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  • : charte.de.fontevrault.over-blog.com
  • : Le royalisme providentialisme a beau tenir une place importante dans ma vie, il ne m'empêche pas de m'interesser à l'histoire connue - et celle plus cachée- de mon pays. L'humour a aussi sa place dans les pages mise en ligne.
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12 juillet 2009 7 12 /07 /juillet /2009 16:45
CASUS BELLI. Cas de guerre.
    Se dit d'un acte qui peut provoquer les hostilités entre deux peuples. L'insulte faite par un souverain à l'ambassadeur d'une puissance étrangère est toujours un casus belli.

    La prétention de M. Barrot était que, dans le conflit entre l'Autriche et les différentes parties de l'ltalie, le casus belli prévu par les traités de 1815 ne se présentât pas ; mais que si les puissances étrangères intervenaient dans ce débat, en quelque sorte domestique entre l'Autriche et les autres États d'Italie, la France, de son côté, aurait des devoirs à remplir.
SARRANS
Histoire de la Révolution de 1848



CEDANT ARMA TOGAE.  Que les armes le cèdent à la toge.
     C'est un vers que Cicéron fit à sa propre louange, en mémoire de son consulat. Cedant arma togae, concedat laurea linguae ! « Que les armes le cèdent à la toge, les lauriers à l'éloquence ! » C'est-à-dire : Que le pouvoir militaire, représenté par l'épée, fasse place au pouvoir civil, représenté par la toge. Ce vêtement était à Rome ce que nous appelons chez nous l'habit bourgeois.

     Nous fûmes obligés de laisser dans cet appartement quelques portraits de famille et des trophées d'armes, dit le sire de Ravenswood ; oserais-je vous demander ce qu'ils sont devenus ?
     - Cet appartement, répondit le garde des sceaux en hésitant, a été arrangé en notre absence, et vous savez que cedant arma togae est la maxime favorite des jurisconsultes ; je crains qu'on ne l'ait suivie un peu trop à la lettre.
Walter SCOTT
La Fiancée de Lammermoor
....

COGITO, ERGO SUM.  Je pense, donc j'existe.
   Lorsque le philosophe Descartes eut rompu avec les doctrines du passé, qu'il eut dans son esprit fait table rase de tous les principes qu'on lui avait enseignés, afin de reconstruire la doctrine sur l'évidence et la raison, il connut comme première vérité la vérité de son existence, à ce signe, qu'il pensait ; penser, c'est être : Cogito, ergo sum. « Je pense, donc je suis. »

   On rapproche quelquefois la question des brevets d'invention et celle de la propriété littéraire. Il y a pourtant une différence essentielle entre la propriété d'une idée et celle d'une expression. L'auteur de l'Iliade n'est pas propriétaire de la guerre de Troie, ni Bacon de la Méthode expérimentale, ni Descartes du cogito, ergo sum.
J. SIMON
...

CRITERIUM . Moyen de juger.
    Le mot latin criterium a le même sens que l'expression française : pierre de touche *, et il est aujourd'hui consacré dans la langue anglo-française du turf : Criterium pour chevaux de trois ans, etc

* La pierre de touche est, au sens figuré, l'élément qui permet de juger de la valeur d'une idée, d'une théorie.
http://denismerlin.blogspot.com/2008/08/pierre-de-touche.html


   Nous avons dit plus haut sous quel aspect nous apparaissait le rôle de la France dans la civilisation européenne ; notre criterium, relativement à ce qu'on peut appeler l'histoire intérieure, n'est autre que le développement progressif de l'unité nationale.
H. MARTIN
Histoire de France


    Chose singulière, contraste bizarre ! on en est arrivé à croire qu'il est utile à une nation, et même qu'il serait utile au genre humain tout entier, d'employer un système uniforme de poids et mesures, et en même temps à ne pas sentir qu'il y ait besoin pour une nation, que dis-je, pour deux hommes, d'avoir un système uniforme de croyance morale et un criterium commun de vérité et de certitude !
P. LEROUX
Discours aux philosophes

...

Origine.

