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  • : charte.de.fontevrault.over-blog.com
  • : Le royalisme providentialisme a beau tenir une place importante dans ma vie, il ne m'empêche pas de m'interesser à l'histoire connue - et celle plus cachée- de mon pays. L'humour a aussi sa place dans les pages mise en ligne.
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12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 21:55

    Bordeaux, la  vieille cloche  de l’ancien beffroi communal vient  de sonner  4 heures et quart. A Saint-Eloi blotti à ses pieds, le prêtre de permanence en ce samedi après-midi m’attend. Enfin il attend et  comme c’est moi qui, en provenance des archives municipales, me hâte  à  travers les  vieilles  demeures  du quartier Saint- James, il  m’est toujours possible de penser  que Dieu m’a donné rendez- vous  comme la semaine dernière et  comme, s’Il le veut  bien  la semaine prochaine.

   Dans  cette jolie  ville, ce ne sont certes pas les hôtels  particuliers des XV II e et XVII e  qui manquent  mais celui-là au début à gauche de la rue  présente à mes yeux un intérêt supplémentaire, l’existence  d’une table d’attente  ainsi  nommée parce que – justement- elle est en attente de la sculpture des armoiries du propriétaire.

 

    Considérons la façade de cet  hôtel particulier à la symétrie marquée   par  rapport au majestueux porche d’entrée caractéristique des immeubles de cette époque. A la hauteur de  ce  qui devrait  bien être pour notre époque un premier et peut-être même une partie du deuxième étage la  clef  de  voûte  et encore au-dessus  la  table d’attente. Pour un amoureux de l’héraldique comme j’ai le  bonheur  d’être, la  contemplation de  ces  barres de pierre  brute  sortant plus ou moins de la façade dans l’exacte mesure où elles doivent supporter des éléments  plus ou moins en  relief (charges de l’écu ou partition, couronnes, lambrequins …) des  futures armoiries sculptées me ravit.


 

P1020972.JPG

 

     Certes, la survenance  des temps mauvais issus de la révolution dite française, si elle a permis l’achèvement de l’hôtel, n’a pas  permis  que fusent  sculptées les armoiries de  son propriétaire  bâtisseur  là où elles

doivent   être c’est-à-dire au mitan et au sommet  du porche donnant accès à la  cour d’honneur, cour  forcément  d’honneur, mais qu’importe, dans son état  d’inachèvement, cet hôtel particulier témoigne  déjà assez  pour nos générations.

 

    Il témoigne  donc mais de quel témoignage  au juste ? Cet hôtel particulier est la figure  assez exacte  de la   France où nous  vivons, l’hôtel est  vide  de ses  habitants, mais sa majestueuse structure est, du moins, parvenu jusqu’à nous.

     Qu’est  ce  qui nous empêcherait d’ailleurs au juste d’emménager  dans  cet  hôtel ? Au demeurant, fort peu de  chose, nous ne sommes  justes  pas d’accord  sur les pièces que nous pourrions  habiter. Certains affirment  qu’ils étaient là les premiers, d’autres soutiennent  que  c’est bien justement  parce  qu’ils étaient là les derniers  qu’ils ont les  droits  les plus solides à habiter en  ces lieux.

     Passons  et  revenons en à cette table d’attente.Quelles armes  doit-on y faire  figurer ? Ou de façon à peine moins allégorique si l’hôtel  est la figure de la France, alors  les armoiries en attente d’inscription dans la pierre  sont  celles  du roi dont nous demandons à Dieu  l’avènement.

 

   Et c’est ici, pensez -vous peut-être que nous retrouvons  la quadrature  du cercle chère à nos mouvements royalistes : Quel roi demain pour la France ? le problème insoluble.

 

    Qu’on nous  permette  deux courtes remarques à ce propos.

