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  • : charte.de.fontevrault.over-blog.com
  • : Le royalisme providentialisme a beau tenir une place importante dans ma vie, il ne m'empêche pas de m'interesser à l'histoire connue - et celle plus cachée- de mon pays. L'humour a aussi sa place dans les pages mise en ligne.
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4 mai 2009 1 04 /05 /mai /2009 09:15
   Si de nombreux royalistes et amis de la famille de France sont venus à Senlis, ceux qui n'ont pu se déplacer peuvent se faire une idée de cet important événement grâce à plusieurs publications sur internet.

* France 3 Nord-Picardie a réalisé un reportage:
* La signature des registres de mariage à l'issue de la messe a été filmée
* Une autre vidéo a été réalisée par "Le Parisien" ;
* Des photos peuvent être vues sur le site "La Couronne".
* Un site présente 55 photos sous le  titre : Mariage religieux de Jean d'Orléans : des invités de premier choix, pour une superbe union royale !
*120 photos de plus , y compris les photos de la  réception privée à Chantilly , mais  vous y serez  grâce à la FRP et à la Charte de Fontevrault, …vous attendent  sur un autre lien donné  également   par la fédération royaliste provencale (F.R.P.).

   Retrouvez ... en prévoyant pas mal de temps pour la 
consultation!toutes les illustrations de  ce mariage des Illustres  grace au lien donné in fine.


Source.
http://federationroyalisteprovencale.hautetfort.com/
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3 mai 2009 7 03 /05 /mai /2009 15:37
  A l'issue d'une catéchèse de l'Avent, l'évêque s'est prêté au jeu du débat avec les nombreux fidèles présents. A la question : "Quelle est la bonne façon d'évangéliser ? ", l'évêque a admis n'être pas « politiquement correct », en proposant une bonne façon de donner un réel témoignage de chrétien heureux... le dimanche. « Outre le fait qu'il y ait des raisons sociologiques, économiques, on y rajoute des raisons religieuses. Si vous ne voulez pas qu'un État supprime le dimanche, encore faudrait-il que les chrétiens ne se comportent pas ce jour-là comme tous les autres jours de la semaine. »

Source.12 décembre 2008


* Trésors de la France  royale. Depuis le concordat de 1802, le diocèse de Léon fondé  au VI eme siècle , est rattaché à celui de Quimper, lui-même amputé de plusieurs paroisses rattachées aux diocèses de Saint-Brieuc ou de Vannes pour correspondre aux limites actuelles du département du Finistère.

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3 mai 2009 7 03 /05 /mai /2009 09:17
Bernadette Chirac  et Rachida Dati au mariage princier

      Pluie de célébrités, de têtes couronnées et de personnalités politiques à Senlis (Oise). Ce matin, dans la ville où Hugues Capet est devenu roi des Francs en 987, le prince Jean d'Orléans s'est marié religieusement à Philomena de Tornos y Steinhart. Agée de 31 ans, cette aristocrate hispano-autrichienne est une descendante des Habsbourg.
     Jean D'Orléans, 43 ans, prétendant au trône de France et duc de Vendôme, est le fils d'Henri, actuel Comte de Paris.
     Pas moins de 800 invités triés sur le volet se sont serré dans la cathédrale Notre-Dame de Senlis pour assister à ces noces prestigieuses. Parmi eux, l'ex-Première dame de France, Bernadette Chirac, l'historien Alain Decaux, le journaliste Stéphane Bern, mais aussi Rachida Dati. Le mois dernier, la Garde des Sceaux, en sa qualité de maire du VIIe arrondissement de Paris, avait procédé à l'union civile du jeune couple.
    A l'issue de la cérémonie religieuse, une réception privée s'est déroulée dans le parc du château de Chantilly, ancienne propriété de la maison d'Orléans.
Source ;
http://www.leparisien.fr/societe/bernadette-et-rachida-au-mariage-princier-02-05-2009-499769.php