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12 juillet 2009 7 12 /07 /juillet /2009 12:25
La Maison de France sur le chemin de Saint Jacques…

Image  Le Prince Jean et la Princesse Philomena viennent de terminer leur voyage de noces. Comme ils l'avaient annoncé, il fut long mais pas très éloigné. Ils ont fait le chemin de Saint Jacques entre Saint-Jean-Pied-de-Port et Compostelle.

    La Princesse avait commencé le chemin il y a deux ans au Puy. Le Prince est venu la rejoindre l'année dernière entre Conques et les Pyrénées.

     Ces quelques jours les ayant fortement marqués, ils ont souhaité le continuer ensemble. Aujourd'hui, ils le terminent pour ainsi dire à trois, ayant la joie d'annoncer un heureux événement
Origine .
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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 15:57
  MESSAGE REçU DANS LA  BAL DE LA CHARTE DE FONTEVRAULT.

   J
e vous transmets ce message digne d'intérêt. Je ne connais pas
personnellement Mr GAZEAU, mais je sais par des amis sûrs qu'on peut lui faire confiance -ce n'est pas un canular.
    Personnellement, j'y donne
suite avec joie et sérénité. Peut-être les destinataires de la Charte de Fontevrault  seraient-ils heureux de le connaitre, si ce n'est déjà fait.

  Excusez-moi de ne vous le transmettre qu'aujourd'hui, mais c'est aussi mon cas.

Philippe R.


* De gazeau.vincent@wanadoo.fr [mailto:gazeau.vincent@wanadoo.fr]
Envoyé :dimanche 28 juin 2009 22:29
À : "Undisclosed-Recipient:;"@orange.fr


Objet :
    Messe d'expiation et de pardon pour les victimes de la
révolution française le 14 juillet

  Pansons les blessures ouvertes de la France.

   La France saigne de ses blessures, et ses blessures ne sont toujours pas cicatrisées.
   La France saigne du sang versé par les victimes de la révolution française.
   La France n’a pas pris conscience du mal qu’elle a fait envers ces
hommes et ces femmes assassinés.
  La France au lieu de pleurer a voulu se réjouir, et même porter ces
crimes comme salutaires.
  Et nous en sommes tous responsables, nous ne pouvons ignorer, quel que soit notre rang social, que nous avons des aïeux d’un coté comme de l’autre, certains ont été les victimes et d’autres les assassins.

   La seule chose que nous pouvons faire aujourd’hui, c’est demander
humblement pardon.
   Demandons à chaque français, qu’il en prenne conscience et fasse
célébrer une messe le 14 juillet pour les victimes de la révolution.
   Que cette messe soit une messe d’expiation et de réparation, alors le 14 juillet sera fête de victoire vers le ciel des âmes défuntes de la
révolution française.

   Une des plaies de la France se refermera, car au nom de tous, nous aurons demandé pardon.

   Merci de répondre à cet appel.

Chinon le 1er mai 2009.

Vincent

   Voir aussi - pour en savoir à peine plus-
http://www.temoins-amour-esperance.org/Francais/Temoignages2009.htm
Témoignage de Vincent (86)
 A la suite du message concernant les messes à offrir pour le repentir mondial

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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 12:40
NDLRB.
  Que personne ne se méprenne  sur la démarche qui est la nôtre en indiquant l'origine des  citations reprises  dans cette nouvelle catégorie du blog de la Charte de Fontevrault. Il ne  s'agit pas pour  nous de  dénoncer , ce ne serait  d'ailleurs pas la meilleure façon de  susciter le  dialogue . Comment pourrions nous de plus appeler ensuite au pardon des offenses ?
   Nous  voulons simplement montrer  que ce  type d'échanges, trés  fréquent - vous vous en doutez - dans nos familles de pensée ne saurait  faire avancer  le débat et  qu'il ne  permet à ses acteurs que de se tromper de  débat.
   Ce n'est pas le prince  que nous ne servons pas qu'il faut combattre, c'est à la volonté de Dieu  s'agissant  du choix de qui sera Son lieutenant en terre de France  qu'il faut se soumettre.

