de la policière de  vingt-sept ans mère d’un petit garçon de quatorze mois  n’aura pas été répandu en vain sur les  coussins  de la  voiture et la garniture du tableau de bord.

                                                                La  Boutière

   Par décrêt du président de la république, Aurélie Fouquet ( marièe, un enfant), assassinée dans les conditions rappelées ci-dessus  a été nommée  chevlier de la Légion d'Honneur  , à titre posthume.

   Le  brigadier-chef  blessé dans les mêmes circonstances  a été nommé chevalier dans l'Ordre national du mérite. 

  « Ici  ce n’est plus un cimetière,  C’est une décharge. Qui  pourrait laisser sa mère dans un endroit pareil, ». Tout est dit en peu de mots. ». Seul l’alignement  de quelques  cyprès couchés par le vent trahit la  présence de tombes  dans le cimetière chrétien  de Biir-el-Djir. Dans cette banlieue sud d’Oran, l’ensemble des caveaux ont été profanés ».

     Je n’ai pas – à ma connaissance du moins – de  cimetières  familliaux en Algérie , mais je  comprends la douleur de mes frères pieds noir  moi qui - la nuit où fut proclamée l’indépendance algérienne-en 1962, j’avais dix sept ans-  ait longuement et  douloureusement  pensé à ces places écrasées de  soleil, à ces  côtes  baignées d’une mer bleutée, à ce  vent  tiède à l’origine  mais  qui , devenu brûlant a soufflé  en tempête  sur les pierres , les  gens et les tombes .

       Les sépulcres furent ouverts , les croix  brisés, les ossements  souvent  dispersés. On aurait pu croire  que la présence régulière  en ces  lieux de mosquées  et de croyants musulmans  auraient protégé  nos morts. Hé  bien non, « Comme de nombreux cimetières d’Algérie , celui de Biir-el-Djir  fut profané durant les années 1990, la ‘ décenie noire’ del’islamisme algérien . A la recherche du marbre,  ornant les tombes  et des bijoux qu’auraient pu porter les morts, , des homes ont détruit  des cimetières entiers.  A Biir-el-Djir, petit carré  de 80 tombes,  certains caveaux  ont été carrément  vidés deleurs dépouilles. Dispersées  on ne sait où.»

    Il nous  est dit maintenant   que le respect du aux morts  va –enfin être   pris en compte. Nous en sommes  fort aise. C’est ainsi qu’à  « Tamazouhet, , sept petits  bunkers blancs , bétonnés,  renferment les  restes de 7 700 tombes »… 7 700 tombes  quand même.

   Reste qu’il sera toujours possible de se demander, de l’autre côté de la Méditérannée qui fut pour nous  aussi,   pendant 132 ans, mare nostrum, ce qu’il y a lieu de penser  de la profanation de tombes  ici et là, là chez  nous, en France , au pays dit  des droits de l’homme  en 1792 et après…

                                                                 Alain TEXIER

Origine.

Guillaume  Mollaret

Les pieds-noirs   veulent sauver  leurs cimetières d’Algérie.

Le Figaro. 12 mai 2010 p. 2.