Senlis, mariage princier de Jean d'Orleans


    Plus de 800 personnalités du gotha européen, Pilar, la soeur du roi Juan Carlos, pour l'Espagne, les princes Laurent et Philippe pour la Belgique, l'archiduc Lorenz pour l'Autriche, le prince Emmanuel-Philibert de Savoie et les Bourbons des Deux Sicile pour l'Italie, assisteront au mariage religieux du prince Jean d'Orléans, ce samedi à la cathédrale de Senlis, a annoncé le secrétariat du Dauphin de France.
     La garde des Sceaux Rachida Dati, qui a célébré le mariage civil, le ministre du Budget Eric Woerth, élu de l'Oise, Bernadette Chirac, le prince Aga Khan, le prince Guillaume du Luxembourg et les princes du Lichtenstein sont également annoncés parmi les 800 personnalités. Après la cérémonie de mariage célébrée ce matin à 11 heures en la cathédrale Notre-Dame de Senlis, le prince Jean d’Orléans et son épouse Philomena de Tornos y Steinhart, retrouveront leurs invités à l’hippodrome de Chantilly pour la réception.
Source ;
http://www.fmcradio.info/index.php?dd1=6&news=9984

Le prince jean d'Orléans : "Un  moment  solennel, simple et  vrai".

     Pretendant à la couronne, le fils du comte de Paris Jean d’Orléans … nous explique le choix de l’Oise pour cet événement et nous livre ses impressions.

    Vous avez songé à vous marier à Dreux, Amboise et même Saint-Jean-de-Luz. Pourquoi avoir finalement opté pour Senlis ?
Le prince Jean d’Orléans. Nous avons été sensibles au très bon accueil que nous a réservé Senlis. La ville a l’avantage d’être proche de Paris et donc pratique pour nos invités qui viennent de l’étranger. Nous organisons la réception sur l’hippodrome de Chantilly, à une dizaine de kilomètres. D’un côté, nous avons Senlis, Hugues Capet, et de l’autre, Chantilly, le château du duc d’Aumale (NDLR : un des ancêtres de Jean d’Orléans). Historiquement, nous avons l’alpha et l’omega. Mon grand-père, le comte de Paris, habitait à Vineuil-Saint-Firmin (NDLR : face au château) et, jeune adulte, j’allais le voir régulièrement.
Etes-vous surpris par l’intérêt soudain que vous portent les gens ?
    Non. Cela fait bien longtemps qu’il n’y a pas eu de mariage royal en France. Il y a dans notre union un côté prince et princesse qui fait rêver. Les gens ont besoin de voir des événements attrayants. Avec la crise, ce besoin est encore plus frappant. Vu de l’extérieur, l’image de notre mariage n’est cependant pas vraiment people. Vu de l’intérieur, pour nous, c’est un moment solennel, simple et vrai.
    Etre considéré comme l’héritier du trône a-t-il encore un sens aujourd’hui en France ?
    Je le pense. Il est vrai que dans l’esprit des Français, la royauté, c’est loin… Mais c’est au prince de donner du sens, de trouver sa place pour se mettre au service de son pays. On peut participer au débat public et avoir des positions au-delà des clivages politiques gauche-droite. Je compte mener des actions particulières en faveur de la langue française et dans l’économie sociale. Je souhaite aussi m’impliquer dans l’environnement. J’ai d’ailleurs une forêt en Picardie, en Thiérache, gérée selon les principes de développement durable
.

Source ;
Quelques 800 personnalités du gotha européen au mariage religieux du prince a Senlis, a une cinquantaine de Km au nord de Paris.

        L'Infante Pilar, soeur du roi Juan Carlos pour l'Espagne, les princes Laurent et Philippe pour la Belgique, l'archiduc Lorenz pour l'Autriche, le prince Emmanuel-Philibert de Savoie et les Bourbon des Deux Siciles pour l'Italie, seront présents, a annoncé le secrétariat du Dauphin de France.
      Le prince Aga Khan, le prince Guillaume du Luxembourg et les princes du Lichtenstein doivent également assister à la cérémonie célébrée en la cathédrale de Senlis par Mgr Dominique Rey.
     La ministre de la Justice Rachida Dati, maire du 7e arrondissement de Paris et qui avait célébré le mariage civil le 19 mars, sera présente, de même que l'ex-Première dame de France, Bernadette Chirac, les ambassadeurs du Liban, de Pologne, et le délégué général du Québec.
    Une réception privée doit se dérouler au château de Chantilly.
Jean d'Orléans, Duc de Vendôme, est héritier de la Maison de France et fils d'Henri, actuel Comte de Paris.