 

- La question de savoir quel sera  le  roi qui régnera demain  sur la France est  un véritable problème. Ceux qui considèrent  aujourd’hui  que  Dieu ayant  déjà  fait  son choix en la personne d’une famille , la question  ne se pose pas  s’illusionnent. Il est  anormal que  Dieu laisse le pays de Son fils aîné en République. S’il le fait, c’est  qu’il attend  de nous que nous changions de  comportement. Faire  comme si tout était normal, c’est justement  ce qui est anormal.

- Ce n’est pas  parce  que nous n’avons pas la  solution d’un problème  qu’il le  faut  considérer  ipso facto comme insoluble. Remettre sa solution entre  les mains de Dieu mettra  de toute  façon fin  à cette insolubilité relative.

 

     Pour autant, ce n’est pas  parce  qu’i n’appartient  qu’à Dieu de désigner  qui sera Son Lieutenant en terre  de France que nous n’avons  rien à faire. Attendre les  bras croisés  et même attendre les mains jointes que Dieu nous  envoie un  roi tout  rôti dans le  bec, si l’on ose s’exprimer ainsi, n’est plus  du providentialisme mais du quiétisme, ce  qui n’est pas la même  chose. Comme le  dit la Charte de Fontevrault  depuis le  jeudi 25 août 1988, nous  devons prier comme si tout dépendait de Dieu et agir comme si tout dépendait de nous

 

  C’est en  admirant les  barres de pierre  brute de la table d’attente  sortant plus ou moins de la façade dans l’exacte mesure où elles doivent supporter des éléments  plus ou moins en  relief que les réflexions  que je  viens de  rappeler  se sont  faites jour. Même si nous ne savons pas   quelles seront les armoiries que  sculptera  le Seigneur  sur le porche d’entrée  donnant accès au palais royal, nous avons du moins à enchâsser  dans la façade  les barres de pierre  de  différentes  épaisseurs et   chacune  selon  notre charisme.

    Ce n’est pas  rien et  cela  conditionne l’avenir ; imaginez  que la  barre  que nous avons à poser ne le soit pas et  c’est  toute la  sculpture définitive qui coure le risque d’être  remise en cause. Au nom  de  tous  ceux  qui nous ont  précédé et au nom de tous ceux  qui nous suivrons, pouvons-nous nous permettre de courir un tel risque.

 

    A  Bordeaux, la  vieille cloche  de l’ancien beffroi communal vient  de sonner  4 heures et  demie. A Saint-Eloi blotti à ses pieds, le prêtre de permanence en ce samedi après-midi m’accueille.

   « Bénissez  moi Mon Père car j'ai péché

 - Je n’ai pas pardonné les offenses  commises par des royalistes servant un autre prince ou principe que le nôtre.

- J'ai tenté de faire primer  ma  volonté  sur la  vôtre s’agissant de  savoir qui doit être  Votre lieutenant  sur le trône de France ».

 

                                                              Alain TEXIER.
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12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 13:20
  L’article  dont vous allez prendre connaissance est un article, au sens que lui donne « Over-blog »  pour le  différencier  des « pages », asez spécifique :

- Il  traite  de la tradition »  républicaine, hommage  que le vice rend à la vertu puisqu’il  témoigne que  même la république n’a pu se passer  du concept  de  « tradition »

- Il a  vocation à rejoindre la « page » toujours au sens que lui donne « Over-blog ", page  que nous avons intitulée « Bêtisier républicain ».

-------

  « La  brigade financière … (qui enquêtait  sur  le député  de l’Essonne) Julien Dray) a dû aussi  mettre en sourdine  ses investigations   durant la  campagne  pour les élections  européennes. Une période  de trêve  imposée  par le parquet  au nom de la tradition républicaine, comme dans d’autres dossiers   politico financiers , il y a quelques années »

Origine. 
Mathieu Delahousse. « Affaire Dray : six mois de soupçons ».

Le Figaro. 16 juin 2009 p.2

 

                                                             A.T.

 

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12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 10:03

* Charles X avait  eu deux  fils   de son union  avec Marie-Thérèse de Savoie mais  son aîné  le duc d’Angoulême  -Louis XIX de droit- n’avait pas eu de descendance.