Anonyme
09-01-05
à 14:49

    Il m'avait semblé que ce site parlait de monarchie, donc des valeurs qui vont avec les orléans n'ont rien à voir avec la monarchie (d'ailleurs, selon un vieil adage français, on n'hérite pas de sa victime), ce sont juste des parvenus qui voudraient bien se prendre pour des rois ...

Royal
09-01-05
à 14:53
Re:

  Vous êtes "légitimiste" je suppose ? Et bien mon cher monsieur (madame ?), sachez que nous ne sommes par "Orléanistes", nous soutenons les Orléans car ils sont la famille légitime de France depuis la mort du Comte de Chambord en 1883.
    Les Bourbons se réclamant aujourd'hui de la couronne de France n'ont, en réalité, aucun droit et le Comte de Chambord a toujours reconnu le Comte de Paris comme son héritier.

   En bref, nous ne soutenons pas le régicide, nous soutenons l'héritier légitime.

Origine.
http://royal.joueb.com/news/philippe-viii-le-roi-qui-a-manque
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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 12:30
 Philippe VIII (1894-1926) - Le Roi qui a manqué à la France

--> Il aurait été là, la France aurait été prête pour la guerre et aurait su faire la paix.
"Mourir pour la patrie, c'est le sort le plus beau, le plus digne d'envie", ces mots célèbres, prononcés, dit-on, par Roland à Roncevaux et repris sous la plume d'Alexandre Dumas par les Girondins dans Le Chevalier de Maison-Rouge, auraient pu constituer la devise du Duc d’Orléans, de jure* Philippe VIII, chef de la Maison de France pendant la Grande Guerre. Paradoxal ? Non, si l’on regarde attentivement la destinée de ce prince méconnu.

DE JURE
 
Qualifie une situation qui résulte de l'application de règles de droit  même  sil n'y a pas  coïncidence avec une situation en fait. Ainsi le comte de Chambord, par exemple, fut -il roi de France  de  jure  à partir  de 1844, date  de la mort de son oncle, Louis XIX, même  s'il n'a jamais régné de facto

Né en exil à Twickenham, (Royaume-uni)  le 6 février 1869, Louis-Philippe-Robert d’Orléans a deux ans et demi lorsqu’il arrive en France. Par sa mère Marie-Isabelle, fille du duc de Montpensier et nièce de la reine Isabelle II, il descend des Bourbon d’Espagne ; par son père le comte de Paris, il est un Bourbon-Orléans. Elevé au château d’Eu, en Normandie, il devient très tôt passionné de chasse, féru de botanique et de zoologie, amoureux de la vie au grand air.
 
     Sa vocation se dessine vite : il servira dans l’armée française.
 
   En juin 1886, le jeune duc d’Orléans prépare Saint-Cyr au collège Stanislas à Paris, lorsqu’il voit son rêve le plus cher se briser : la nouvelle loi d’exil l’oblige à quitter immédiatement la France. En Angleterre, il entre à l’école militaire de Sandhurst. Premier en athlétisme, à sa sortie, il aura cette appréciation du commandant : « Le plus intrépide lutteur, le plus infatigable marcheur et le plus déterminé nageur de toute l’école pratique. »
 
   Nommé sous-lieutenant dans l’armée britannique, le jeune prince demande « un poste détaché de chasseurs à pied dans l’Himalaya (sic) ». Puis, avec son cousin germain Henri, fils du duc de Chartres, il fait « une expédition de chasse et d’exploration au Népal ».
 
   Suivront des cours à l’Académie militaire suisse, mais tout cela lui paraît bien insuffisant. En secret de son père et de son mentor, le colonel Parseval, il prépare un coup d’éclat.
 
   Le 6 février 1890, jour de ses vingt-et-un ans, le duc d’Orléans quitte Lausanne pour Genève en compagnie du duc de Luynes, son camarade de collège. Un train de nuit les conduit à Paris et, le lendemain, il se présente au bureau de recrutement de la rue Saint-Dominique. A défaut d’être officier dans l’armée française, il veut « se faire inscrire sur la liste des conscrits ». L’aventure se terminera à la maison centrale de Clairvaux. Les autorités, devant la ruée de royalistes venus féliciter le prince de son attitude, ne peuvent qu’appliquer la loi.
 