Source.
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3 mai 2009 7 03 /05 /mai /2009 09:03
Date de fondation du blog de la charte de Fontevrault :    03/12/2008

                    Visiteurs     Pages lues
A.D. 2008 
    
Décembre       213                 1 171

A.D. 2009     
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Mars             1 051               1 920
Avril             1 196                2 851
                ------------         ---------
  TOTAL        3 573               10 165

Maximum de visiteurs connectés
49 visiteurs le 28 avril 2009
48 visiteurs le 18 avril, 30 avril 2009
47 visiteurs le 20, 29 avril 2009
45 visiteurs le 27 avril 2009

Maximum de pages vues
Mois record :  Janvier  2009 avec 3 377 Pages vues
Journée record : 26 janvier 2009 avec 270 Pages vues
   Et ensuite :
    Le 29 janvier 2009 : 223 pages vues
    Le 3 février 2009 : 195 pages vues
    Le 30  mars 2009 : 176 pages vues
    Le 26 mars 2009 : 174 pages vues
    Le 17 avril 2009 : 162 pages  vues


- Quant à l’indice de satisfaction générale du blog (Blog rank),  il a évolué , depuis l’origine du blog ,dans une  fourchette allant de 5 à son  plus haut 73 (les 26 janvier, 25, 26, 27 février, 16 mars, 10 avril  2009)

     Les indicateurs  en cette  fin du mois d’avril sont  résolument au vert.
    Le nombre de  visiteurs en croissance pour le  troisième mois  consécutif établit un nouveau record de fréquentation, 1196 connexions
- Moyenne journalière du mois :39,86 visiteurs.
- Moyenne journalière depuis la  fondation  du blog calculée sur 149 jours : 23,97 visiteurs.
 
    Quant  au nombre de pages lues, il est enfin en hausse  interrompant  du même  coup la spirale  baissière   commencée en janvier (moyenne journalière de 95,03 pages)

Source . Over-blog administration

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2 mai 2009 6 02 /05 /mai /2009 13:09
    Né vers 941, mort le 22 octobre 996, Hugues Capet est le fils aîné d’Hugues le Grand. Il est surnommé Capet parce que, comme ses ancêtres, il est abbé laïc de Tours, où est conservée la relique du manteau de saint Martin, la capa.
     Hugues Capet est issu d’une famille de la haute aristocratie carolingienne, de titulaires de charges comtales. Son arrière-grand-père, Robert le Fort, avait été doté par Charles le Chauve d’un commandement qui avait assis sa puissance entre la Loire et la Seine.

     A la mort de son père en 956, il est placé sous la tutelle de son oncle, l’archevêque de Cologne. En 960, il reçoit le titre de duc de France en contrepartie de son serment de fidélité au roi carolingien Lothaire. Par héritage paternel, il prend possession des comtés de Paris, d’Orléans, de Dreux et de Senlis.
      Hugues Capet épouse une Carolingienne, Adélaïde de Poitou, femme intelligente et diplomate, qui est de bons conseils pour son époux, lui-même doté d’un esprit vif et rusé, selon le témoignage de ses contemporains.
      En 986, Louis V, fils de Lothaire, meurt à la suite d’un accident de chasse, sans laisser d’héritier. Évinçant Charles de Lorraine, prétendant carolingien, l’assemblée des grands du royaume réunie à Senlis, choisit Hugues Capet pour souverain, le 1er juin 987. Un mois plus tard, il est sacré roi à Noyon le 3 juillet suivant par l’archevêque de Reims, Adalbéron, qui a eu un rôle décisif dans ce choix.
    Suivant l’exemple de Lothaire, Hugues Capet fait élire et sacrer son fils aîné Robert le 25 décembre 987. Tous ses successeurs, jusqu’à Philippe II Auguste, l’imiteront, établissant ainsi la coutume que la couronne de France se transmette héréditairement selon la règle de primogéniture dans la famille capétienne.