** La  branche  cadette  , issue de Philippe, duc d’Anjou  second fils de Louis XIV - Philippe V , roi d’Espagne-  régnait alors  au-delà des Pyrénées  et y règne d’ailleurs toujours  en la personne de Juan-Carlos  - Jean Charles I er., représentant  de la branche cadette. C’est  le prince Louis (XX, de  France, de jure) qui est  le chef  de la branche aînée.

*** - A  l’article de la mort, Charles Ferdinand de Bourbon, duc de Berry poussant à un degré  héroïque   la charité  chrétienne et le pardon des offenses avait  demandé  - mais  en vain- à son père, le roi Charles X, la grâce de l’assassin.

   Sans  doute  rachetait-il ainsi  son mariage  secret avec Amy Brown, mariage cassé par  le pape en 1816, d’où  furent  issues deux filles  d’ailleurs légitimées ;

- la Baronne de Charette

- la princesse de Faucigny-Lucinge

**** L’assassinat  s’était  déroulé le 13 février 1820 alors que le  duc  sortait de  l’opéra-comique   construit  en 1792 sur les plans de l’architecte  Victor Louis  par ailleurs architecte du Grand Théâtre de Bordeaux.       

    Cet opéra situé  à l’époque  devant le N° 51 de la rue de  Richelieu, fut, suite à cet assassinat, fermé dans un premier temps avant d’être démoli dans un second (1834). Un square  en occupe  l’emplacement depuis 1836.

**** Héritier  du  sang du roi  Louis XVI  dont il est le petit-neveu.

                                                                                      Alain TEXIER
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11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 10:02

  Pour nous royalistes, cela  sera sûrement un des sommets de l'exposition  organisé  dans une partie de  ce qui fut - et  dece qui reste- un palais impérial et royal...

 Ne resistons pas au plaisir  de blasonner ce tabard ° :
    "Ecartelé:
au 1 et 4,  de gueules à la fleur delys d'or
au 2 et 3, d'azur à la couronne royale fleurdelysée d'or.

   Et lors de votre visite au musée des Arts déco, ne  manquez pas d'expliquer aux  curieux , la signification de  cette étrange  cote  d'armes  portée par cette  figurine à taille humaine, au moins celle d'un enfant de  dix / douze ans si l'on en croit la photo ilustrant l'article.

                                                                                                                     A.T.

Origine.
Direct Bordeaux 7
N ° 1155. Jeudi 10 décembre 2009 p. 12.
  

  ° Le tabar ou tabard est une sorte de toge  que l'on revêtait au dessus de l'armure, à l'époque médiévale . Il servait autant à montrer sa fortune, en fonction de la matière qui le composait, que ses armoiries, brodées sur l'avant et l'arrière du tabar.
    C'est par excellence le vêtement du héraut d'armes. Il figure à ce titre sur la gravure de la pompe funèbre de Charles III de Lorraine, et est encore porté aujourd'hui  par les hérauts de la reine Elizabeth II, tant en Angleterre qu'en Écosse.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Tabar

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11 décembre 2009 5 11 /12 /décembre /2009 08:39
    Sans doute lors de vos visites et excursions, de nombreuses cathédrales, églises, chapelles et oratoires ont déjà attiré vos pas. Spécifiques par leur architecture et par leur histoire notamment, certaines le sont aussi par le titre prestigieux dont certaines sont parées : celui de « Basilique ». Il en est 1200 dans le monde, 950 en Europe et 77 en France. Voilà des chiffres qui témoignent du manque de sens de l’observation et de la dépendance idéologique de ceux qui s’obstinent à nier les racines chrétiennes de l’Europe en général et de la France en particulier. oui, vraiment, si nous , royalistes providentialistes, nous nous  taisions, les pierres- de nos basiliques- crieraient.