     A tout moment, Philippe clame son patriotisme. Il aura même cette phrase sans équivoque : « La prison est moins dure que l’exil… Car la prison, c’est encore la terre de France ». Et, lorsqu’on lui reproche de faire venir ses repas de l’extérieur, il répond : « Je ne demande que la gamelle ». Le surnom de prince Gamelle lui restera, mais de cette aventure est inscrit tout son caractère. Rendu à la liberté, il se partage maintenant entre les femmes et les voyages, ne supportant ni l’idée d’être marié à sa cousine Marguerite, fille du duc de Chartres, ni de rester inactif entre son père et sa mère.
 
     La mort du comte de Paris (NDLRB. "Philippe VII") en 1894 fait du duc d’Orléans un Prétendant de vingt-cinq-ans. De plus en plus, l’exil est pour lui une souffrance. Sur ses yachts successifs, il recrée une parcelle de terre de France. Bientôt, il convolera avec une cousine, l’archiduchesse Marie-Dorothée d’Autriche de la branche des Palatins de Hongrie, mais leur mésentente sera une déception supplémentaire.
 
    Ses nombreux voyages dans les contrées peu explorées n’empêchent pas Philippe VIII d’assumer pleinement son rôle politique. Au tournant du siècle, il se lie avec Charles Maurras. Grâce à ces deux hommes quasiment du même âge et de mêmes idées, le royalisme va prendre un nouveau départ, un véritable coup de jeunesse. Et lorsqu’arrive la guerre, le duc d’Orléans tente de servir sous les drapeaux français. Ni son pays, -même dans la Légion étrangère – ni aucune des nations alliées, n’acceptent qu’il combatte dans leurs rangs. A Maurras, il écrit son désespoir, d’autant qu’un second coup est venu l’atteindre. La duchesse d’Orléans a refusé de quitter sa Hongrie natale pour le suivre en Angleterre, restant dans le camp ennemi.
 
    Désormais, le duc d’Orléans, seul, sans enfants, se consacre tout entier aux blessés qui remplissent les hôpitaux britanniques. Ainsi se trouve-t-il jour après jour, devant l’affreuse réalité du conflit. Pourtant, en février 1919, il écrira à son ami, le sculpteur Maxime Real del Sarte : « …si l’armistice est dénoncé, si la guerre se réveille, je demande instamment à M. Clemenceau de ne pas mettre d’opposition aux nouvelles démarches que je pourrai faire pour aller rejoindre les armées et me battre pour la France. »
 
    Réaction d’un homme privé de son droit le plus élémentaire, cette déclaration ne doit pas nous faire croire que Philippe VIII n’était pas aussi un homme de paix. Nul doute que, s’il avait régné en 1917, il aurait cherché dans l’honneur national à stopper l’hémorragie de jeunes Français et à établir une entente européenne durable avec les autres monarques.
 
    Que reste-t-il aujourd’hui de ce prince qui porta haut la lutte pour la liberté, la sécurité et l’avenir de sa patrie ? Des collections cynégétiques. De bien modestes souvenirs au regard d’une personnalité qui reste à découvrir.
 
Dominique Paoli
(Paru dans Politique Magazine de novembre 2004)

Origine.
 -le-roi-qui-a-manque

TITULATURES REVENDIQUEES PAR LA MAISON de BOURBON-ORLEANS » (à partir de 1883)

Philippe VII  1883-1894
Louis-Philippe d'Orléans
Comte de Paris (1838-1894)
Prince royal de France (1842-1848)

Philippe VIII  1894-1926
Louis-Philippe d'Orléans
« Duc d'Orléans » (1869-1926)
Fils du précédent

Jean III (1926-1940)
Jean d'Orléans (1899-1940)
« Duc de Guise »
Cousin germain du précédent


S'agissant  de la place de Philippe VIII dans sa ligne de succession.
Le  rappel ci-dessous est extrait de :
 -le-roi-qui-a-manque
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10 juillet 2009 5 10 /07 /juillet /2009 22:27
    Tous les lecteurs de ce  blog dont nous disposions  de l’adresse postale  ont  reçu ou vont  recevoir une  enveloppe format 1/2 A3 contenant les documents suivants :

NDLRB . Vous pouvez  toujours nous faire parvenir  votre adresse postale en en voyant  un mail à :
   Nous  vous ferons un envoi complémentaire.