   Autrefois riche et puissant duc de France, Hugues Capet est devient un roi relativement pauvre. Le domaine royal correspond environ à deux de nos départements, mais il est au centre de la France, dans une région de grand essor économique. Le roi, doit guerroyer sur son propre territoire pour imposer son autorité sur les petits barons ou les grands vassaux des comtés d’Anjou et de Blois.

    Charles de Lorraine, continue de faire valoir ses droits à la succession. Avec une nouvelle fois la complicité de l’archevêque Adalbéron, Hugues Capet finit par le capturer et l’emprisonner à Orléans en 991. Charles de Lorraine vaincu, le reste du règne d’Hugues Capet se limite à un long et violent conflit avec la papauté à propos du siège épiscopal de Reims, vacant à la mort d’Adalbéron.
     Après un court règne sans grand éclat, le premier Capétien s’éteint près de l’abbaye de Saint-Martin-de-Tours, le 22 octobre 996.

par Webmaster

Source.
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2 mai 2009 6 02 /05 /mai /2009 12:57
  C’est un événement rare que s’apprête à vivre aujourd’hui Senlis, la ville d’Hugues Capet : l’union princière entre le prétendant au trône de France et Philomena de Tornos y Steinhart.
    « Nous sommes très, très heureux de nous marier à Senlis », glisse le prince d’Orléans, 44 ans, prétendant au trône de France. Hier, dans les salons de l’hôtel de ville, des Senlisiens triés sur le volet se pressent en file indienne pour dire un mot aux futurs jeunes époux. Des particules aristocratiques ou quelques vieilles familles locales.
     Aujourd’hui samedi 2 mai, ils ne pourront pas les approcher de si près. Huit cents invités se serreront dans la cathédrale Notre-Dame pour les noces de Jean et de Philomena de Tornos y Steinhart.
    Hier déjà, une douce hystérie tourbillonnait autour des fiancés royaux. Le gotha senlisien veut effleurer ce descendant des Capétiens qui a choisi leur ville pour sceller son union. Une « Senlisienne depuis toujours » tente d’immortaliser l’instant sur son appareil photo jetable. Elle est immédiatement sermonnée par le protocole. Une célèbre agence photo détient l’exclusivité sur les images de Jean et Philomena. « -Rassurez  vous , Je n'allais  pas les vendre à Voici ! » s’exclame-t-elle.
       Pas assez tapageur, le prince Jean de France est à mille lieues de l’hebdo people. Discret, voire timide, Jean d’Orléans semble déboussolé par cette effervescence. Philomena, la descendante des Habsbourg, s’en amuse : « Je passe devant une terrasse et je croise un cousin, un oncle, une tante. Toute la famille est là. Je n’avais pas envie d’un mariage parisien. » Le dauphin de la Maison de France explique le choix senlisien : « Nous avons cherché longtemps. Mais l’histoire est un lien fort qui nous attache à cette ville. Nous avons eu une passion pour les gens. L’accueil immédiat de la mairie et de l’évêché a achevé de nous convaincre. »
      A ses côtés, Philomena, 31 ans, resplendissante dans une robe brodée Christian Lacroix, serre un énorme bouquet de muguet offert par le comité des fêtes de Senlis. Elle vient aussi de recevoir des mains du maire une gerbe de fleurs de lys. Jean-Christophe Canter, ceint de son écharpe tricolore, a préparé un discours aux petits oignons : « Votre histoire est la nôtre et l’on ne peut rien y soustraire. Nous sommes tous solidaires de ces traditions politiques qui sont la charpente invisible de la France avec, comme pierre angulaire, les valeurs fondatrices de l’Occident qui sont notre patrimoine génétique commun (…) Pour moi l’amour de la France se fie des étiquettes, des origines et des systèmes politiques. »