    Une basilique catholique qu’elle soit majeure (Quatre à Rome) ou mineure (dont vingt-et-une dans la seule ville éternelle, six dans le seul diocèse de Saint-Brieuc, cinq à Paris et trois à Lourdes) c’est un lieu de culte qui, aux termes du décret du 9 novembre 1989 de la Congrégation du Culte divin et la discipline des sacrements :
- est d’une grande dimension de façon à permettre des célébrations dignes et exemplaires qui puissent servir d’exemple aux autres églises
- est suffisamment connue, au moins dans le diocèse, à raison des circonstances de son édification , de sa consécration, ou parce qu’y est conservé le corps ou une relique insigne d’un saint, ou vénérée plus particulièrement une image sainte.
- dont les liens avec la Chaire de Pierre sont forts- célébration de fêtes religieuses spécifiques exaltant ce lien, comme la solennité des saints apôtres Pierre et Paul le 29 juin
-qui dispose enfin d’un nombre suffisant de prêtres afin de pouvoir dispenser commodément les sacrements de l’Eucharistie et de la Pénitence.

Origine.
LES BASILIQUES AUJOURD’HUI ; Histoire et titre,
Jean-Claude Tarrin.
Letouzey & Ané . 251 pages.
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10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 09:46
    Le duc d'Ayen disait, à l'occasion de la nomination d'un vice-chancelier:
"
Je ne vois dans tout cela  qu'un vice de plus dans l'Etat".
  
   Le  comté d'Ayen fut  érigé en duché  en faveur de Louis de Noailles en  1737. Deouis lors, les aînés de la Maison de Noailles   portent toujours , juqu'à la mort de leur Père, le titre de  duc d'Ayen, Ayen et Noailles étant  deux localités  sises en Corréze
.

                                                                       A.T.
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10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 09:06

  Habile  homme vraiment  que ce 193 e pape, vicaire général  de l’archevêque de Lyon, chapelain du Pape Boniface VIII, puis titulaire  du siège épiscopal aujourd’hui disparu de Saint-Bertrand-de-Comminges (1295) avant d’être élevé à celui de Bordeaux en décembre 1299.

   Diplomate subtil, il s’est fait  du roi d’Angleterre un allié ,  mais il saura se rapprocher du roi de France  au moment où la Guyenne – dont la capitale est Bordeaux- devient française pour dix ans (1294-1304). Couronné Pape à Lyon  le 14 novembre 1305, il ne pourra refuser  au roi de France Philippe-le-Bel  la  suppression de  l’ordre  des Chevaliers de la milice du temple. En revanche, il réussira  à tenir la balance égale entre la cupidité fiscale  du roi de France  et les besoins financiers incessants du roi d’Angleterre Edouard II.

    Ce pape sera également  un pontife bâtisseur ; achèvement de l’édification  de la cathédrale Saint-André de Bordeaux, construction de la collégiale  d’Uzeste où il choisira  d’être  inhumé dans un tombeau  jadis surmonté  d’un baldaquin d’argent  et de reliefs d’albâtre et  surtout le château pontifical de Villandrault-  quadrilatère  régulier  de 52 mètres sur 43 mètres armé de  six tours semblables, à chaque angle  et  de part et  d’autre  de la porte principale) sorti de terre de 1305 à 1312.

   Il n’échappera  pas d’ailleurs aux accusations de  népotisme en comblant  de  bienfaits  sa famille installée aux confins du  bordelais et  du Bazadais ; Bazas autre siège  épiscopal aujourd’hui disparu et rattaché pour ordre à l’Archevêque, primat  d’Aquitaine et  qui se titre aussi aujourd’hui évêque de Bazas.

 

                               A.T.

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9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 13:48

  " Au moment où nous arrivions au sommet de la côte, à l’endroit  où il reste  deux  grosses  vieilles pierres  qu’on dit être  les vestiges d’un château fort, il (NDLRB. Jasmin Delouche) en vint à parler des domaines   qu’il avait  visités  et spécialement  d’un domaine  à demi abandonné aux environs du Vieux Nançay (NDLRB.Département du Cher)  … Il racontait  avoir  vu quelques années  auparavant, dans la chapelle en ruine de cette vieille propriété, une pierre tombale  sur laquelle étaient  gravés ces mots :

« Ci-gît le chevalier Galois

Fidèle  à son Dieu, à son Roi, à sa belle » ".