- La lettre trimestrielle N°18 spéciale de la  Charte de Fontevrault contenant le programme de nos rencontres et  le rappel  de toutes les raisons que qui font  que nous ne réunissons pas à Fontevraud – l’Abbaye  par  hasard, la Providence ayant là comme ailleurs pleinement  joué  son rôle… Un vrai  régal, cela dit de façon assez immodeste.
- Le  bon de commande, de participation à nos rencontres, en un mot  de soutien   à l’action de la Charte de Fontevrault
-La procuration permettant, si vous n’êtes pas présent physiquement à nos Rencontres du 25 août, de participer à l’élection du Gouverneur  de la Charte de Fontevrault  pour les trois ans à venir.

    Deux erreurs  qui nous été signalées par le  gouverneur en exercice de la Charte, Mlle Irène Pincemaille, se sont  glissées dans la lettre trimestrielle ; l’article  publié ce  jour - et  que  vous êtes en train de lire- dans le blog de la Charte de Fontevrault  a pour objet  de les  corriger.

* Avant-dernier paragraphe de la deuxième colonne de la page 1
   ST. MARTIN NE POUVAIT DONNER QUOI QUE CE SOIT Á STE  RADEGONDE CAR CELLE-CI A VÉCU 2 SIECLES APRES LUI !!! (il est mort à la fin  du 4ème siècle - 394 ou 97 je crois, et elle a vécu au 6ème !!!)
   Il y a  donc lieu de  lire la phrase  incriminée  complétée  comme  suit :
    C’est à Migné, toujours, lorsque le clergé de Saint-Martin  envoya à (sainte) Radegonde un morceau de la vraie  Croix, que le clergé poitevin  reçut en 569 les porteurs de la sainte relique.

* Paragraphe « e » de la 2 ème colonne de la même page.
     Fontevraud  n’est pas  à 65 KM E/NE de Tours  mais  O/NO… enfin, je pense  que  ceux  qui vont  venir  nous rejoindre auront  regardé une  carte auparavant ….

* 1 ére ligne  de la deuxième colonne de la page 2
   Le déjeuner de  nos Rencontres  sera  bien pris dans  l’abbaye royale (Prieuré Saint- Lazare) comme l’indique d’ailleurs le  bon de commande mais pas, on l’a dit, la lettre trimestrielle, regrettable  erreur  de  copie- collé.

    
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10 juillet 2009 5 10 /07 /juillet /2009 08:38
     Soyez les bienvenus sur mon blog dont l'objectif est de mener une réflexion sur la royauté en France. Je traiterai au fil des semaines plusieurs questions et j'espère que vous serez nombreux à apporter de l'eau à mon moulin. Je tiens à signaler que seront bien venues toutes les remarques constructives et réfléchies provenant de tous horizons, des anarchistes aux traditionalistes en passant par les « sexy-centristes » (cf. Les Guignols de l'Info).