Source.
http://www.leparisien.fr/societe/champagne-et-fleurs-de-lys-pour-le-couple-princier-02-05-2009-498965.php
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2 mai 2009 6 02 /05 /mai /2009 09:52

      Le magazine “Royals”  a publié  fin avril 2009  une longue interview. Jean et Philomena reviennent sur le moment de leur rencontre lors d’un dîner chez des amis communs, sur leurs passions communes et leur souhait d’acheter une maison en région parisienne.
       Philomena de Tornos exprime à plusieurs reprises sa grande estime et sa tendresse pour la duchesse de Montpensier à qui elle demande conseil dans cette dernière ligne droite des préparatifs du mariage. Une mariée qui a un peu de mal à s’habituer à l’intérêt médiatique qu’elle suscite.

       Quant à la robe de mariée, comme déjà dévoilé, elle sera l’oeuvre de Christian Lacroix. Philomena portera un diadème et un voile appartenant tous les deux à sa famille. La robe aura “un volume assez important. Elle est en faille de soie surmontée d’un bustier rebrodé d’arabesques florales“.
      Parmi les petits pages, les princes Pierre et Thérèse, enfants des ducs d’Angoulême et d’autres petits cousins de Jean et Philomena.
   Au niveau musical, il s’agira d’un répertoire classique en français mais ponctué d’orchestrations allemandes, autrichiennes et espagnoles.


Source ;
http://www.noblesseetroyautes.com/nr01/?p=12158
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1 mai 2009 5 01 /05 /mai /2009 21:37
       Aujourd’hui 1er mai, fête du travail et des travailleurs ; mais surtout Fête de Saint Joseph le Juste, l'époux de Marie de Nazareth, le père nourricier de Jésus qui, de ce fait, appartient   à sa lignée, celle de David.
     On sait par la tradition que la Vierge Marie se serait consacrée à Dieu très jeune  et de sa propre volonté, avec l'équivalent, selon l'usage juif de l'époque, des vœux religieux actuels de pauvreté et de chasteté … consécration à vivre dans le cadre d'une vie sociale ordinaire et non retirée du monde ou servant au Temple. Cela impliquant donc que son époux ou bien s'était lui aussi préalablement consacré à Dieu (ce que rapporterait la tradition orale), ou bien avait accepté et juré de respecter la consécration de sa femme et de la vivre avec elle. C'est pourquoi on peut affirmer ce qu'enseignent l'Église catholique et l'Église orthodoxe, à savoir que Joseph et Marie ont continué à vivre dans la chasteté après la naissance de Jésus;
        Joseph, homme modèle de dévotion au Christ et à la Vierge, séduit en particulier les franciscains, qui débattent pour savoir s’il est le dernier des patriarches ou le premier  des saints. Sorti de l’ombre à partir du 13ème siècle, l’Eglise instituera,  à la fin du 15ème siècle, une fête, placée au 19 mars, en son honneur. En 1621, le pape Grégoire XV éleva la fête au rang de fête d'obligation ; en 1642, le pape Urbain VIII en confirma à son tour le rang ; en 1661, après l'apparition et le miracle de la source de Cotignac, Mgr Joseph Ondedei, évêque de Fréjus, reconnut officiellement les apparitions de saint Joseph et en approuva le culte ;cette même année 1661, le roi Louis XIV consacrera la France à saint Joseph,chef de la Sainte Famille ; en 1955 le pape Pie XII reprit bien volontiers le principe de la fête du travail en instituant la solennité de Saint Joseph artisan et en la fixant au 1er mai  de chaque année ; Saint Joseph est ainsi l'un des saints que l'on fête deux fois dans l'année (19 mars et 1er mai) ; le pape Jean XXIII a ajouté son nom au Canon de la Messe.
     Saint patron des familles, des pères de famille, des artisans, des travailleurs, et des mourants, il est aussi le patron des affaires matérielles.
         Bien des livres de la Bible prennent soin de montrer que les événements ou les personnages dont ils parlent s’enracinent dans l’histoire passée, car toute la Bible tire sa force d’une continuité de l’histoire et d’une fidélité de Dieu à ses promesses. C’est le sens de cette “généalogie”, ou liste d’ancêtres.
         La liste arrive jusqu’à Joseph, le père adoptif de Jésus. Parmi les Juifs, cette adoption suffisait pour que Jésus soit tenu pour fils de David, comme Joseph.
         Le Sauveur est la fleur et le fruit de notre terre tout autant que de la race élue (Is 45.8).
      La généalogie ne veut pas seulement donner un renseignement d’archives, elle entend souligner la responsabilité du père qui transmet à la fois la vie et l’héritage d’une lignée.
Voilà pourquoi, nous royalistes, devons nous mettre à l’ouvrage, sous le saint patronage  de saint Joseph qui, parmi les protecteurs de notre Famille, doit pouvoir guider nos actions   et nos réflexions vers Dieu Père Fils et Esprit Saint par Marie Notre douce Mère désignée au pied du calvaire.