Origine :

Le Grand Meaulnes.  Troisième Partie. Chapitre premier  « La baignade ».
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9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 08:54

  La princesse Zita de Bourbon-Parme fut et reste pour l’éternité l’épouse, en 1911, de l’Archiduc Charles d’Autriche, petit-neveu  de l’empereur François-Joseph, titré en 1916, Charles I er d’Autriche et Charles IV de Hongrie.

     La  béatification  de l’empereur Charles  en 2004 est intervenue à raison de  sa  vie  de  foi et de souverain catholique  mettant en œuvre lors de son très court  règne (1916-1918) des préoccupations de paix  à l’extérieur  et de justice sociale à l’intérieur.

     De ses préoccupations, sa  femme témoigna sans cesse, de même  qu’elle témoigna jusqu’à la mort  de  son époux  à 34 ans en 1922) et jusqu’à la sienne propre, 67 ans plus tard, de  sa  vocation d’épouse chrétienne et de mère de famille  nombreuse (huit enfants), enfants  qu’elle fut très  vite  contrainte d’élever  seule ou presque.

   N’est-il pas possible de  voir un signe d’affection et d’encouragement  de la Providence  dans la décision  prise par l’Eglise  d’inscrire la mémoire  du bienheureux Charles d’Autriche  à la date du 21 octobre, jour ou Zita et lui se marièrent ?

    L’association (Adhésion simple : 20 €) pour la béatification et la canonisation de la servante de Dieu, oblate de l’abbaye Saint-Pierre de Solesmes  l’Impératrice et Reine Zita, épouse et mère de famille, association  qui peut être jointe à l’adresse  ci-dessous est présidée  par l’historien M. Jean Sevillia  que l’on pourra lire  avec profit  afin de nourrir sa prière afin que ces deux époux puissent se retrouver un jour  sur les autels

Abbaye Saint Pierre

1, place Dom Guéranger

F-72300 SOLESMES
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8 décembre 2009 2 08 /12 /décembre /2009 10:17
Le mot   "carmagnole" est  susceptible de plusieurs acceptions:

- La vile de Carmagnola dans le Piémont prise par les troupes françaises (le maréchal Catinat en 1691 et les bleus en 1796)
- Le vêtement populaire adopté par les révolutionnaires  et qui finit par se  composer  d'un large pantalon de laine noire,d'une veste pareille avec des basques très courtes  , à grand collet et à plusieurs rangées  de boutons métalliques, d'un gilet   tricolore ou écarlate et d'un bonnet  rouge
- Une ronde révolutionnaire
- Une chanson sur l'air de laquelle on dansait la carmagnole 
    Madame Veto avait promis (bis)
    de faire égorger tout Paris (bis).
    Mais le coup a manqué
    grâce à nos canonniers !
    Dansons la carmagnole
    Vive le son (bis)
    Dansons  la carmagnole
    Vive le son du canon !
- Le nom donné aux  plus exaltés du club des Jacobins
- Le  sobriquet  dont les soldats des armées étrangères affublaient  les soldats de la république française
- Le nom d'abord donné aux rapports  et aux  discours du Conventionnel Barrère  tous empreints de l'esprit et des formes révolutionnaires. Le terme  carmagnole  caractérisa ensuite tout discours ou écrit révolutionnaire d epeu d'étendue.
- La fortune du mot  fit  qu'il  se trouva même des carmagnoles thermidoriennes  aprés la  chute  du tyran robespierre le  9 thermidor  an II ( 27 juillet 1794).
- Le "Journal des enfants de Paris" qui avait pour principal objet de  vouer les aristocrates  au ridicule  et qui parut -briévement-en février 1848.


                                                      Alain TEXIER
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