Voici quelques exemples des sujets qui seront abordés :
- Royauté ou République ? C'est la question primordiale pour des personnes qui défendent la royauté puisque nous vivons en république.
- Royauté et Démocratie : le monarque doit-il concentrer tous les pouvoirs, n'en avoir que quelques-uns ou se limiter à un rôle de représentation ? Quelle doit être la place de la démocratie dans une monarchie ? La noblesse a-t-elle encore une raison d'être ?
- Royauté et Catholicisme : un roi de France doit-il nécessairement être un prince chrétien ? Son royaume doit-il lui aussi être chrétien ? Nous traiterons donc la question de la laïcité.
- Royauté et Nationalisme : qu'est ce que le nationalisme précisément ? Un royaliste ne peut-il être que nationaliste ?
- Royauté et Souveraineté : les institutions européennes sont-elles compatibles avec une monarchie ? Cette question ne fera peut-être pas l'objet d'un article particulier, elle sera probablement traitée en filigrane avec la démocratie et surtout le nationalisme.
- Un roi, oui, mais lequel ? Vous connaissez probablement tous la division entre les partisans du comte de Paris et ceux du duc d'Anjou ; nous verrons qu'il existe même un troisième courant royaliste beaucoup plus confidentiel : les "survivantistes".
- La Révolution de 1789 : le royalisme doit-il s'inscrire en opposition à la Révolution ou dans sa continuité ?

    N'hésitez pas à me faire parvenir dès maintenant vos remarques, vos suggestions de sujets... Merci d'envoyer des messages constructifs et respectueux de tous. Cela vaut tant pour les gauchistes et autres anarchistes qui maîtrisent souvent l'art de la diabolisation que pour les traditionalistes et autres nationalistes, rarement avares en philippiques ignobles et intolérables.

Origine.
http://aza-royaliste.skyrock.com/
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10 juillet 2009 5 10 /07 /juillet /2009 08:29
AFP   
09/07/2009 
     Les 170 bancs en marbre et en pierre du parc du château de Versailles recherchent des mécènes pour les "adopter" et financer leur restauration, a annoncé hier soir à Versailles Jean-Jacques Aillagon, président de l'établissement public.
   Ce projet de mécénat est le prolongement de la campagne "adoptez une statue", lancée en 2005, et dont les mécènes étaient venus constater les avancements mercredi soir dans le parc du château de Versailles.
     "Il y a 170 bancs dans le parc, 92 en marbre, 78 en pierre et nous souhaitons que ce patrimoine, très utile par ailleurs aux visiteurs, puisse être rendu à l'état le plus satisfaisant possible", a déclaré Jean-Jacques Aillagon.
     Les mécènes sont sollicités à hauteur de 3.800 euros par banc, et peuvent choisir le ou les bancs qu'ils souhaitent parrainer. Une petite plaque fixée au pied du banc rappellera leur générosité.
    "Pour les Yvelinois, Versailles est lié aux souvenirs d'enfance, aux promenades du dimanche", a souligné Serena Gavazzi, responsable du service mécénat. "Un banc est très poétique."
    50 bancs, dont 15 en pierre, sont concernés par la première vague de restauration. La campagne "Adoptez une statue" a permis en quatre ans de restaurer 86 statues.

Origine.
 
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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 13:41
Bernard Antony, président de l’Institut du Pays Libre, communique :

NDLRB.  Ah qu'en termes  vifs, ces  choses là sont dites .

   Dans l’affaire Gollnisch, l’arrêt de la Cour de Cassation met fin à la persécution, redit le droit et la liberté.