      “Glorieux saint Joseph, modèle de tous ceux qui sont voués au travail, obtenez-moi la grâce de travailler en esprit de pénitence pour l'expiation de mes nombreux péchés ; de travailler  en conscience, mettant le culte du devoir au-dessus de mes inclinations ; de travailler avec reconnaissance et joie, regardant comme un honneur d'employer et de développer par le travail les dons reçus de Dieu ; de travailler avec ordre, paix, modération et patience, sans jamais reculer devant la lassitude et les difficultés ; de travailler surtout avec pureté d'intention    et avec détachement de moi-même ayant sans cesse devant les yeux la mort et le compte;que je devrai rendre du temps perdu, des talents inutilisés, du bien omis et des vaines complaisances dans le succès, si funestes à l'œuvre de Dieu. Tout pour Jésus, tout pour Marie, tout à votre imitation, patriarche saint Joseph !
Telle sera ma devise à la vie à la mort. Ainsi soit-il”.

   Prière de saint Pie X au glorieux saint Joseph modèle des travailleurs

Envoi de Benoit Bolon de Treignac

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1 mai 2009 5 01 /05 /mai /2009 15:00
      Vous  vous  attendez peut  être à ce  que je  vous parle  de pizzas Margherita*,  de lasagnes al forno ,ou bien encore de  riso (pâtes) aux seiches et à l'encre. Hé  bien non je  vais  vous parler des anges  parce que des  visages ailés, il y en a  partout  dans  ce restaurant situé  à quelques centaines de mêtres seulement  de la basilique Saint–Marc. Il faut  dire  que la raison sociale du lieu s’y prête : « All ’Angelo ».

    Ces anges ailés,  je les  voyais par dessus l’épaule gauche de mon épouse assise  classiquement  en face de moi, tournant  donc le  dos à une  ribambelle, ou à une  kyrielle  comme préfèrent  dire les tradis de visages ailés et joufflus.
    Certains avaient l’air  heureux  de nous voir, un sourire illuminant  leurs visages, d’autres l’air comme indifférents ne donnaient  pas vraiment l’impression de chercher mon regard. Entre les deux , un certain nombre d’angelots  aux visages  étrangement  souriants  ou placides  selon l’angle sous lequel on les regardait.
    Dans l’ensemble, me demandais- je  est-ce  que ces anges  sont  plutôt  satisfaits ou mécontents de me voir ? Allez   savoir  surtout avec des anges-janus  dont l’expression varie  selon l’angle sous lequel on les regarde ? J’étais certes très heureux d’être à Venise avec mon épouse, comment d’ailleurs ne pas l’être ? mais pour réaliser cette  escapade , j’avais grandement mis à contribution  mon maître du blog, grandeur  et servitude des équipes motivées probablement .
    C’est  cela, semblait me dire un ange « entre  deux »  qui à la pensée, sans doute, des 1200 connexions  presque  atteintes par le  blog de la charte  de Fontevrault  en cette  fin  d’avril  paraissait me sourire … Enfin, il me le semblait.

                                                     Alain TEXIER

     En juin 1889, pour honorer la reine Margherita,(Marguerite de Savoie Turin, 20 novembre 1851 – Bordighera, 4 janvier 1926), née Margherita Teresa Giovanna, princesse de Savoie, fut reine d'Italie de par son mariage avec le roi Humbert Ier. le chef Raffaele Esposito, de l'illustre pizzeria Pietro e basta così décide de créer une pizza spéciale, juste pour elle. Il fait cuire sa pâte au four et la complète avec des tomates, du fromage de Mozzarella (ingrédient non-inclus dans la recette originale car trop onéreux pour les paysans à qui elle était destinée) et du basilic frais (les couleurs du drapeau italien : vert, blanc, et rouge). Cette recette devient la pizza préférée de la reine Margherita et quand le bruit court que c'est le plat préféré de la reine, la pizza devient encore plus populaire parmi les Italiens.
 
Source ;
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pizza
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1 mai 2009 5 01 /05 /mai /2009 10:27
      Le samedi 2 mai, S.A.R. le Prince Jean d’Orléans, Duc de Vendôme, épousera en la cathédrale de Senlis, dans l’Oise, Mlle Philomena de Tornos.

   Ses partisans, comme ses amis, s’en désolaient. A 44 ans, le Prince héritier du Trône de France était encore célibataire et en dépit de sa gentillesse et de son humeur égale, on ne pouvait s’empêcher d’apercevoir sa haute stature surmontée d’un sourire triste. Mais aujourd’hui, c’est un sourire éclatant qui illumine son visage depuis sa rencontre avec Philomena de Tornos, qu’il a épousé civilement le 19 mars dernier à Paris et avec laquelle il s’unira religieusement samedi 2 mai à Senlis.
       Le choix du site n’est pas anodin car, en dépit de son accès facile pour les nombreux invités qui vont venir des quatre coins de l’Europe, Senlis fut le lieu où, en 987, les grands du Royaume choisirent Hugues Capet comme Roi de France et le fondateur de la dynastie dont le Prince Jean d’Orléans peut légitimement aujourd’hui se proclamer l’héritier. Cela signifie aussi que le Prince accepte pleinement cet héritage dont il est prêt à assumer les responsabilités si les circonstances l’y conduisaient. Nulle nostalgie ni encore moins rêverie dans l’esprit du Prince qui se veut moderne dans ces temps qu’il qualifie lui-même de difficiles. En cela, il s’inscrit dans les pas de ses prédécesseurs immédiats.
      Né le 19 mai 1965 à Boulogne-Billancourt, le Prince Jean d’Orléans est le fils d’Henri d’Orléans, Chef de la Maison de France, et de la Princesse Marie-Thérèse de Wurtemberg et le petit-fils du Comte de Paris qui, en 1987, à l’occasion de la célébration du Millénaire capétien, l’avait titré Duc de Vendôme. On sait que le Comte de Paris s’était très impliqué dans la politique française et qu’il avait entretenu des relations suivies tant avec le Général de Gaulle qu’avec François Mitterrand. Très affecté par la séparation de ses parents, le Prince Jean d’Orléans a poursuivi ses études à Paris puis aux États-Unis dont il sort diplômé en philosophie et en droit puis a effectué son service militaire comme officier à Arras. Loin d’envisager de vivre en rentier comme pouvaient encore l’imaginer ses ancêtres, il occupe successivement plusieurs fonctions dans le domaine bancaire et celui du conseil, avant de créer en 2007 sa propre entreprise, la « Société pour le développement du patrimoine historique et culturel français ». C’est dix ans plus tôt, en 1997, qu’il a décidé d’entamer par Bordeaux une série de voyages qui vont le conduire à travers la France mais aussi en Europe, en Amérique, en Afrique du Nord et au Proche-Orient. Partout il est reçu par les autorités politiques, publiques et religieuses. Si la curiosité est présente parfois, la chaleur et la sympathie qu’inspirent sa simplicité et sa spontanéité l’emportent toujours. A l’étranger, comme au Liban, en Pologne et tout récemment à Québec pour le 400ème anniversaire de la fondation de la ville, il est accueilli avec le respect dû à la part de l’Histoire de France qu’il incarne. Le Prince accorde un intérêt tout particulier au développement économique, au bien-être social et à la promotion du patrimoine. C’est la multiplication de ces rencontres avec ceux qui font vivre et avancer ce que d’aucuns appellent le « pays réel » qu’il fonde en 2003 l’Association « Gens de France » destinée à favoriser les relations entre les personnes, contribuer au bien de la France et à son rayonnement à l’étranger. Il y présente sa démarche comme celle d’un prince, prince français et prince chrétien, car il ne cache pas sa foi catholique profonde qui l’a aidé à surmonter les vicissitudes de son existence. Il ne lui manquait donc plus que celle qui pouvait donner sens à son action et l’aider dans sa démarche. Petite-fille du secrétaire particulier du Comte de Barcelone, père de l’actuel Roi Juan-Carlos d’Espagne, concentrée d’Europe par ses origines à la fois espagnole et autrichienne et son éducation française, Philomena de Tornos y Steinhart semble réunir toutes les qualités requises pour réussir cette délicate mission.
      Quand les cloches de la cathédrale de Senlis sonneront, quelles que soient les opinions de chacun sur sa destinée, tous auront néanmoins à coeur de penser ou de dire « Soyez heureux Monseigneur ! ».
Fabrice de CHANCEUIL
© Bulletin de l’Acip – 27 avril 2009