     A la stupéfiante nouvelle des poursuites engagées fin 2004 contre Bruno Gollnisch par l’université Lyon III, la revue Reconquête avait annoncé en couverture (mars 2005) l’attribution par le Centre Charlier aux policiers de la pensée de cette université du « trophée Dzerjinski de la honte ».(1)
      Sur l’ignominie des persécutions universitaires et médiatiques allaient se greffer celle de différents tribunaux, prouvant bien la réalité de la mise en place de « l’insupportable police de la pensée » qu’Annie Kriegel avait dénoncé en 1990 lors de l’adoption par les députés de la loi totalitaire et terroriste Rocard-Gayssot.
     Cette loi a permis pendant cinq ans à des magistrats idéologues de s’acharner au mépris du droit et de la liberté contre Bruno Gollnisch, non pas pour des propos qu’il aurait tenus mais pour ce qu’il n’aurait pas dit !
    C’était là le retour aux pires heures des dénis de justice des tribunaux de 1793 et de ceux des terrorismes lénino-staliniens et maoïstes où l’on envoyait massivement au goulag ou à la mort les individus condamnés non pour ce qu’ils avaient pu  dire ou faire mais simplement en raison d’une présomption de soupçon de non alignement enthousiaste sur l’idéologie totalitaire d’asservissement des intelligences.
      Inlassablement, le Centre Charlier, l’Agrif, l’Institut du Pays Libre ont placé l’abolition de la loi liberticide Rocard-Gayssot parmi leurs exigences politiques fondamentales. Et même à gauche, avec notamment madame Badinter, on finit par en dénoncer la dérive liberticide.
      De plus, voulue pour combattre le seul négationnisme de la barbarie nazie, cette loi a eu pour regrettable effet dialectique pervers de le renforcer selon le raisonnement induit que s’il est interdit de penser et dire certaines choses, c’est qu’elles doivent être vraies ! En assimilant à du négationnisme à réprimer toute revendication de libre recherche ou constatation (telle celle que Katyn est un crime contre l’humanité perpétré par le communisme et non par le nazisme) on a fait un bien mauvais travail contre la vérité et la liberté.
    Face aux indécences des négationnistes des différents exterminationnismes (Jeune-Turc, communiste, nazi) je n’ai cessé de dire et d’écrire qu’il fallait les réfuter et non les persécuter.
Mais mon ami Bruno Gollnisch, lui, n’a pas été persécuté pour quelque négationnisme que ce soit. Il l’a été fondamentalement parce qu’il est un brillant universitaire et un homme libre.
    En rendant l’arrêt mettant fin à la persécution mise en œuvre par les cloportes totalitaires de Lyon III, les magistrats couchés et les roquets médiatiques, la Cour de Cassation a redonné de l’honneur à la Justice française et de la liberté à l’intelligence.

(1) Djerjsinski, l’immense criminel fondateur de la Tchéka devenue KGB puis aujourd’hui FSB. Sa statue demeure à Moscou où il est honoré comme un grand héros par les poutinistes

Origine.
Communiqué de l'institut du pays libre.
70 boulevard saint Germain
75005 PARIS
Tél. 01-40-51-74-07

Voir aussi.
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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 10:03
    « Quelques  milliers de personnes  accompagnaient  jusqu’à la basilique Saint-Denis  , le  cœur, enfin identifié, du fils de Louis XVI, mort au temple en 1795. La dépouille du dauphin, décédé de tuberculose et de traitements ignominieux, fut jetée par les révolutionnaires  dans une fosse  commune. Ce n’était pas un homme  puisque  c’était un roi !
   La République  n’a dépêché  personne pour lui tenir  compagnie. Réconciliée avec les Allemands, les Américains, elle ne l’est pas  encore avec sa monarchie ».

Origine
Bertrand de Saint Vincent . Le Figaro 10 juin 2004. p. 28.


NDLRB 1.
   La Charte de Fontevrault  respecte toutes les tendances de la mouvance royaliste tout en s'en remettant à Dieu du choix de  qui sera Son lieutenant  sur la terre de France.
    Voir, pour plus de détails, grâce au lien suivant  l’expression « Charte de Fontevrault »
http://charte.de.fontevrault.over-blog.com/pages
 
-
/34DICTIONNAIRE_DE_LA_CHARTE_DE_FONTEVRAULT-

L’opinion exprimée  ci-dessus «  le  cœur, enfin identifié, du fils de Louis XVI » n’est  donc pour elle qu’une opinion parmi d’autres.


NDLRB 2.
    La Charte de Fontevrault a  consacré  sur  son  blog une  «  catégorie »   d’articles intitulée  «  LES OMBRES DE LA REVOLUTION » à laquelle appartient l’article que  vous êtes en train de lire  et dont la lecture pourrait vous intéresser.
 
   Pour retrouver les articles qui y figurent, la marche à suivre est la suivante:
1- Taper dans la case  " Recherche"  de la page d'accueil du blog  de la Charte l'expression  "les tanneries de peau humaine »
2-Une  fois trouvé l'article, cliquer sur la mention  "OMBRES DE LA REVOLUTION  "  qui figure en majuscules en bas de l’article.
3- vous obtiendrez  ainsi tous les articles de la catégorie.
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