      800 invités sont attendus dés 9h du matin, ce samedi 2 mai, à la cathédrale de Senlis pour entourer les mariés. Des familles royales, cousins du marié, des personnalités politiques et de nombreux amis. Un important dispositif des forces de l’ordre accompagné de 130 bénévoles, sera mobilisé par la Préfecture.
       Les familles royales européennes : La Belgique représentée par le prince Philippe et la princesse Mathilde, le prince Laurent et son épouse, l’archiduc et l’archiduchesse Lorenz d’Autriche. L’Espagne par l’infante Pilar, sœur du roi Juan Carlos 1er. L’Italie par les Bourbons des Deux Sicile et le prince Emmanuel de Savoie. L’Autriche par l’archiduc et l’archiduchesse Rudolf d’Autriche, les nombreux cousins Habsbourg du Duc de Vendôme. Le prince Guillaume du Luxembourg. Les princes du Lichtenstein, les Wurtemberg et la famille d’Orléans au grand complet.
      Des personnalités politiques et du monde culturel : Bernadette Chirac, l’Aga Khan, Rachida Dati, Eric Woerth, Frédéric Mitterand (directeur de la Villa Médicis à Rome), Jean-Jacques Aillagon (ancien ministre de la culture et président du château de Versailles), Jean Raspail (écrivain), le prince Gabriel de Broglie (chancelier de l’Institut de France), Alain Decaux (ancien ministre et membre de l’Académie Française). Le monde diplomatique est représenté par les ambassadeurs du Liban, de Pologne, le délégué général du Québec.

Source.
http://www.france-catholique.fr/Mariage-principer-en-France.html
     Senlis est une commune française, sous-préfecture du département de l'Oise, en région Picardie. Elle se situe sur la Nonette, entre les forêts de Chantilly et d'Ermenonville au sud, et d'Halatte au nord, à quarante kilomètres au nord de Paris.
      De fondation antique, séjour royal durant le Moyen Age, la cité conserve de sa longue histoire un riche patrimoine et possède plusieurs musées. La vieille ville est constituée d'un ensemble de maisons et ruelles anciennes ceintes de remparts gallo-romains et du Moyen Age, autour d'une cathédrale gothique. L'ensemble a été préservé par la création en 1962 d'un secteur sauvegardé de quarante-deux hectares au titre de la loi Malraux. Depuis, la municipalité et les habitants mettent en valeur le patrimoine par la restauration des monuments et de l'habitat ancien et l'organisation de manifestations culturelles à l'image des Rendez-vous de septembre, tout en développant une activité économique tertiaire à proximité de l'autoroute du Nord.

    ( Glanes héraldiques); Les armes de Senlis se blasonnent ainsi : De gueules au pal d'or
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source
http://fr.wikipedia.org/wiki/Senlis_(Oise)
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